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| Une union particulière ou conte de la folie extraordinaire ( 24 Janvier 1458 ) | |
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Missanges
Nombre de messages : 548 Localisation : Moulin des Kerdren, Kastell Paol ! Date d'inscription : 19/06/2009
| Sujet: Une union particulière ou conte de la folie extraordinaire ( 24 Janvier 1458 ) 15/8/2010, 11:33 | |
| - aelyia, le 24/01/2010 à 12:37 a écrit:
- [ Montfaucon avant le départ pour Nantes ]
Voilà, le grand jour était arrivé, le mariage du siècle, celui des plus grands fous bretons qu’elle connaissait. De toute façon a ce stade, on ne pouvait plus rien tenter pour éviter cela. C’était d’ailleurs beaucoup mieux de les regrouper même si par moment la volcanique réunion de leurs deux individualités aux explosives et imprévisibles conséquences débordait sur sa vie à elle et sur celle de sa famille. La jeune blonde depuis des mois gardait un œil attentif et bienveillant sur ces deux personnalités bretonnes si particulières. Sa tante comptait énormément pour elle et Joa… enfin Gildwen avait une qualité qu’ ‘elle avait toujours placé au top 10 pour classer les gens intéressants à fréquenter ou à ne pas perdre de vue : Etre un des meilleurs joueurs de ramponneau de Bretagne effaçait allégrement quelques défauts anodins.
Songeuse, la jeune femme brossait ses longs cheveux blonds et soyeux devant un miroir accroché à un des murs de sa chambre.
Et dire qu’elle allait être une des demoiselles d’honneur de ce mariage. Et dire qu’ils s’étaient déjà reproduis et qu’aux rythmes fréquents de leurs colères et réconciliations aux bruits révélateurs malgré les murs épais du manoir, il y aurait sûrement d’autres descendances.
Elle avait eu quelques rumeurs sur l’état humm chouchénisé de la future mariée la veille au soir et avait, en conséquence, décidé de surveiller attentivement son réveil.
Elle s’apprêtait à sortir de sa chambre, reportant à plus tard les derniers préparatifs la concernant comme revêtir cette somptueuse robe de cérémonie que son père lui avait offert quand un bruit de voix l’avertit de l’arrivée d’Ignace, plus que ponctuel au rendez vous donné. Elle avait de plus en plus de mal à se passer de sa présence pendant un long moment, vivant cette histoire d’amour comme une fusion quasi magique.
Elle sortit, impatiente, à sa rencontre, en chemise et les pieds nus, espérant ne pas croiser son père et faisant fit des convenances et du regard courroucé de Cyprien posa un léger baiser sur ses lèvres pour ensuite l’entraîner dans la chambre de Leyah malgré ses protestations concernant les règles de bien séance.
Avec un sourire malicieux elle lui chuchota
Tsss tu me connais bien maintenant amour. Tu sais à quel point je suis parfois impulsive et vive sous l’apparente candeur de ma douceur. Et puis ne fais pas cette tête, rhooo… Leyah ne diras rien… à mon avis elle a, ce jour, la tête bien ailleurs et nous devons l’aider. Un avis masculin au goût certain ne sera pas de trop pour choisir sa parure.
Puis plus fort, en pénétrant dans la pièce
Ma tante, ma tanteeeeeeeee, ma tanteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee Réveillée ? - Leyah, le 24/01/2010 à 12:58 a écrit:
- [ Dans une chambre de la demeure sise a Montfaucon ]
Booooarrrrffffffff
Fut le cri émanant de la gorge de la rousse a son réveil. Réveil au garde a vous, la rousse sortant de son sommeil en sursaut, se retrouva en moins de temps qu'il ne faut pour le dire assise bien droite dans son lit. Une longue mèche de cheveux lui pendouillant devant le nez, elle loucha, les yeux en mire pour viser cette mèche pour ensuite la souffler vers le haut. Bien évidemment la force du souffle n'étant pas proportionnelle au poids de la mèche, celle ci retomba. Et ce fut un souffle d'exaspération qui sortit de la bouche de la rouquine. Coup d'oeil a sa nièce et a Ignace et la rousse replongea en arrière pour se vautrer contre son oreiller.
Gnnnn .. encore dormir .. mal a la tête .. demain ma Lyly voui .. demain .. gnnnn
Foutre dieu c'te cuite , elle y avait été fort pour une qui ne buvait plus depuis un moment. Enfin bon une énième engueulade avait fait que .. et les excuses étant faites pour s'en servir... Leyah se retourna chassant la couverture sur sa tête, et enfouissant ses boucles rousses de sa tignasse emmêlées sous celle ci. Cette impression de cheveux qui poussent vers l'intérieur était bien trop forte, elle devait encore dormir ayant évidemment totalement oublié quel jour on était. - zigo35, le 24/01/2010 à 13:18 a écrit:
- [Sur le route près de Nantes]
Allez avance bon sang sacré canassons!
Tô faisait encore des siennes, s'arrettant tous les 30 mètres pour flâner, à ce rythme là ils allaient finir par être en retard.
Je te jure que si on se pointe en retard tu va passer un mauvais quart d'heure!
Grand coup de botte dans le flanc et voila le bourricot parti en quatrième vitesse, Surpris, Zigo se retrouva le derrière par terre le temps de le dire, long soupire puis un regard vers la demoiselle qui l'accompagnait
Rigolez pas vous hein! tss je vous jure il est taré ce cheval il a du prendre un coup sur la tête étant poulain.
Puis s'adressant au canassons
Reviens ici toi!
Le cheval, tête baissé revenait près de son maître d'un pas lent plein de culpabilité, en le voyant Zigo afficha un large sourire, il le faisait bien rire ce canassons, il avançât vers lui lui fis une tappe amicale et se remit en selle - Meiline, le 24/01/2010 à 13:34 a écrit:
- [Accompagnant Zigo sur les routes ]
- Oh je n'oserai pas rire, vous me connaissez
Elle refoula un rire nerveux et se redressa sur Jada, son fidèle destrier
- Vous avez fini de visiter le paysage Sire? peut-être nous pourrions continuer notre route
Meiline ria de bon coeur, mais devant la mine de Zigo elle s'arrêta rapidement
- Tô, Jada, si nous sommes en retard, vous allez finir comme les vacheuh !! Sire, les mariages en ce moment sont de coutumes, j'ai hâte de voir Leyah dans une sublime robe de mariée, j'adore les mariage pour le banquet et la robe de mariée moi.
Elle se pinça la lèvre
- Pourvu que tout se passe bien et qu'elle ne soit pas trop nerveuse, bien que nerveuse elle l'est en toutes occasions !
Meiline et Zigo avancèrent sur la route jusque destination côte à côte. - Ignace., le 24/01/2010 à 13:48 a écrit:
- [Demeure Monfaucon]
Bravant ce vent froid de janvier, galopant sur les routes depuis quelques jours, Ignace arriva enfin aux portes de la propriété de la Vicomtesse de Montfaucon sous Cholet. Il sauta de son cheval, confia les rênes de son cheval à un palefrenier, avant de se diriger sur le perron et de frapper à la porte.
Quelques instants plus tard le visage de Cyprien apparut dans l’encadrure de porte, son regard porté sur les chausses boueuses du jeune homme. Avant de dire d’un air autun … Môssieur ?
Ignace regarda le majordome, vérifiant d’un coup d’œil qu’il ne portait pas une paire de chaussons roses dans sa main … Bonjour Cyprien !! Veuillez me conduire à mademoiselle Aelyia je vous prie …
Alors qu’une chaude négociation sur le remplacement des chausses d’Ignace par les fameux chaussons, se déroulait entre Cyprien et Ignace, Lyly arriva dans la pièce. Oubliant, d’un coup le majordome, Ignace adressa un sourire à celle qu’il aime, alors qu’elle se rapprochait de lui pour l’embrasser, puis de le prendre par la main et l’emmener à l’étage. Tout ce passa si rapidement … Et c’est gêné, qu’il se retrouva dans la chambre de Leyah, alors que Lyly criait pour la réveiller … - normandie77, le 24/01/2010 à 13:54 a écrit:
- [Sur le route près de Nantes]
Norm était sur la route, mais se sentait bien seul.Quand dans le loin il vit un cavalier tomber de son cheval.Il cravacha son cheval pour voir si celui si n'avait pas besoin d'aide. Quand il arriva quelle ne fut pas sa surprise en reconnaissant Zigo.
" ça va Zigo pas trop de mal "
Tout en se retenant de ne pas rire quand il vit on cheval revenir tranquillement - Guiyom, le 24/01/2010 à 14:28 a écrit:
- [Demeure Montfaucon]
Après sa journée de la veille, Yom s'était couché relativement tard comme à son habitude, et peinais à émerger ce dimanche matin. Trainassant dans son lit, il fut tiré de sa somnolence par une voix qui criais presque un peu plus loin.
dedioux lyly....peut pas la réveiller sans réveiller tout l'monde....
Il finit par se lever et à se diriger vers la source de tout ce bruit, baillant encore, portant une large chemise de lin et des braies délavées par le temps.
'jour la compagnie, 'jour lyly, 'jour m'man, 'jour Ignace... - Aliéniore, le 24/01/2010 à 14:47 a écrit:
- [Demeure Coatmeur à Cholet]
Alié s'était levée de bon heure ce matin là. La journée serait chargée , remplis , occupée! Elle avait bousculé toute la maisonnée et pousser son Tendre hors de la chaleur de leur couche pour qu'il vaque à ce qu'il avait à faire.
A l'heure dites, chargement chargé, beaux habits et saïe de cérémonie enfilés, ils avaient pris la route dans la voiture aux armes du Duché de Cholet.
Alié tenta de prendre un peu de repos supplémentaire pendant les cahots du chemin et pensait à ce qui allait se passer au cours de la journée.
Bientot les portes de la ville de Nantes furent devant eux et avec soulagement elle voyait arriver la fin du trajet et le début des réjouissances.. - Joachim.Du.Bellay, le 24/01/2010 à 14:55 a écrit:
- [Une Chambre, au château de Trécesson]
Lent et difficile, telles furent les caractéristiques premières du réveil du futur marié. Le soleil pointait haut dans le ciel, et d'ailleurs en cette matinée où il avait été éloigné de sa dulcinée, quelque chose d'autre pointait haut dans le ciel. Rhaaa, une douche froide, torture suprême, suffirait à calmer les ardeurs du belliqueux jeune homme en l'attente de la nuit de noces. Hésitant encore à se lever, se disant que quitte à être en retard autant faire les choses bien, il ajouta à la balance le fait que tout de même le soleil pointait vraiment haut dans le ciel, tout comme sa ... Rhaaa, ça lui revenait sans cesse en tête ! Il allait vraiment falloir régler ce problème au plus vite, il aurait été inconvenant de se présenter le jour de son mariage devant l'autel la chair bien gonflée de tout son courage.
Sans plus attendre, il se para d'un simple drap, sortit alors de la chambre, pour filer en toute vitesse vers la salle d'eau. Rechignant encore un peu, il se débarrassa de son drap, saisit un bon seau d'eau gelée et sans réfléchir Vlan !!!! Ahhhhhhh ! Ciel, c'était gelé ! L'effet en tout cas était garanti. Il allait alors filer s'enfiler deux ou trois seaux d'eaux bien chauffés par les bon soins des domestiques, mais c'était sans compter sur son esprit qui fit germé en lui l'idée qu'un deuxième seau d'eau bien fraiche sur le corps, juste au cas où ne serait pas une mauvaise chose. Et ainsi, quelques minutes plus tard, le voila, lâchant un second cri de surprise. "Bordel qu'est ce que c'est gelé ! Bon allez, c'est fini, direction l'eau pour chaude et je file" pensa t'il alors. Il s'en alla donc tout naturellement faire sa toilette au moyen d'une eau chauffée par les si bon soins de quelques domestiques - "Nom de Dieu, qu'est ce que c'était agréable que de chauffer lentement son corps en le nettoyant !" - avant de remonter dans ses appartements, une serviette lui ceignant la taille, pour s'habiller en toute hâte.
***
Enfin, le voici prêt ! Habillé comme il se le doit, il alla vérifier où étaient son fils. Puis ne le trouvant pas et étant bien trop en retard, il prévint un des domestiques, laissant ainsi pour message à Fulgence, qu'il était sur la route vers Nantes et qu'il l'attendrait là-bas. Ce faisant, il fila vers les écuries, là, un page ayant aussi la fonction de palefrenier, l'attendait avec Borysthènes déjà attelé. Une des joies non conséquentes depuis qu'il fut reconnu comme étant réellement Descendant d'Amalric et de Valuu fut qu'il se vit octroyer quelques chevaux dont il pouvait user comme bon lui semblait. Borysthènes était certainement celui avec lequel, il s'entendait le mieux, il lui obéissait comme à son cerveau, non comme à son maitre. Eut-il jamais obtenu qu'un homme en fit autant ? Il y a fort à penser que non et que le cheval en question lui apportait une plénitude, à travers cette entente parfaite, qui faisait de chaque chevauchée un réel plaisir.
Il monta ainsi en selle, alors que le domestique fila chercher le sac qu'il avait fait préparé pour le voyage, n'emportant que très peu de ses affaires et galopa jusqu'à la sortie de Trécesson. Là, il reçut du page ses affaires pour le voyage qu'il fixa à la selle avant de filer vers Naoned à bride abattue. - Leyah, le 24/01/2010 à 15:18 a écrit:
- [ Dans son lit sous les plumes, Montfaucon toujours ]
Enroulée d'une belle façon dans les couvertures, la rousse releva de nouveau la tête. Un œil ouvert, l'autre fermé, sourcils froncés, et la couverture lui couvrant la moitié de la tête, laissant cependant échapper quelques unes de ces fameuses mèches toute mêler, la reine de la gueule de bois les lorgna de sa seule pupille disponible.
Je peux savoir pourquoi vous êtes tous là a me regarder dormir, vous n'avez jamais vu une gueule de bois du tonnerre!?
Retour de la tête sur l'oreiller dans un " ouuuhh bon sang" prononcé à voix basse, et la rousse de se coller les mains aux oreilles pour faire passer l'envie aux abeilles qui passaient par la de battre des ailes. Dans cette pose plus ou moins intéressante, et d'une réflexe soudain, la jeune femme aplatit le coussin a ses cotés, puis prit une mine des plus surprises. Redressement du buste, yeux écarquillés qui passent de l'oreiller vide de caboche Broc , a ces invités surprises qui la regarde au pied du lit. Lentement sa bouche s'entrouvrit comme pour dire quelque chose, mais se referma aussi vite, laissant apparaitre sur sa bouille cet air très réfléchi
Ses yeux s'écarquillèrent encore plus, un regard vers la fenêtre et c'est presque prise de panique qu'elle sortit du lit en un seul bond. Après avoir bataillé avec les couvertures pour qu'elles lui lâchent le pied qui s'était malencontreusement coincé dedans; elle fila tout droit vers cette fameuse penderie.
Marde marde marde ...
Et c'était reparti pour les jurons. Cette gueule de bois n'arrangeant rien, elle resta plantée comme une potiche face a cette penderie pourtant bien fournie. Quelle était donc la tenue prévue encore ... cette mémoire abimée par une cuite chouchenisée de la vieille lui tapait vraiment sur les nerfs. Par réflexes, et faisant presque fi de la présence des siens dans la pièce, la rousse commenca a sortir les tenues une par une. Celles qui ne convenaient pas volaient dans la pièce, la donzelle trop pressées, rangerait ça plus tard ... Un regard dépité posé sur Lyly, pour un retour vers cette penderie et quelques jurons encore, heureux celui qui n'était pas dans cette pièce pour entendre ce vocabulaire enrichi une impression de déja vu .. la vieille elle avait déja cherché dans cette fichue penderie, aussi refit elle les memes gestes une tenue saisie dans sa mimine Mhhh non ce n'est pas çà Celle ci une fois balancée en arrière elle en reprit une autre Pas ça non plus .. raaahhh c'est pas le jour ! Et au bout de cinq lancés consécutifs, enfin elle vit cette robe prévue pour ce jour, un soupir de soulagement et un autre juron de contentement si si ! et oubliant cette fois toute présence, elle l'enfila a toute allure. Une chose de faite, au suivant!! Tignasse mise en place, ordres donnés , chausses chaussées, le tout en catastrophe, la rousse qui ne pouvait rester sérieuse plus de trois secondes regarda d'un oeil amusé ses convives improvisés et une fois la bouche mise en cul de poule Suis belle hein !? Bon sang ce qu'on peut être ridicule quand on est un tit peu angoissée avec en plus une gueule de bois. - zigo35, le 24/01/2010 à 15:19 a écrit:
- [Route de Nantes]
de retour sur sa monture, il arborât un large sourire à Meiline
Hum le paysage est charmant c'est vrai je resterais bien ici faire une petite sieste. Quoi que Leyah me ferait ma fête si je me pointe à la bourre, et je préfère pas c'est qu'elle peut être méchante en temps normal alors ajouté à cela le stress du mariage...
Il se retournât au son du cheval au galop qui approchait
Norm! ça alors! comment vas tu? Meiline je te présente Normandie un ami à moi, c'est un brestois, Norm je te présente Meiline, ma compagne - Meiline, le 24/01/2010 à 15:37 a écrit:
- Meiline avait entendu derrière eux une personne chevaucher à la hâte
elle se pencha sur l'oreille de Jada
- Tout doux mon brave, tout doux
Elle regarda Zigo puis ensuite le sire venu à leur rencontre
- Ravie, messire Normandie, le brestois
Dit elle en le saluant de la tête poliment et caressa son destrier les laissant converser ensemble - Guiyom, le 24/01/2010 à 15:39 a écrit:
- [Dans la chambre de sa mère, Montfaucon]
Suis belle hein!?
Oui oui m'man, pas de soucis là dessus, au saut du lit tu tiens une forme épatante
grand bâillement avant de faire demi tour en se grattant la barbe
Bon j'te laisse hein faut que j'trouve ce que je vais mettre pour cette journée...puis que j'essaie de discipliner ma chevelure si j'dois pas porter de casque...
Il continua de se diriger vers sa chambre en ce demandant ce qu'il pourrait bien se mettre sur le dos et en baillant... - doran, le 24/01/2010 à 15:42 a écrit:
- [Sur la route de Nantes]
Doran était parti de Rennes seul, il se dirigeait maintenant vers Vannes, le temps semblait s'être arrêté, la végétation était figée, le froid était encore là.
Doran avait enfilé ses plus beaux vêtements, son cheval avançait facilement, écrasant sous ses sabots l'herbe gelée, bientôt il sera arrivé. - Kurios, le 24/01/2010 à 15:46 a écrit:
- [Cathédrale de Naoned dans la sacristie]
L'évêque venait de rentrer un peu tardivement de Roc'han après avoir fait un détour par Guérande. Il était quelque peu guilleret et embrumé par des vapeurs alcoolique qui émanait plus de sa bouche que des tonneaux qui trainait dans la pièce.
Il s'affala sur un énorme siège. Les enfants de chœurs craintifs attendaient avec une légère appréhension les ordre de celui qu'ils aimaient appelé le tyran imbibé.
Certains d'entre eux avaient anticipé ses ordres et avaient déjà préparé les tenues nécessaires à la cérémonie. Soutane, pallium et autre croix aristotélicienne ciselées d'or et de pierres précieuses... En fait c'était du verre mais personne ne voyait la différence. Puis dire que le diocèse nantais était pauvre comme les dernier des journaliers de la campagne du Léon risquait de faire perdre un certain prestige à la région.
Les enfants attendaient pour l'habiller, d'autres étaient prêts à mettre en place la cérémonie.
Pourtant, inhabituellement, l'évêque ne se contenta pas de claquer des doigts pour donner le départ. Il donna de vrais ordres avec des mots... presque sans rots! Incroyable!
La cérémonie devait être particulière.
Il demanda à certains enfant d'aller chercher du lière pour habiller les colonnes de l'édifice. Des bougies furent placées partout pour donner des reflets orangés aux différentes plantes qui habillaient nef et déambulatoires et notamment du chêne symbole de force et de longévité et de l'ajonc dont les fleurs jaunes lançaient quelques pointes rappelant le soleil élément de vie et d'Amour.
La Cathédrale était magnifique, sylvestre, il ne manquait plus que des animaux et les Korrigans pour se croire en Brocéliande. Mais les animaux risquaient de déranger la cérémonie, de tout saloper avec leur chiures...
Puis rencontrer un sanglier qui passent entre les bancs pendant l'échange des vœux... Bref!
L'évêque laissa un espace devant l'hôtel où devaient se placer les époux.
La lumière habitait les lieux. la chaleur habitait les lieux. Même le soleil normalement pâle en cette saison, laissait pénétrer par les vitraux de puissants rayons orangés qui réchauffaient l'atmosphère.
L'évêque était prêt | |
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| Sujet: Re: Une union particulière ou conte de la folie extraordinaire ( 24 Janvier 1458 ) 15/8/2010, 11:39 | |
| - Gwenc'hlañ, le 24/01/2010 à 16:01 a écrit:
- [Quelque part dans un couloir qui mène à la chambre de sa sœur]
Gwenc'hlañ avançait tant bien que mal dans ce foutu couloir que les ouvrier n'avait pas été capable de faire droit, tous les deux pas il se prenait un mur enfin faut dire qu'il avait pas dormi cette nuit non plus, pas tous les jours qu'on sacrifie sa sœur en la mariant à un zouave de première classe. Tiens il reconnaissait des voix il y était presque enfin il espérait parce qu'il aurait bien besoin d'un petit remontant avant de continuer la route.
Il se tenait à présent dans le chambranle de la porte et pour s'annoncer il trouva rien de mieux que de lancer à la cantonade :
Tadaaaaaaaaaaammmm !!!!
Totalement débraillé avec les mêmes habits que la veille pour faire la route, il avait pas su retrouver sa chambre pour se changer enfin vu qu'il a passé sa nuit à boire il l'avait pas beaucoup chercher la chambre... - aelyia, le 24/01/2010 à 16:24 a écrit:
- [Chambre de Leyah]
Une tante qui sort de son hibernation pour se transformer en tempête…humm en fait le comportement quasi normal de la rousse, cette agitation somme toute productive malgré les robes refusées qui volaient à travers de la pièce pour se retrouver sur la couche de la Vicomtesse. Tranquillisée sur l’état cognitif retrouvé d’une tante à la veille de son mariage, la jeune femme la vit peu à peu passer de l’état d’échevelée post soirée bien arrosée à celui de vitrine de la Breizh mode attitude.
Suis belle hein !?
L’éternel besoin féminin de ré assurance encore plus nécessaire un jour pareil. Heureusement son cousin Guiyom l’apaisait avec une virtuosité où elle croyait déceler une once d’ironie.
Tadammmmmmmmmmmmmmm
Au moment où son père franchit la porte de la chambre, Lyly, en louchant sur sa chemise blanche se rendit compte soudain que sa tenue à elle n’était pas du tout appropriée au futur événement.
Humm par contre l’état du patriarche Dragon la rassura un peu. L’alcool joyeux… bonne nouvelle.
Elle lança en souriant à sa tante un…
Mais oui, on te dit tous que tu es belle ! - Leyah, le 24/01/2010 à 16:29 a écrit:
- [ En face à face avec son double ]
Regard noir lancé, l'apparition Bleizhmorgan dans toute sa splendeur, la rousse était partagée entre le dépit et le fou rire. Aussi toisa t elle son double elle pour lui lancer quelques mots, simples , efficaces.
Trois minutes, c'est le temps que tu as pour retrouver une tenue convenable.
La phrase avait sonné comme un ordre mais déjà Leyah se levait de son siège et de dirigeait vers lui. Haussement de talons pour arriver a sa hauteur une fois a ses cotés, une bise déposée sur sa joue et un léger sourire plus tard.
Je t'attends en bas ...
Un petit signe a sa nièce pour qu'elle fasse de même, après l'avoir remerciée mille fois de sa réponse, sans pour autant faire claquer l'ordre, avec sa Lyly, cela ne servait a rien. Yom était déjà parti, ils finiraient bien tous par se retrouver a Nantes! Nouveau sourire, un peu crispé et la rousse s'engouffra dans le couloir direction les escaliers, le hall, puis la porte, puis la voiture aux couleurs de Montfaucon qui devait attendre en bas avec un cocher congelé . - Deguerlace, le 24/01/2010 à 16:32 a écrit:
- Contrairement à sa marmotte de père, Fulgence était déjà à Nantes, ayant préféré prendre de l'avance et arriver dès la veille, le jeune Brocéliande avait passé la nuit en ville, il faut dire que son dernier passage dans la cité des Grand Ducs lui avait fait prendre quelque peu de retard sur ses prévisions, il avait donc cette fois pris ses dispositions.
Ce qui était un problème.
C'est au petit matin qu'il ouvrit un oeil, réveillé par la rosée, à moins que ce ne soit une légère bruine, il n'eut pas le temps d'en ouvrir un deuxième avant de se lever d'un bond du caniveau dans lequel il avait le nez, faisant fuir avec effroi une famille de rat qui se blottissait contre lui quelques secondes plus tôt encore.
Titubant, Fulgence chercha l'auberge la plus proche. Mais la plus proche d'où ?
Pourquoi donc n'était il pas à Trécesson ? Et pourquoi ce mal de crâne ?
Enfin ...
Il fallait parer au plus pressé, c'est à dire à cette infâme odeur qui se dégageait de lui, et a ces loques qu'il portait. Heureusement mis à part ça il avait entier, sa maigre bourse était même encore là.
Une auberge, un aubaine !
Très sûr de lui et la tête haute, Fulgence pénétra dans ladite auberge, encore silencieuse à cette heure matinale, seuls quelques sons accompagné d'un délicieux fumet s'échappaient de la cuisine.
Il grimpa rapidement à l'étage, entrebâilla la première porte qui se trouvait sur sa gauche et y jeta un coup d'oeil, deux femmes dans un lit et une malle, et zut, pas l'ombre d'un homme ...
Quoique ...
Non, pas le temps.
Il continua ses investigations, la prochaine porte était gardée par un homme d'arme, sûrement des nobles aux bourses bien fournies, voilà qui était exactement ce qu'il fallait, et puis bon, surtout, le garde ronflait le long du mur, un pichet de vin vide à ses côtés.
Fulgence se saisit du pichet, entra, le brisa sur la tête d'un deuxième ronfleur, plus propre sur lui celui là, et dans un lit, puis ouvrit une ou deux malles pour enfin se trouver une tenue convenable, se changeant, et laissant en échange au quidam ses propres vêtements dans les malles, c'est que tout de même, il n'aurait pas osé s'abaisser au vol, tout au plus un simple échange réciproquement consentit.
Il réajusta son couvre chef, ressortit rapidement de l'auberge, et commença à baguenauder en ville. - normandie77, le 24/01/2010 à 16:33 a écrit:
- "Enchanté Dame Meiline "
" je vais très bien Zigo et toi après ta chute, pas trop de mal ?" - zigo35, le 24/01/2010 à 16:42 a écrit:
- [Nantes]
Arrivé dans la ville, pas un rat mort près de la cathédrale, un long soupire
Bon sang on est en retard!
Descente du cheval express et le voila dans la cathédrale... pas un chat non plus! Juste le cureton qui est bien seul le pauvre Regard vers ces deux compagnons de voyage
La connaissant elle a profité de sa dernière soirée de liberté pour arroser ça, elle va être d'humeur massacrante la cousine! - Gwenc'hlañ, le 24/01/2010 à 16:53 a écrit:
- Mieux qu'un seau d'eau froide, un ordre de la rousse...
Il faut dire que généralement un ordre non suivi a des conséquences assez grave pour ne pas chercher à les connaitre... Pas un mot de plus, juste un garde à vous taquin avant de retourner dans le couloir chercher sa chambre.
Mais Gwen même plein est malin, il s'accroche au premier serviteur venu et lui demande de l'amener au plus vite dans sa chambre. Une fois arrivé, il remercie la charmante personne non sans récupérer une bouteille de chouchen histoire de se réveiller...
Gwen se regarde dans le miroir quelques seconde, éclate d'un grand fou rire en voyant l'état déplorable dans lequel il se trouve. N'arrivant pas à défaire ses fringues qui seront de toute façon à jeter, il attrape sa dague, lève les yeux au ciel qu'il ne peut voir et se dit dans sa tête si Aristote le veut bien je ne me blesserai pas...
Quelques instants plus tard, le voilà déshabillé, plongé dans une eau les plus froide possible, rasé de près et entrain de s'habiller tant bien que mal sans tomber ce qui aurait pour cause de salir les seules vêtements qui lui reste.
Et enfin il était prêt, attrapant la bouteille, s'apprêtant à la vider, quand le visage de sa tendre lui revint en tête le faisant réagir que si elle le voyait dans cette état sa tête ne resterait pas longtemps sur ses épaules, alors il repose la bouteille vérifie qu'il est bien habillé, se seing de son épée avant de reprendre un peu d'eau fraiche sur le visage pour reprendre ses esprits. Il s'était arrangé pour que la seule coupure qu'il s'était fait en se déshabillant ne soit pas visible décidément Aristote c'est comme les curetons, il devait pas l'avoir à la bonne là haut...
Il n'avait plus qu'à descendre rejoindre tout le beau monde, attrapant sa "diplomatie", on sait jamais ça pouvait être utile des fois...
Me voilà petite sœur... - Meiline, le 24/01/2010 à 16:55 a écrit:
- Meiline haussa un sourcil
- No stress mon tendre, vous êtes encore plus pressé et stressé qu'une future mariée, c'est de famille?
Elle haussa les épaules, souria au sire Normandie et avança près de zigo qui était aussi excité qu'une puce
- Vous êtes beau quand vous êtes ainsi
Meiline tira sur la bride du destrier et embrassa zigo avant de descendre de monture.
- Euh, il n'y a pas une taverne quelque chose dans le coin? j'irai bien boire une bolée avant moi... !
Meiline était nerveuse et quand elle l'était il fallait toujours qu'elle boit - Aliéniore, le 24/01/2010 à 16:58 a écrit:
- Aliéniore et Milouse était arrivé à la Cathédrale dans les temps.
L'effervescence des préparations se sentait. ainsi que les effluves des préparatifs entre officiant.. Il la laissa là pour s'occuper de ces affaires et reparti pour les installer avant de venir pour le début de la cérémonie.
La druidesse, accompagné d'un valet et portant son bâton à la main , monta les marche et entra dans la nef. Aujourd'hui serait un jour spécifique.
Elle contempla l'intérieur de la batisse et un sourire naquit sur son visage. Il avait pris soin d'écouter ce qu'elle lui avait dit et avait fait décorer celle ci avec les Arbres et plantes qui convenaient.
La cathédrale resplendissait et respirait. La forêt comme a porté de main.
Elle longea la nef et s'approcha de l'hotel. L'Evêque lui avait expliqué que toujours les édifices aristotéliciens étaient orientés à l'Est. L'arrivée des mariés se ferait par l'Ouest avant d'arriver à l'hotel. Tout se prêtait parfaitement à unir leurs efforts et les mariés.
Elle alla saluer le prêtre et tout son p'tit monde. Ils discutèrent détail et tonneau avant qu'elle ne retourne devant l'hotel.
La Druidesse pris soin de récupérer les branches de chêne qu'elle avait préparé à la dernière pleine lune, lors de la purification des eaux.
Représentant la force de la Terre, la force de l'union qui allait être célébré ce jour , la longévité des liens qui allaient se forger , elle les plaça l'une aprés au sol devant l'hotel. L'une aprés l'autre pour tracer un cercle. Cercle du monde , cercle de l'éternité, cercle de l'Amour , sans fin ni commencement.
Rejoignant l'Evêque, la Druidesse était prête. - Leyah, le 24/01/2010 à 17:11 a écrit:
- C'était pas trop tot, elle allait finir par devenir cinglée, encore qu'elle l'était déja.
Leyah esquissa un sourire a son double, le voir transformé en quelque chose de décent en si peu de temps tenait du miracle. Son sourire s'agrandit quand elle le vit accompagné de sa plus fidèle diplomatie et elle vint glisse un bras sous le sien en murmurant
Garde la bien sous le coude, parce que s'il n'arrive pas ..il pourrait meme être a moitié mort dans un fossé, que je te demanderais de l'achever...
Léger sourire sadique avant d'enfin descendre les marches qui mènent a la voiture, sourire devenant désolé au pauvre bougre qui menait tout ce petit monde et la tribu s'installa peu confortablement pour la route. Gwen, Yom, Lyly, Ignace, Aze .. Cyprien bien sur .. comment se passer du majordome, lui même tenant le morveux dans ses pauvres paluches avec pour consignes d'y veiller comme a la prunelle de ses yeux Vingt deux mille six cents quarante et un trous sur le chemin plus tard, la petite escorte vit enfin s'ouvrir devant elle , les portes de Nantes.
Le bras bien accroché a celui de son double la rousse toujours trèèèss sure d'elle commençait a devenir pale. Elle avait comme le pressentiment d'une catastrophe, avec pas mal de choix sur les hypotétiques causes d'un foirage complet de la journée qui avait déja mal commencé. Entre les prises de pieds dans les marches, la gerbade inopinée d'un rejeton sur un majordome maniaque, un frère ivre qui tentait de le cacher et ... mouarf.. mieux valait ne pas y penser.
La cathédrale en vue, la voiture d'arrêta juste devant. Toujours accrochée au bras de son double la seule chose que la donzelle trouva a dire c'est ..
Nan nan .. j'bouge pas de la tant que je ne suis pas sure qu'il est dedans ! .. tu le tues sinon hein mon enchanteur ? - Joachim.Du.Bellay, le 24/01/2010 à 17:17 a écrit:
- Voyant à l'horizon se profiler Nantes et tous ses somptueux édifices, Joachim ralentit l'allure de Borysthènes, son équidé égal à lui-même. Il entra donc après encore quelques petit trots dans la ville même, passant tous les contrôles d'usage, se faisant d'ailleurs même féliciter par quelques douaniers pour son mariage prochain. Là, il reconnut quelques têtes, saluant tout le monde du haut de son canasson - trop la classe ! - il filait doucement vers la cathédrale quand, parmi toutes ces têtes connues, il crut reconnaitre celle de son fils ! Fulgence ! Mais, chose étrange, il ne reconnut que la tête : son corps était carrément méconnaissable paré de ses étranges habits. Mais quel mouche avait piqué son fils pour qu'il décide de s'habiller ainsi, montrant à tous l'étendue de la palette de couleur dont disposait le tisserand qui avait réussi à coudre ensemble un habit si atypique. C'est simple, Fulgence rayonnait de milles feux, et il était difficile de le louper : Du rose, du jaune, du blanc, du noir, du marron, du kaki, du bleu, du vert, du vert olive, du rouge bordeaux, du bleu couleur ciel d'été et encore des centaines d'autres couleurs étaient représentés sur ses habits pour le moins surprenants.
La surprise étant passée, il accéléra son allure pour rejoindre son fils, le hélant :
Fulgence, qu'est ce donc que cet accoutrement ? Et qu'est ce que ... *il sentit alors une sale odeur d'égout ou de caniveau ...* cette odeur ! Filons vite, cela sent très mauvais par ici ... - Deguerlace, le 24/01/2010 à 17:28 a écrit:
- Hein ? que ?
Mon père ?
Fulgence s'inclina rapidement
Bien le bonjour.
C'est que ... euh, oui.
Pour la première fois depuis sa sortie de l'auberge, il baissa les yeux sur sa tenue et tenta vainement de cacher sa surprise, enfin, bon, il avait toujours son couvre chef, l'honneur était sauf.
Oui, en effet je vous suis, surement un rat mort, quelque part.
Son père n'ayant pas fait mine ne serait qu'un instant d'étonnement de le croiser ici, Fulgence se dit qu'il garderait pour le moment pour lui la question qui lui brulait les lèvres : mais que donc faisaient ils tous ici ? - zigo35, le 24/01/2010 à 17:36 a écrit:
- Zigo faisait les cent pas devant la cathédrale, il était légèrement nerveux.
Euh, il n'y a pas une taverne quelque chose dans le coin? j'irai bien boire une bolée avant moi... !
Il afficha un petit sourire
Vous aurez ce qu'il vous faudra au banquet mademoiselle, un peu de patience!
Son sourire s'agrandit quand il vit du monde s'approcher, ouf il ne s'était pas planté! Un carrosse se gara devant les marches et il vit enfin la troupe débarquer, Gwen Guyom, Lyly, Ignace, Aze Cyprien et le petit dernier et... personne? Il se pointa près du carrosse et frappa à la porte
toc toc Y'a du monde? La rousse se défilerait elle? - Ombeline, le 24/01/2010 à 17:43 a écrit:
- [En route vers la Cathédrale de Nantes]
Et voilà, la calèche aux armoiries d’Ytres et d’Avesne-les-Bapaume parcourait les chemins et vallées en direction de la Bretagne et ce sous bonne escorte, notamment en raison de la nouvelle fonction de la jeune Baronne au sein de l’Artois. La carriole était conduite par le fameux Rufus, coursier bougon de l'ancienne Capitaine d'Artois, et escortée en tête par son garde personnel calaisien, Lordkiche et la nouvelle Capitaine Jaid ... Quelques fidèles soldats et des proches les accompagnaient aussi pour cette excursion loin des terres artésiennes.
La jeune Baronne ou plutôt Comtesse dorénavant était en route pour le mariage de son vieil ami Joachim. Hum … Joachim, Joachim … Il avait enfin trouvé sa moitié … Elle avait eu quelques échos positifs sur la jeune femme par l’intermédiaire de son ami et collègue Yoshilas, Cac et avait bien hâte de faire sa rencontre.
Les toits de la cité des Grands ducs commençaient à apparaitre entre les cimes des arbres. Emmitouflée dans son manteau blanc elle observait silencieusement le paysage qui défilait sous ses yeux à travers la fenêtre de la petite calèche. Il y avait bien longtemps qu’elle avait empruntée cette route, oui très longtemps….hum, pas forcément que de bons souvenirs mais le passé était le passé. Les temps changent, la vie évolue.
Nathanaël et Killian dormaient à ses côtés ensevelis sous le flot de couvertures multicolores qu'elle leur avait, une heure plus tôt, déposée sur leurs petites épaules. Elle avait bien hâte d'arriver afin de sortir de cette boite. Cela faisait plusieurs jours qu’ils étaient confinés dedans. Heureusement, les relais en tavernes permettaient de se dégourdir les jambes et de profiter d’agréables bains. Elle observa les deux voisins qui lui faisaient face… Son ami Yoshilas et l’ancien connétable Leportel devenu fauconnier depuis en son manoir et proche confident.
Des coups retentirent au plafond ainsi que la voix rauque et tonitruante du vieux coursier.
Patronneeeeeeeeeuuu, zon rentre dans Nantes, za plus quelques ruelles de là..... Zety que vois le clocher d’ la cathédrale là … Cety y a du monde, vindiousssss, pas jour de marché mais quand même… za cause un drôle de patois izi… y a du peuple, des calèches devant, crénom de bonté de mère…fait faire zattention à la route … J’vous redis zen arrivant devant le parvis.
Hum, Rufus, toujours égal à lui-même… Elle tendit le cou en direction du cocher, et scanda à ce dernier.
Bien bien, ouvrez bien les mirettes, hein. Pas la peine de causer un accident de parcours.
Elle reprit sa place et porta son attention vers ses voisins de boite^^.
Préférez-vous repasser à l’auberge avant ou aller directement à la Cathédrale ? - Joachim.Du.Bellay, le 24/01/2010 à 17:54 a écrit:
- Viens Fulgence, vite ! Si Leyah voit que je suis en retard, elle me tue !
Arrivant enfin au niveau de la Cathédrale, Joachim et son fils passèrent alors par l'arrière, laissant le canasson à un domestique qu'il choppa, ils entrèrent par la porte arrière de la cathédrale. Ils arrivèrent ainsi dans une petite salle, un genre de petit vestiaire, située derrière le chœur sur le côté droit de ce dernier. Bref, vérifiant une dernière fois sa tenue, il entra réellement dans l'Église par le côté opposé de la Grande Entrée, faisant ainsi mine d'être là depuis longtemps.
Voyant Kurios qui se calait une ou deux bouteilles aux côtés d'Alié, il les salua brièvement de loin, se promettant d'aller les voir ensuite. C'est alors qu'il remarqua un fait étrange.
C'est étrange, Fulgence, cela sent assez mauvais ici aussi, ne trouves tu pas ? | |
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| Sujet: Re: Une union particulière ou conte de la folie extraordinaire ( 24 Janvier 1458 ) 15/8/2010, 11:46 | |
| - Meiline, le 24/01/2010 à 17:55 a écrit:
- Meiline ajusta bien sa robe, d'un mouvement de bras elle la frotta et la plissa.
Elle regarda à gauche et à droite espérant voir le marié, la mariée, un ami, une connaissance et son regard s'arrêta sur Zigo qui se dirigeait d'un pas pressant vers le carrosse, elle sourit et se dirigea vers le parvis de la cathédrale afin d'être au première loge pour voir la mariée. - Deguerlace, le 24/01/2010 à 18:02 a écrit:
- Et zut !
Le mariage, voilà ce qu'il venait faire ici. Enfin tout cela n'expliquait pas vraiment la soirée de la veille, mais bon chaque chose en son temps ...
Fulgence suivit son père sans mot dire.
Et double zut ! Encore une chose qu'il avait oublié, même avec des vêtements propres, lui ne l'était pas. Saleté de journée, décidément, cette ville ne l'aimait pas.
En effet, c'est fou.
Quoique ... Cette église à l'air bien mal tenue, il y a des plantes qui trainent partout, je suis sûr que ça doit grouiller de bestioles, il y a même de la terre qui traîne. Etes vous bien sûr de ne pas vous être trompé d'endroit ? Qui peut bien tenir aussi mal la maison de Dieu ?
C'est à ce moment que Fulgence aperçut son père qui faisait signe au baron de Loyat qu'il avait déjà eu l'occasion de rencontrer, c'est aussi au même moment qu'il prit la décision d'ouvrir la bouche le moins possible pour tout le reste de la journée, afin d'éviter un maximum de catastrophes ... - fayom, le 24/01/2010 à 18:02 a écrit:
- Sur les routes bretonnes, matinée du 24 janvier.
Le matin se levait sur la campagne bretonne. Fayom se réveillait en pleine forme, son voyage en Bretagne l'avait bien reposé, surtout ses parties de pêche à St Brieuc. Comme espéré, il avait pu revoir tout ses amis enfin au moins les plus proches. Et pour clôturer ce séjour, il avait été invité au mariage de la vicomtesse Leyah. Une vraie Bretonne la Leyah, sacré caractère mais Fayom l'appréciait beaucoup, aussi français qu'il pouvait être. Certes ce n'était pas comme avec Aelyia avec qui il avait un lien intime ; non la plupart des rapports entre eux, était d'ordre commerciale. Il n'empêche que par ce biais, il s'était créé un vrai lien amical et Fayom était plus qu'heureux d'assister à son mariage.
Après avoir déjeuné, préparé toutes ses affaires .... Il prit la route direction Nantes. Par chance, cela le rapprochait de la frontière poitevines, il aurait été bien embêté s'il avait dû se rendre à Brest :? . Enfin le voilà dans la charrette avec son épouse et ses enfants espérant arrivé sans retard, mais pas trop en avance non plus, car sûr que Leyah sera infernale avant la cérémonie .
- milouse, le 24/01/2010 à 18:04 a écrit:
- [A l'intérieur de la cathédrale, un banc de choix]
Heureusement que sa Douce lui avait rappelé le matin même, l'importance du jour. Il était ravi d'assister à l'union de sa vassale et de surcroit amie depuis leur rencontre et entente au pôle économique pour la grandeur du Duché. De plus, sa Douce avait été appelée pour officier sous les traditions druidiques.
Une journée comme il aimait raison qu'il patientait sans humeur de la lenteur de ce genre d'événement. Il profitait du moment tranquillement sur son banc observant le monde breton venant assister à ce mariage. De temps à autre et assez souvent pour tout dire, il la cherchait du regard pour rafraichir sa mémoire visuelle de son image enivrante - Anastriana, le 24/01/2010 à 18:22 a écrit:
- [Manoir de Coëtlogon]
"... et donc ensuite vous avez l'investiture du Dug. _Heu... On a prévu un attelage rapide alors? _Oui Jean a fait atteler Tornade et Eclair. _Ha bon tout va bien alors."
Ana se lève, s'observe une dernière fois devant son grand psyché... Caresse le gonflement abdominal qui lui fait un silhouette horrible... Et croise son gilet de laine devant, ainsi, on ne le voyait plus. Enfin pour le moment. Plus les semaines passaient, plus ça devenait visible, tout de même. Bientôt, un simple gilet ne cachera plus ce qu'elle doit effacer devant certaines paires d'yeux.
Elle prend les jupons de sa robe émeraude en main, après avoir ajusté sa coiffe.
"Et bien, ne perdons pas de temps alors, mariage!"
[Cathédrale de Nantes]
Ana s'avance avec élégance, monte les marches jupon en main, et avise une place fort discrète par là, au fond à droite, oui oui, parfait... Elle s'installe, retire sa coiffe, regarde autour d'elle, elle connait peut-être certains des invités... Et fait un franc sourire à Meiline.
Le reste n'est qu'attente, attente de voir l'entrée de la mariée. Toujours un moment où l'assemblée retient son souffle... - fayom, le 24/01/2010 à 18:25 a écrit:
- Arrivée à la cathédrale de Nantes.
Après quelques heures de route, ils parvinrent aux portes de la capitale bretonne. N'étant jamais venu ici auparavant - il avait bien contourné la ville leur de son premier voyage, arrivant de Saumur pour se rendre à Rieux - il demanda à quelques Nantais le chemin de la cathédrale. Heureusement l'édifice étant imposant, il eut pas trop de mal à s'y rendre. Il y avait une foule assez importante devant le parvis, Il laissa donc la charette dans une ruelle et finit le chemin à pieds. Se faufilant jusqu'à l'entrée, il cherchait une tête connue dans toute la populace présente. Il vit bien le carosse des Bleizhmorgan mais préféra attendre la fin de la cérémonie pour aller les saluer. Il entra donc à l'intérieur et s'installa sur un banc, pas trop près ni trop loin sur la gauche. - Leyah, le 24/01/2010 à 18:30 a écrit:
- Toc toc
Y'a du monde? La rousse se défilerait elle?
Sans répondre la rousse secouait frénétiquement la tête de droite a gauche. Regard croisé avec Cyprien, et celui ci ne se fit pas attendre, il ouvrit la porte de la voiture, passa devant le nez de Zigo avec un faible hochement de tête en signe de salut et se mit a courir jusque l'entrée de la cathédrale. Demi tour droite, courant avec sa main plaquée sur son chapeau, le majordome vint murmurer deux paroles a la vicomtesse bloquée assise sans pouvoir effectuer le moindre mouvement. Le teint pale reprenant des couleurs, la rousse toisa Zigo d'un regard faussement noir.
Me défiler moi ? Tsss ..
Elle se pencha légèrement vers l 'oreille de son cousin puis plus bas lui marmonna quelques petits mots sur le fait que si elle avait voulu esquiver cette journée si importante, elle aurait prétexté cette mascarade qui se déroulait a Rennes au même moment. Large sourire fendant son visage, et c'est ainsi qu'elle sorti d'où elle s'était planquée , faut il le préciser, au bras de son frère qui comme toujours était mi ronchon mi moqueur. Sourire a son double , qui la mena a l'entrée de la cathédrale. Endroit même ou ses pieds eurent une légère hésitation. En règle générale , elle fichait le camp bien avant l'arrivée a l'église, la elle avait battu un record. Le tout était maintenant d'entrer et ne de pas prendre ses guibolles a son cou pour filer bien vite. Un pied devant l'autre, ses ongles serrant le bras de son jumeau, la rousse ne regardait plus rien d'autre qu'une ligne droite a suivre pour poser les pieds. Un nouveau pas, encore un autre .. et cette fois ses pieds furent a l'intérieur de la cathédrale. Trop taaaaaaaaard ! Elle y était, plus question de tourner les talons a cet instant précis. Respirant un grand coup .. pas laisser paraitre, jamais .. la rousse avança a pas lent, sans lâcher une seule seconde ce bras qui la soutient.. encore que, c'était a se demander qui soutenait qui .. C'est qu'il était lourd son frangin a soutenir !
Une fois l'étape de la porte passée, l'allée fut franchie sans trop de souci, juste quelques nausées, un terrible mal d'épaules a soutenir le poids de son double, trois pliages de chevilles qui manquèrent de la fiche par terre .. rien de neuf sous le soleil.
Léger sourire a Kurios et Alieniore , regard circulaire a la recherche de son Suzerain témoin , n'étant jamais loin de sa douce, elle devait pouvoir le trouver quelque part de ses petits yeux .. ce qui fut chose faite assez rapidement . Sa présence lui faisait grandement plaisir aussi afficha t -elle son immuable sourire toutes quenottes sorties. Retour du regard vers l'avant pour apercevoir le grand chapeau et écarquiller les yeux sur la tenue des plus affriolantes. Pour sur ! Suila ! Il allait lancer une nouvelle mode ! * note pour elle même lui demander le nom du tisserand ou il s'était fourni, cela pourrait toujours servir * Regard sur les amis présents, un autre sur les siens .. pour finir par un regard qui se pose sur sa moitié cherchant a capter ses pupilles pour ne plus les quitter.
- Deguerlace, le 24/01/2010 à 18:38 a écrit:
- Fulgence se tenait là, quelques pas en arrière de son père, essayant tant que possible de rester le plus loin possible de tout ce qui possédait un nez tout en cherchant désespérément d'autres boucs émissaires pour la suite des choses.
C'est alors que la vicomtesse entra, ce que Fulgence ne remarqua pas, cette étrange impression d'avoir encore oublié quelque chose le distrayait. - zigo35, le 24/01/2010 à 18:38 a écrit:
- Léger sourire quand il vit la rousse essaya de lui lancer un regard noir, un autre quand elle lui raconta ces mots, puis il rentra rapidement dans l'église prendre place à côté de Meiline. Il y avait du beau monde ici, ils devaient faire une drôle de tronche à la mascarade en voyant le manque de monde, mais enfin à choisir, le mariage était beaucoup plus important.
- aricie, le 24/01/2010 à 18:48 a écrit:
- [Loyat]
La jeune fille était prête, elle avait sorti son accoutrement des grands jours, et elle attendait, attendait, et attendait encore. Que pouvait il bien faire?! Suite à un long soupire, elle s'écria
Boris! Prépares les chevaux! Je vais être en retard et Joa finira par me pendre!
A peine un quart d'heure plus tard, elle était en route pour la cathédrale de Nantes
[Arrivée à la cathédrale]
Pas franchement en avance, elle entra discrètement dans le lieu saint. Son regard se promena sur chaque personne présente, puis finit par s'arrêter. Evidemment, elle pouvait l'attendre longtemps... Elle s'approcha, puis toussota pour notifier sa présence.
Hum hum... - Meiline, le 24/01/2010 à 18:48 a écrit:
- Meiline glissa sa main dans celle de Zigo et trépignait d'impatience de voir la mariée et lui murmura à l'oreille
- vous l'avez vu? elle est jolie je parie? rha j'ai trop hâte de la voir
Elle croisa le regard Anastriana elle lui fit un grand sourire et articula tout bas * Demat toi*
Du monde commença à prendre place dans la somptueuse cathédrale que Meiline voyait pour la première fois, ses yeux se perdaient sur les fresques et la décoration de celle ci. - Einigriv, le 24/01/2010 à 18:52 a écrit:
- [Réo’z et sur la route]
Départ chaotique après une petite altercation avec la vieille bique de l’église qui lui surinait qu’elle ne pouvait s’absenter un jour de messe et qui la menaçait de dire à ses parrains qu’elle filait retrouver un transi en douce.
Aller donc expliquer à une vieille femme sourde, qu’on va assister à un mariage à la cathédrale de Nantes en moins de une heure et demie…Et bien, elle peut vous l’affirmer, ce n’est pas possible !!!
Et elle ne pouvait guère être en retard à cette union à laquelle, elle était fort heureuse d’assister.
Robe, cape et couverture pour le chemin, décidément les températures n’aidaient pas. Sur qu’avant d’arriver, elle serait frigorifier, écarlate, et très certainement entièrement décoiffée, si Droguedad ne cessait pas ses folies…
[un moment plus tard dans la cathédrale]
Arrivée enfin, elle fut heureuse de voir que le bâtiment était déjà bien rempli, au moins il y ferait chaud. Elle reconnut des visages familiers qu’elles salua souriante, puis se mit en quête d’un banc, pour y attendre confortablement la cérémonie. - Guiyom, le 24/01/2010 à 18:52 a écrit:
- Les invités arrivés, la mariée était rentrée tout se passait à peu près bien jusque là
Yom s'était assis parmi la foule gardant un œil sur l'office et sur les mariés. Il ne les lâcherait pas du regard tant qu'ils n'auraient pas échangés leurs vœux.
Rapide œillade cependant à la cathédrale dont la décoration était pour le moins surprenante. Et magnifique, tant elle rendait presque vivant un édifice bâtis dans un matériau aussi froid que ne l'est la pierre.
un autre coup d'œil sur l'assemblée, quelques personnes qu'il connaissait, famille, personnalités ou camarade de vadrouille...il y en avait du beau monde qui s'était déplacé... - zigo35, le 24/01/2010 à 18:57 a écrit:
- Il avait les yeux rivé sur la porte centrale attendant la mariée, c'est qu'elle savait se faire désirer!
Il sentit une main se glisser dans la sienne et il entremêla ses doigts à ceux de la demoiselle avec un léger sourire
vous l'avez vu? elle est jolie je parie? rha j'ai trop hâte de la voir
Oui jolie et stressée aussi!
Il commençait à s'impatienter, il avait horreur de se pointer à l'église mais bon il valait mieux pour sa vie qu'il soit présent aujourd'hui - Joachim.Du.Bellay, le 24/01/2010 à 18:58 a écrit:
- Restant alors fixé sur la magnifique rousse qui venait d'entrer, il oublia d'un coup tous les tracas d'une vie dont le temps précieux s'écoulait trop souvent dans des futilités politiques, pour se concentrer sur la magnifique demoiselle qui semblait arriver vers lui.
Il n'avait même pas eu le temps de saluer les invités, il espérait qu'il arriverait dans tout le cérémonial, à la fois à embrasser sa dulcinée rapidement et à saluer ses invités comme il se le devait. Pensant justement aux invités, il en vint à penser à son invité particulière, cette Artésienne chère à son coeur qui l'avait maintes fois soutenu, et puis en pensant à cette dernière, il pensa à son fils, le petit Nathanael, un jeune homme charmant. Puis pensant au fils d'Ombeline, il en vint à penser à son fils, Eryk ... Eryk ? ERYK !!! Son regard chercha alors frénétiquement Cyprien, l'homme censé gardé son fils. Il prit peur quelques secondes en ne trouvant pas ce dernier puis, finalement il se calma en posant son regard sur un Cyprien caché derrière une foule de gens ... Eryk était là tranquille, dans les bras de Cyprien. Tout allait pour le mieux ... | |
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| Sujet: Re: Une union particulière ou conte de la folie extraordinaire ( 24 Janvier 1458 ) 17/8/2010, 00:47 | |
| - aelyia, le 24/01/2010 à 18:59 a écrit:
- Aelyia avait suivi l’entrée de sa tante dans la cathédrale de Nantes au bras de son père. Emouvant moment que de la voir remonter l’allée en compagnie de son jumeau pour rejoindre celui qui allait prendre une place définitivement reconnue dans sa vie.
L’église accueillait de nombreuses connaissances et la jeune femme salua d’un sourire ou d’une révérence discrète, les amis et personnalités bretonnes qui honorait sa tante de leur présence. Ignace toujours à ses cotés, elle prit place à coté de cousin Guiyom. Un peu rêveuse, le regard de la jeune femme s’attarda sur Ignace, imaginant le jour où… Sourire aux lèvres, elle fixa de nouveau son attention sur les mariés. La cérémonie allait bientôt commencé, elle imaginait leur impatience. - normandie77, le 24/01/2010 à 19:00 a écrit:
- Norm entra dans la Cathédrale a la suite de Zigo et Meiline et s'installa a côté d'eux.
- Deguerlace, le 24/01/2010 à 19:01 a écrit:
- En pleine réflexion, Fulgence ne manqua pas de sursauter avant de faire volte face en entendant tousser derrière lui.
Et zut de zut de rezut ! Forcément, mais combien de souvenirs allaient encore lui exploser à la figure dans la journée ? Tentant de garder pleinement sa maîtrise de lui même mais aussi une vague crédibilité, il se découvrit, et fit un effort pour s'incliner autant qu'il le pouvait, encore plus bas que ce qu'il réservait à son cousin, ce qui ne manqua pas de faire resurgir un sérieux mal de crâne.
Madame la mairesse !
Quelle joie de vous voir enfin ici ! Je vous attendais impatiemment, c'est que je me faisais un sang d'encre de ne pas encore apercevoir votre doux visage, j'ai crains le pire. J'espère que vous avez fait bon voyage.
Et zut, voilà qu'elle était bien trop près, il fallait agir, et vite.
Mais, je ne voudrais pas vous accabler de question, vous devez avoir besoin de vous assoir si vous venez d'arriver. Allons donc chercher une place un peu plus loin, j'ai l'impression que ce gros monsieur là, juste là, dégages une odeur peu habituelle, il y a des gens qui ne savent pas se tenir, même en ces lieux.
Fulgence lui fit signe de passer devant lui en s'inclinant à nouveau et la suivit, ce qui lui permit de passer à proximité d'un bénitier, qu'il mit à profit pour s'asperger rapidement le visage, espérant, vainement, passer inaperçu le visage ruisselant. - 197856, le 24/01/2010 à 19:09 a écrit:
- A quelques encablures, un groupe de plusieurs chevaux, identifiable comme l'avant garde d'une armée ou une formation militiaire se profile, ralentit puis s'arrète sur une hauteur non loin de Nantes. Dans le paysage se dessinent les bêtes et les hommes, les lances droites et les oriflammes qui claquent sous la brise. L'une des silhouette perchée sur son destrier mets pieds à terre, et aide un autre, plus menue, à descendre également de la haute monture. Après quelques échanges et ce qui ressemble à le voir d'ici à une accolade, la frèle silhouette prends le chemin de la cathédrale tandis que l'autre se remet en selle et observe l'avancée de son précieux colis.
- Cibeline, le 24/01/2010 à 19:10 a écrit:
- Cela faisait des jours qu'ils étaient sur la route, et profitaient de chaque instants ensemble , sachant qu'au retour à NIORT ils auraient peu de temps pour eux.
La pêché avait été une parti de plaisir et quand Cibeline sut qu'ils étaient invité à un mariage, qui plus est de la Vicomtesse Leyah, Cibeline avait paniqué un moment se demandant comment ils allaient faire, elle n'avait prévu aucune tenue pour ce genre d'événement. Faisant les différents marché, elle avait trouvé de quoi apprêter toute la famille.
La route jusqu'à la Cathédrale s'était bien déroulé. Quand son mari arrêta la charrette, elle en descendit tenant leur fils dans les bras et aida Angéle. Ils le suivirent jusqu'à la Cathédrale et prirent place auprès de lui.
- aricie, le 24/01/2010 à 19:12 a écrit:
- A peine se fut il retourné qu'elle aperçut son visage déconfit. Elle lui sourit, serrant légèrement les dents.
Mademoiselle... c'est Mademoiselle... Combien de fois faudra t-il vous le répéter?
Ceci dit, elle suivit tout de même la direction qu'il lui indiquait, ne s'arrêtant plus sur ce détail qu'il oubliait à chaque fois.
C'est marrant, j'étais persuadée que vous deviez passer à Loyat. Mais sans doute avons nous du mal nous compr...
Elle venait de se retourner, et sa phrase se finit dans un rire. Le visage de l'homme était ruisselant.
Mais qu'avez vous donc fabriqué? - Leyah, le 24/01/2010 à 19:15 a écrit:
- Les yeux plantés dans ceux de sa moitié, ne voulant les lâcher sous peine d'évanouissement abusif avec galipettes assorties, la rousse fut prise d'une légère panique quand il fouilla l'assistance du regard subitement.
Le regard de la rousse suivi le mouvement, cherchant ce qu'il cherchait, trouvant finalement Eryk endormi dans les bras de Cyprien. Aucune craintes .. Cyprien avait reçu une formation commando de la dague pour parer tout attaque, polyvalent le majordome ! Nouveau sourire entre attendri et moqueur et elle fit les quelques pas qui le séparaient de son presque époux. Futur n'étant plus le mot vu la proximité de celui ci. Plus qu'un pas, et elle se retrouva cette fois face à lui avec ce sourire qui restait figée a croire qu'on lui avait accrochée les joues aux oreilles avec des fils invisibles.
Buste légèrement penché en avant gardant toujours une main accrochée au bras de son jumeau, elle marmonna très discrètement un "bonjour toi" approprié puisqu'ils ne s'étaient vus depuis la veille. - laceter, le 24/01/2010 à 19:16 a écrit:
- Laceter De Bellefort et Petite_Fleure avait bien recu cette invitation qui leur avait fait étirer un grand sourire. Ils avaient donc prévus de s'y rendre et toute la matinée à se préparer, se pomponner! Sa compagne en avait profité pour faire du tri dans leur garde-robe et bientôt, ce que devait être sa tenue habituelle en noir fut changée en une toute nouvelle et trés belle chemise blanche qui lui saillait bien...
Il l'aida à son tour à choisir une magnifique robe qui pourrait lui convenir. Tout lui allait, elle était incroyablement belle. Il lui brossa longuement les cheveux pour les lui rendre lisses et elle, de ses doigt, délicatement le recoiffa à peine, pas grand chose à faire avec une tête rasée mais elle avait quand même fait le geste pour marquer le coup...
Et voilà, ils étaient fin prêts et bras dessus, bras dessous, ils allaient pouvoir prendre la route....
[ Plus tard ]
Les voici donc rendus et c'est avec surprise, qu'ils virent déjà du monde à l'intérieur. Seraient-ils en retard ? Ils se regardérent longuement amusés puis toujours bras dessus et bras dessous, emboitant son pas dans celui de Fleure, Laceter De Bellefort et sa compagne firent leur apparition briévement pour aller s'asseoir sur un banc. Discrétement, il déposa un tendre baiser dans le cou dans son amour et garda sa main posée avec tendresse sur celle de la jeune femme qui caressait avec minutie ce qui bientôt serait un petit bout. - Deguerlace, le 24/01/2010 à 19:17 a écrit:
- Hein ?
Ho, euh, rien rien, j'ai trébuché, veuillez m'excuser, c'est le choc d'apprendre que je vous ai fait attendre, soyez assurée que je m'en voudrais éternellement, nous avons du mal nous comprendre en effet, c'est que je suis arrivé ici en compagnie de mon père.
Fulgence tenta d'afficher alors un sourire innocent, ça avait bien marché une fois, pourquoi pas deux ? - aricie, le 24/01/2010 à 19:28 a écrit:
- Elle décocha son plus beau sourire, puisqu'il faisait semblant de ne pas l'avoir oubliée, elle ferait semblant de le croire.
Allons nous asseoir, je suppose que les risques de trébucher sont moindres une fois assis.
Elle lui attrapa délicatement le bras, puis l'entraina vers une place sur laquelle elle finit par s'asseoir.
Je pense qu'ici, ce sera parfait! - Joachim.Du.Bellay, le 24/01/2010 à 19:29 a écrit:
- Il sourit à la vue de sa promise qui approchait, leurs regards se croisant parfois. Il souriait toutefois un peu moins lorsque son regard croisait, par mégarde, celui de l'homme qui l'accompagnait... Gwenc'hlan. Si la bienséance l'autorisait, il aurait déjà entamé une danse de la joie, remuant dans tous les sens autour du futur beau frère en criant : "J'ai gagné ! J'ai gagné !!!! T'as perdu ! Elle est à moi !!! Et toi, t'as perdu ! J'aiiiiiiii Gaaaaa-gnéééééééééééé !!"
Et ce sur quoi il aurait enchainé sur une danse magnifique en solo devant les yeux ébahis du beau frère, pleurant de rage que d'avoir perdu sa sœur.
Mais voilà, la Bienséance l'empêchait de faire cela ! Il se contentait donc de soutenir le regard du beau'f, un petit sourire narquois au bout des lèvres. Lorsqu'elle arriva à sa hauteur, il ne put s'empêcher de lui répondre un petit "Bonjour, mon cœur" avant de se tourner vers Gwen pour lui souffler un "Salut l'Beau'f". Puis il se tourna vers Fulgence, c'était le moment de le présenter à sa future Mère et, n'ayant le courage de le séparer de sa cavalière, il les héla, lui et sa cavalière.
Fulgence, Aricie, venez par ici, je vous prie !
Une fois qu'ils arrivèrent, à leur hauteur, il présenta son fils à sa femme et sa femme à son fils.
Fulgence, voici donc Leyah Bleizhmorgan, Vicomtesse de Montfaucon, ma promise. Leyah, voici Fulgence de Guerlace de Brocéliande, mon fils.
Voilà, ainsi les présentations ont le mérite d'être faites. - Maewenn, le 24/01/2010 à 19:31 a écrit:
- Après maintes et maintes discutions, la jeune demoiselle n'avait réussi à le décider. C'est qu'il ne la volait pas sa réputation de vieux débris ronchon et acariatre. Tss, elle était persuadé de le convaincre. Pourtant, lorsqu'ils avaient pris la route plusieurs jours plus tot, rien n'était décidé. Lui et les eglises ...
Serrée contre lui sur sa monture, entourés de ses hommes, ils étaient enfin arrivés à Nantes sans encombre majeure mais avec toujours ce refus de l'accompagner. Alors qu'il l'aide à descendre, Mae tente une dernière fois de le persuader.
Une seule journée, ca passera vite j'vous jure ... Pis il va etre bien ce mariage j'suis sure.
Une accolade qu'elle prit comme un au revoir et voila la demoiselle qui s'éloigne en grimacant. Tss permission de minuit en plus, il se prend pour qui l'autreuuuuuuuu. D'une démarche altière, la jeune demoiselle richement vêtue avance vers la cathédrale. La foule commencait à s'amasser sur le parvis. Elle monte les marches puis se glisse dans le cortege qui remonte l'allée. Hum demoiselle d'honneur qu'on lui avait dit, mais dans quoi elle s'était encore embarquée ma parole. - Deguerlace, le 24/01/2010 à 19:34 a écrit:
- A peine assis il fallait se relever, mais pourquoi tout le monde voulait le trimballer partout comme ça ?
Enfin, au moins, en ne restant pas trop longtemps sur place, il eut un peu de répit pour trouver des raisons à cette odeur.
Arrivé à sa hauteur, il s'inclina devant la vicomtesse, moins que devant madame la mairesse tout de même, et se découvrit, mettant son couvre chef derrière son dos loin des regards envieux de la future mariée.
Enchanté madame la vicomtesse. Mais c'est que, père, je m'étais douté qu'il s'agissait là de la mariée vu son habit, et puis surtout, nous nous sommes déjà rencontrés ... - Kurios, le 24/01/2010 à 19:35 a écrit:
- L'évêque causait nonchalamment avec la verdruis Aliénore. Il s'échangeait la gourde de temps en temps pour s'humidifier le gosier.
Ils attendaient que tout le monde s'installe et que le fiancé et sa future épouse arrive dans la cathédrale décoré au couleurs de la terre bretonne. Quand on dit la terre c'est la vrai terre... Il lui avait même semblé voir se faufiler quelques hermines blanches qui cherchaient désespérément des cachettes entre les différents tas de plantes et de buissons ramené pour l'occasion.
Le ménage allait être laborieux. Quel avantage d'être le chef et de donner les ordres...
Le soleil traversait de ses rayons chaleureux, les vitraux de la cathédrale. Les reflets colorés , de bleu de rouge, de jaune et même de violet donnait l'impression que les murs étaient parsemés de joyaux d'une extrême richesse. Quel joie que le soleil fut de la partie. Nous étions en outre à une heure où il dardait des flèches orangés directement contre les murs. les flammes des bougies faisaient danser les ombres des hommes et des plantes. Les "herbes folles" sombres donnaient ainsi une sorte de vie au mur.*
L'air était léger, l'atmosphère gai, l'hiver semblait ne pas refroidir les cœurs des hommes. La vie, le mouvement, l'hiver n'était pas, grâce aux hommes il n'était plus.
les cris des enfants, les murmures des parents, les sourires de célibataires, les odeurs de... les odeurs des rats musqués... encore des bestioles dans l'église... L'évêque se dit qu'il ira rosser les foutus enfants de chœurs pour avoir laisser rentrer des bêtes aussi puantes. Une famille entière vue l'odeur qui a surement dû dormir dans un caniveau. Et question odeur de caniveau il s'y connaissait le prélat.
Le futur marié venait d'arriver. l'évêque ne lui proposa pas de gorgée il fallait qu'il garde l'haleine fraîche pour sa future épouse et dieu sait que c'était difficile... d'autant plus avec quelques gorgées de prune dans le goitre.
Soudain la musique se mit à retentir les portes laissèrent apparaître la somptueuse Leyah. une douce musique celtique emplit la nef de sonorité bretonne, anciennes, des sonorités qui retentissent dans nos âmes et dans nos cœurs, dans nos cimetières, dans nos église et dans nos champs depuis que le monde est monde. Notre monde, notre Breizh.
Elle arriva alors vers les deux officiants qui s'étaient postés à l'ouest du cercle tracé par Alié.
Il rendit son sourire à la rouquine.
Demat mes amis! Nous pouvons commencer dès que vous le souhaitez.
(edit on s'adapte)Il laissa finir le cinéma du petiot qu'il avait rosser en taverne tellement fier de son mariage - Riwan Nathan, le 24/01/2010 à 19:37 a écrit:
- Manteau d'hermines, Couronne ducale etc etc; bref l'habit de cérémonie habituel.
J'entre discrètement, pour une fois, dans le lieu saint, ma garde restant à l'extérieur. Et je me demande bien comment passer le temps. | |
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| Sujet: Re: Une union particulière ou conte de la folie extraordinaire ( 24 Janvier 1458 ) 17/8/2010, 00:53 | |
| - Gwenc'hlañ, le 24/01/2010 à 19:43 a écrit:
- Gwenc'hlañ devait aller s'assoir mais il ne put retenir une remarque pour sa sœur à voix basse pour que seul elle puisse entendre...
Avec son sourire narquois et la façon dont il m'appelle, il est à deux doigts de sentir passer ma légendaire diplomatie dans sa petite tête... Un mot de trop de sa part et ce mariage sera annulé on fêtera un enterrement...
Il ne laissa pas le temps à sa sœur de lui répondre, il voulait s'éloigner aussi vite que possible de cette infamie qui allait épouser sa sœur, en réfléchissant à tous les scénarios possibles pour faire croire à une mort accidentelle de ce mécréant.
Au départ, il se dirigea vers un siège proche d'Aelyia mais voyant le jeune Ignace à qui il n'avait pas eu le temps de répondre il préféra prendre quelques distances, le mariage de sa sœur avec l'autre plus la proximité d'un voleur de fille sans Lelyana à ses coté ça aurait été trop pour une seule journée... - aricie, le 24/01/2010 à 19:47 a écrit:
- On lui avait pourtant parlé d'un mariage, pas d'une course à pieds! La demoiselle se leva et suivit son cavalier, se demandant soudain d'où pouvait bien venir cette odeur. Le gros monsieur étant maintenant loin... ce ne pouvait être lui. Quelle étrangeté... Arrivée à hauteur des mariés, elle les salua, d'un genre de dire "vous avez vu? Je suis venue! Alors dépêchez vous!". Ce qui ne l'empêchait pas d'être heureuse pour eux. Elle se pencha alors discrètement vers son grand père.
Grand papa, tu m'avais dit que cette histoire de rats était réglée. Alors d'où peut bien venir cette odeur??? - Ombeline, le 24/01/2010 à 19:54 a écrit:
- [Direction le parvis et la cathédrale]
Il avait décidé finalement de se rendre directement au mariage, sans arrêt au préalable dans une auberge. La calèche s'arrêta complètement.
Zety tout bon, patronne, on est dans la plazeeeeeeeee !!!
La conversation animée dans l'habitacle s'interrompit donc. Leportel sortit le premier, et aida les deux enfants bien pressés de se dégourdir les gambettes. Ombeline reboutonna son manteau blanc d'hermine et s'apprêta à montrer à son tour le bout de son nez, dehors... bienheureuse elle aussi de s'extirper de la boite.... suivi de peu par son voisin.
La jeune femme posa son bras sur celui de son ami afin de faciliter sa descente sans accroc ... tant qu'à faire autant éviter toute pirouette inopinée sur le parvis. Les enfants admiraient la grande cathédrale, les yeux ébahis.
Attention, les enfants, restez bien à nos côtés surtout. Rufus, trouve un endroit pour la calèche qui ne généra personne et rejoint nous ensuite à l'intérieur. Allez, allons-y donc.
Le groupe prit donc cap vers l'entrée de la cathédrale. L'odeur particulière de ce lieu saint, ramena vers la Capitaine une multitude de souvenirs ... l'odeur de la cire et de la fumée des cierges mêlés à celle de l’encens…. Elle délassa sa manteau puis discrètement s’approcha du bénitier pour y tremper ses fins doigts et se signa silencieusement.
Ensuite, leur petit groupe s’avança dans l'une des allées, tout en saluant les gens au passage. La jeune femme balaya les lieux de son regard circonspect en quête du futur marié. Pioufffff, que de monde ... - Aanor, le 24/01/2010 à 20:01 a écrit:
- Elle avait fait aussi vite qu'elle avait pu. Rongée par le remord de le laisser à Muzillac pour une journée, la peur qu'il ne soit plus là à son retour. Ses traits étaient toujours tirés mais la femme de chambre de sa duchesse d'amie avait fait un travail néanmoins remarquable pour atténuer tour cela.
Elle mit un peu d'ordre dans ses jupons avant de passer la porte et voyant que la cathédrale était déjà bien remplie, discrète elle alla se placer dans les derniers rangs pour suivre la cérémonie qui allait commencer. - Leyah, le 24/01/2010 à 20:04 a écrit:
- Fulgence, voici donc Leyah Bleizhmorgan, Vicomtesse de Montfaucon, ma promise. Leyah, voici Fulgence de Guerlace de Brocéliande, mon fils. Voilà, ainsi les présentations ont le mérite d'être faites.
Lever de sourcil, léger sourire en coin, et le chapeau disparait. Elle aurait voulu hurler d'un coup qu'il le remette, c'était bien la seule chose de convenable qu'il portait.
Déjà rencontrés oui, j'aurais pourtant voulu que cela soit fait avant, ce n'étaient pourtant pas les occasions qui manquaient..Mais je suis R A V I E !
Regard en coin a son presque époux et la rousse tira légèrement la langue avec un air moqueur. Mais elle fronça aussitôt le nez .. une odeur étrange lui parvenant aux narines. Si elle avait pu se pincer le nez rapidement elle l'aurait fait, mais un bras toujours accroché a celui de son frère et l'autre pas bien loin pour se récupérer au cas ou , elle n'osa même pas y songer.
Quand arriva ce murmure a son oreille, rien que le mot ' diplomatie la fit frémir' Un long frisson lui parcourut le dos et son visage se contorsionna dans un grimace étrange. Elle voulu tourner la tête pour lui répondre mais à peine l'eut elle fait, qu'il avait disparu. Pestant intérieurement qu'il ne perdait rien pour attendre, elle se figea un instant, réfléchissant aux supplices qu'elle pourrait lui faire subir
Demat mes amis! Nous pouvons commencer dès que vous le souhaitez.
Léger sursaut, la rousse sortit de sa semi transe, pour réafficher ce sourire coincé qui ne voulait décidément pas la quitter. Regard porté vers l'arrière a la recherche de la place prise par son double, ne jamais le savoir loin ... Autre regard cherchant a nouveau son suzerain .. Le suivant pour les deux officiants .. ravie , plus que cela meme de les voir là Pour qu'enfin ses yeux se re fixe sur l'être qui devait avoir toute son attention aujourd'hui ... Léger sourire entendu a son Kuku Chéri ...Leyah avait hate que tout ceci commence, quoi que .. c'était commencé ou ? Elle était dans une phase, je ne sais plus qui je suis, je ne sais plus ou je suis. Pourtant elle dandinait de plus en plus .. l'impatience sans doute ... Celle de voir son futur devenir présent .. certainement - Gwenc'hlañ, le 24/01/2010 à 20:06 a écrit:
- Gwenc'hlañ ne cessait de se retourner espérant l'arrivée d'un espoir pour lui.
Il vit arriver de nombreuses têtes connus dont une de ses plus fidèles amis puis enfin arriva sa douce et tendre qui vint s'installer à ses cotés. Il s'empressa de prendre sa main pour prendre du courage et ne pas partir de cette cérémonie avant l'heure même s'il en avait très envie. Il se permit même de lui murmurer quelques mots... - Kurios, le 24/01/2010 à 20:07 a écrit:
- Grand papa, tu m'avais dit que cette histoire de rats était réglée. Alors d'où peut bien venir cette odeur???
Le prélat fit un signe compréhensible vers sa tite fille pour la faire taire. Il lui expliquerait l'histoire des rats musqués qui devaient trainer par là. Pourtant Il ne voulait pas gacher le moment de la mariée... Cette odeur était pourtant plus que désagréable et s'aggravait semble t'il... - peterpan31, le 24/01/2010 à 20:26 a écrit:
- Un messager s'en vint porter aux futurs mariés ces quelques mots parvenus quelques minutes plus tôt par pigeon (volatile d'ailleurs particulièrement essoufflé tant la vitesse de son vol fut fulgurante) :
- Citation :
Joachim, Gildwen, enfin bref, mon cher ami,
Comme tu t'en doutes, j'essaie d'accomplir l'exploit phénoménal d'assister au sacre de notre bon Dug aujourd'hui à rennes et de m'en aller dès que possible pour Nantes afin de fêter comme il se doit ton mariage avec cette chère Leyah.
Je ne sais à quelle heure j'arriverai mais j'ai fait préparer un attelage très rapide et je ferai en sorte de parvenir avant les premiers rayons du soleil afin de trinquer avec vous et les convives même si je ne puis assister à la cérémonie en tant que tel.
Donc, ne buvez pas tout, svp.
Peter de Kerdren
- Kuligan, le 24/01/2010 à 20:49 a écrit:
- Kuligan rentra accompagné de son frère , Taizo.
Les deux maires étaient forts élégants pour cette cérémonie. Ils entrèrent incertains de se trouver sur le bon lieu , mais vu le monde il n'y avait pas de doutes a avoir. Kuli cherchait sa fiancée lauralyne du regard , allait elle venir ? qui sait ? Il demanda ensuite a Taizo si Pelotine viendrait.
- aricie, le 24/01/2010 à 20:51 a écrit:
- Tous semblaient dérangés par l'odeur persistante, nauséabonde, insoutenable ou presque. Tous, sauf celui qui prenait le rôle de cavalier pour cette journée. Horrifiée elle le regarda. Oh rage! Oh désespoir! Mais pourquoi Aristote? Pourquoi??? Une journée entière avec cette terrible odeur?! Elle étouffa un petit "Oh mon Dieu!". Ni une ni deux, elle lui attrapa le bras, bien moins délicatement que la fois d'avant, et l'entraina rapidement loin des mariés. Elle supporterait l'odeur, puisqu'il n'était pas bienséant de fuir. Mais les pauvres mariés, eux, avaient droit à un air respirable pour ce jour particulier. Une fois assez loin pour qu'ils ne l'entendent pas, elle se pencha vers Fulgence.
Il faudra vraiment que vous m'expliquiez ce que vous avez fabriqué avant de venir... - Taizo, le 24/01/2010 à 20:54 a écrit:
- Les deux frères a la bourre papoter un peu en arrivant, pour répondre a Kuli, Taizo fit un "non" de la tête... Pelotine n'avait pas reçu d'invitation...
Tout deux assez bien habillé, pour une fois, l'occasion les faisait porter autres chose que des habits modeste...
Regardant son frère avec incertitude...
Tu crois que c'est la ? Y'a du gratin mais bon... Je doute, t'es sur de la bonne adresse ? Qu'on se pointe pas a l'investiture de Grand Sage a la place...
Ajoutant un sourire, il zieuta rapidement un peu les têtes qu'il voyait...
Ouais, ça doit être la... - Gwillherm, le 24/01/2010 à 21:16 a écrit:
- Arrive au pas de course et se fais discret en espérant que son retard sois passé presque inaperçu...
Se fais discret parmis les invité apparemment personne n'as remarqué son retard... enfin... presque personne... Gwill venait de croiser le regard de leyah qui en disait déjà long...
Au moins il était la... Il Salua les personne qu'il connaissais dont Taizo, Zigo, Joachim... et quelques autres ... dans son empressement il as pas remarquer tout le monde...
Il cherche du regard... Mmmh non il n'est pas le dernier... Il manque encore quelque personne - Kuligan, le 24/01/2010 à 21:19 a écrit:
- Kuli croise les bras et regarde son petit frere avec desespoir...
T'façon je veux y aller a l'investiture mon petit , Grand sage est un bon ami a moi figure toi !
Constatant que son frère ne l'écoutait pas et commençait deja a regarder de part et d'autre , cherchant les invités qu'il connaissait dans les parages , Kuli le géant cessa de parler et se concentra sur son attente ... ou était sa douce!!?? - sirvalius, le 24/01/2010 à 21:37 a écrit:
- Sir arriva avec un légendaire retard, esperant que personne ne s'en aperçoivent, il se faufila entre les invités.
Je ne pense pas être le dernier ..... pour une fois! se dit il avec un large sourire.
Après quelques minutes passées avec les invités, les souvenirs de son mariage lui revint, ce jour où il avait été le plus heureux des hommes..... - Ignace., le 24/01/2010 à 21:41 a écrit:
- [à la demeure Monfaucont]
Ignace déjà interdit alors que Lyly le fit pénétrer dans la chambre de sa tante, grimaça et s’enferma dans un mutisme en voyant son beau père entrer dans la pièce, et ne se fit pas prier pour rejoindre le rez de chaussé après que Leyah l’ai renvoyé dans sa chambre.
…
[A la cathédrale]
Suivant le cortège, il pénétra dans la cathédrale. Il observa les différentes personnes présentes, saluant les quelques unes qu’il connaissait, avant de s’installer aux coté d’Aelyia. Il regarda les deux mariés, puis machinalement tourna son regard vers Lyly, qui le regardait. Un regard, un sourire, pas besoin qu’ils se parlent pour comprendre ce que l’autre ressentait. Ignace prit la main de Lyly dans la sienne, attendant que la cérémonie commence. | |
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| Sujet: Re: Une union particulière ou conte de la folie extraordinaire ( 24 Janvier 1458 ) 17/8/2010, 00:59 | |
| - Charlotte, le 24/01/2010 à 21:43 a écrit:
- [Dans la cathédrale]
Le dos collé sur l’un des murs intérieurs de la cathédrale, Charlotte regardait les gens arriver…
Tout de rouge vêtue en symbole de ce que représentait cette union pour elle, la Lolotte s’était dissimulée hors de la vue de tous, préférant de beaucoup rester à l’ écart étant donné l’humeur massacrante qu’elle affichait. De sa cachette, elle pouvait observer à loisir les futurs époux.
Leyah toujours aussi magnifique ne capta pourtant pas son regard, seul son parrain retenait son attention. Plein de questions hantaient le cerveau de la belle damoiselle. Allait-il l’abandonnée à présent ? Aurait-elle encore une petite place dans son cœur déjà partagé avec beaucoup ? Elle fit une grimace quand elle vit Joa demander à Fulgence de s’approcher. Elle se sentait jalouse comme jamais elle n’aurait cru possible de l’être. Jalouse de l’attention qu’il portait à ce fils.
Pourtant ce matin après ses préparatifs pour se faire belle pour l’événement, à l’image que lui retournait le miroir son courage était revenu, déterminée à faire honneur à cet homme à qui elle devait la vie, elle s’était promis d’être souriante et joyeuse comme il l’aimait. Grr, pour le moment mordre et crier c’est tous ce qu’elle ressentait…
Va bien falloir que tu sortes un jour, petite idiote. De quoi as- tu peur, que les gens voit que toi aussi tu peux être grognonne et colérique ? Se dit-elle.
- Gwillherm, le 24/01/2010 à 21:52 a écrit:
- Gwill s'etait dis que finalement le retard personne l'avais remarqué et a dire vrai est ce que quelqu'un l'avais seulement vu entrer?
Peu importe il se fraya un chemin hors de cette foule, les bains de foules etait pas fais pour lui il préférais le calme... Il remarqua une ombre contre un mur... Il s'approcha... ça lui semblais familier...
Il reconnu Charlotte, s'approcha et dit
Rho Charlotte que fais tu la toute seule? ça t'embete si je te tiens un peu compagnie? C'est juste que j'aime pas trop les foules...
Il la regarda...
Rho tu est grognonne encore?
Lui fit un bisou en guise de salutations et lui sourit - Azenora, le 24/01/2010 à 21:53 a écrit:
- C’est face à la fenêtre, que nostalgique, Azenora était assise. Elle n’avait pas bougée de la nuit. Ni un mouvement, ni un soupir. Elle se contentait de fixer le néant, tandis qu’une agitation régnée dans la demeure. Bientôt, Cyprien viendrait la voir, la priant de faire un effort, parce qu’aujourd’hui, c’était l’union de sa génitrice avec l’homme, et en bonne petite fille, elle devrait s’y rendre. Ramenant ses genoux contre elle et enfouissant sa tête contre son torse, elle se recroquevilla, non pas de froid, mais de peur. Ces gens, tout ces gens. Elle n’était plus habituée à la foule, elle fuyait la foule. Sans cette satanée promesse, elle se serait sûrement enfuie. Mais une promesse c'est une promesse, et puis, elle devait sauver les apparences. Depuis qu’elle avait écouté sa mère, Azenora avait décidé de changer radicalement de stratégie. Non pas qu’elle pardonnait à la rousse, jamais elle en serait capable, mais en se montrant aussi courtoise qu’elle en était capable. C’est ainsi qu’elle ronchonna à peine lorsque le majordome vint la préparer. Une robe bleue, qui allait parfaitement bien avec ses yeux, qu’il disait. Elle n’y prêta aucune attention, elle s’en fichait. Elle prit ensuite place dans la voiture qui les conduirait tous à la cathédrale. Léger sourire à l’oncle qu’elle n’avait pas vue depuis si longtemps, et la pestiote s’enfonça dans son mutisme. Une fois arrivée, elle descendit aussi vite que ses cannes fragiles le lui permettaient, puis, dégainant une gourde de Prune, elle en tâta plusieurs longues gorgées. Aussi discrète qu’une souris, elle chercha du regard Maewenn. Elle la vit un peu plus loin et commença à contourner la foule. C’est en le voyant, lui, cette chose, ce montre, qu’elle manqua de se retrouver les fesses par terre. Elle le fixa, dans le bras de son héros, et ressentit une vive haine l’envahir. En plus de lui prendre sa maman, il fallait qu’il s’approprie Cyprien ! Quel toupet ! Elle voulut aller foudroyer le majordome du regard, mais celui-ci pénétra dans le lieu sacré, et elle le perdit des yeux. Elle rejoignit Maewenn, et lui fit une petite pression au bras, pour lui montrer qu’elle était là, qu’elle était venue, même si c’était à contrecœur…
- Taizo, le 24/01/2010 à 22:07 a écrit:
- Regarde Kuli a sa remarque...
Oh, ça y est, le grand garçon se fâche, tu connais du beau monde Kuku, Grand Sage...
Lui faisant un large sourire, Taizo se remit a chercher un peu les mariés... Après tout, il est la pour ça ! Regardant tour a tour chaque personnes devant lui il remarqua l'architecture de la cathédrale... Imposante...
Et t'as vu un peu comment elle est belle la cathédrale Kuku ?...
Lui montre du doigt des ornements - Kurios, le 24/01/2010 à 22:10 a écrit:
- L'évêque se prépara à entamer la cérémonie.
Il leva les mains pour imposer le silence... d'habitude ça fonctionnait... mais là trop de monde...
Il entendait en plus des "Ouha c'est quoi cette odeur?"- sans doute l'évêque qui lève les bras!" Il s'impatientait, les rires commençait à l'agacer sérieusement... il lâcha alors un
SILENNNNNNNCE! rageur qui fit taire même les termites qui bouffaient le bois des bancs. Il lâcha alors un de ses sourire enjôleur et commença la cérémonie.
Mes frères, mes sœurs, mes amis, fidèles aristotéliciens, brebis de Doué, habitants de notre terre ancestrale, femmes, enfants, hommes, grand parents, parents...
Il reçu un coup de coude d'un acolyte qui lui signifiait qu'on avait compris
hum... oui...
Nous sommes réunis ici aujourd'hui pour unir un homme et une femme... déjà parce que unir deux hommes ou deux femmes ce n'est pas possible... mais surtout parce que ces deux personnes se sont découverts un amour que peu de gens arrivent à connaître réellement et que pourtant tout le monde cherche.
Nous sommes là aujourd'hui entre proches, amis, familiers, bretons au cœur de notre terre ancestrale, nos nez... hum remplis de la bonne odeur de notre terre... hum...
Je tiens à dire que c'est un moement également très important pour moi car je vais unir avec notre chère verdruis Aliénore deux amis, deux très proches amis que je n'aurais jamais peu imaginer unir un jour... Comme quoi...
Gildwen de Brocéliande... dict Joachim du Bellay pour ceux qui n'aurait pas encore remarqué qu'il avait retrouvé son vrai père et Leyah la douce Leyah la rousse Leyah de Bleizhmorgan la seul et l'unique, la vicomtesse de Monfaucon, mon amie.
je vous raconterez donc avec plaisir comme j'ai rencontré ces deux là...
Réfléchit un instant... il devait être trop beurré ces jours là...
... ce n'est pas important certes... hum
mes amis venez, approchez rentrez dans ce cercle par le côté ouest
Il les laissa faire et avant de commencer lança la phrase rituelle
Si quelqu'un ici s'oppose à ce mariage qu'il se taise maintenant ou qu'il parle à jamais... heu qu'il parle maintenant ou qu'il se taise à jamais... quoi qu'il faudrait dire aussi que s'il parle il se taira à jamais par la suite!
l'évêque pouffa de son air niais attendit un moment et laissa la suite à sa co-officière. - Joachim.Du.Bellay, le 24/01/2010 à 22:20 a écrit:
- Un grand sursaut saisit le Gildwen lorsque Le Baron de Loyat, Évêque de Naoned décida d'user de sa voix tonitruante pour tenter de voir l'effet d'un rugissement de baryton sur la faune sauvage des bancs de l'Église. Bref, suivant les ordres du vieil Évêque, il s'installa dans le genre de cercle posé au centre, essayant de cacher son sourire à l'écoute du discours du clerc.
D'un coup, il tourna la tête d'un joli 110° afin de chercher derrière, où pouvait bien être installé son témoin. - Eryk, le 24/01/2010 à 22:20 a écrit:
- Eryk à force de tendre le bras vers Ephygénie avait enfin reussi à quitter ceux de Cyprien maintenant beaucoup mieux installé dans ces bras nouveaux bras à la douce odeur, le jeune enfant aux yeux bleus attendait.
Très éveillé il regardait dans tous les sens, fixant chaque personne qui passait dans son champ de vision. Son nez bougeait lui aussi, inspectant chaque odeur, accrochant à chaque intonation de voix une odeur particulière et parfois quand une d’entre elle lui plaisait il éclatait d’un petit rire et se pelotonnait contre la poitrine de la jeune femme. Après un court câlin, mais tellement intense, il levait la tête vers elle, cherchant ses yeux et lui souriant admiratif de son merveilleux visage. Quelques secondes plus tard seulement il recommençait son jeu fait de son, odeur, image.
Quand Eryk aperçût la couleur qu’il désirait le plus voir au monde il sautillait d’impatience qu’elle s’approche davantage. Soit celle-ci s’approcha, soit Ephygénie avança vers Leyah, mais pour l’enfant ne comptait que la distance qui diminuait à grande vitesse :
« IAAAAAAAA !! » s’écria-t-il avec plein de joie quand enfin il perçut l’odeur de sa mère.
les bras tendu, il signalait qu’il voulait rejoindre les siens, mais apercevant son père il se figea :
« hooooo… » Et tout intimidé, apeuré, il se recroquevilla dans les bras de la jeune femme au visage de lumière.
croisant le regard de l’homme qu’avec de petit mouvement de tête dissimulé. - Salomé, le 24/01/2010 à 22:30 a écrit:
- "L'amour, la quête. Le mariage, la conquête. La nuit de noces, la quéqu..."
- Salomé ????
Nilas ouvre la porte de leur chambre avec humeur tandis que Salomé cache rapidement le discours qu'elle comptait faire en l'honneur du mariage de sa tante.
"Oui, mon Roy ?" - Peut-on savoir à quel jeu tu joues ?
Devant la mine perplexe de Salomé, il rajoute : - A celui de battre le record de retard à chaque mariage auquel nous serons invités ?
Tendu à l'extrême, Nilas n'a pas l'air de plaisanter. Il faut dire que ses relations avec son futur beau-père ne sont pas au beau fixe. L'état de Salomé n'y est pas étranger. C'est bien le seul exemple où, pour une fois, ils ont pris de l'avance ... Manque de chance, il s'agit de leur nuit de noces.
Avec difficulté, mais non sans une certaine grâce, elle pose son écritoire et se lève.
" Hum ... Je suis pourtant prête, regarde ! Ce qui change avec le mariage de la Baronne de Malnoïe où, à la même heure, je n'avais toujours pas enfilé le sac qui me sert de robe. "
Elle échoue lamentablement dans sa tentative de le faire sourire. Elle dirait même que c'est pire, il a maintenant l'impression qu'elle se moque de lui.
Puis elle reçoit un coup de pied de l'intérieur. Dans un réflexe, elle porte la main à son ventre, mais voyant le visage soudain inquiet de Nilas, elle décide d'en rajouter et se plie autant que sa boulette le lui permet. Elle lâche même un soupir d'une précision extrême, mélange de souffrance et de résignation. Le cocktail parfait. Nilas s'empresse déjà vers elle :
- Oh ma Reyne ... Tu en fais trop ! viens t'alleonger un peu. - Mais nous allons être en retard ? - Quelle importance ! Je m'en fiche bien.
Il la porte sans plier un genoux - ce qui est un exploit vu son double poids - et la dépose délicatement sur la causeuse en l'embrassant chastement sur le front.
- Je vais te faire apporter un petit en-cas pour que tu reprennes des forces. Avant de prendre la porte, il lui fait un regard d'une telle tendresse que Salomé lui sourit niaisement.
Elle reprend le papier qu'elle avait caché dans son décolleté. " Ah oui, mon discours ... où en étais-je ?"
( 3 HEURES PLUS TARD)
Parée comme une duchesse, Salomé entre dans la cathédrale au bras de son Roy. Evidemment, ils sont en retard. Evidemment, ils se frayent un chemin jusqu'au carré VIP ( very impotent pregnancy) en dérangeant les invités déjà installés. Evidemment, Salomé regarde d'un oeil jaloux les silhouettes longiligne de toutes celles qui ont le mauvais goût de ne pas être enceinte. Evidemment, une fois installée, elle se rend compte qu'elle a oublié son petit coussin de velours qui lui permet de rester en place sur un siège plus de cinq minutes sans douleur lombaire. Evidemment, c'est un drame. Evidemment, Mathilde avait prévu le coup. Le coussin est sous le siège dans du papier de soie.
SILENNNNNNNCE!
Evidemment, du papier de soie ça fait beaucouuuup de bruit. Salomé soupir d'aise quand enfin son séant a ce qu'il se fait de mieux en matière de confort. - Leyah, le 24/01/2010 à 22:36 a écrit:
- Leyah suivit après en avoir presque perdu sa mâchoire de surprise quand l'évêque se mit a hurler dans ses oreilles.
Un rire qu'elle tenta de dissimuler lorsque son Kuku chéri parti dans son monologue parvint quand même a raisonner légèrement. Elle en était a se demander si c'était une bonne chose de tenter de lui faucher sa gourde. Pas pour l'empêcher de boire non .. pour se mettre dans le meme état. La vache ! Ca avait l'air de détendre !
A sa dernière phrase la rousse grimaça. Instinctivement elle tourna la tête cherchant dans la foule son double elle, prête a le massacrer du regard si il bougeait ne fut ce qu'un cil. C'est qu'il en était capable en plus ..
Léger sursaut au premier son, panique a bord quelqu'un a parlé . Pour sourire en coin ensuite reconnaissant le babillement dans son dos. Leyah souffla longuement avant de réafficher ce sourire niais, c'était pas qu'elle avait peur de son double ... enfin si tout de même , un peu .. beaucoup .. - Einigriv, le 24/01/2010 à 22:37 a écrit:
- "L'évêque star" de Breizh qui donne de la voix, pour sur quand elle raconterait ça à la vieille bique du village, elle en mourrait de jalousie!
Mais pour l'heure sursaut de la petite brune, qui s'était laissé aller à regarder à droite à gauche, les futurs mariés puis, les autres, puis les vitraux, puis les futurs mariés, puis leur cher Évêque, enfin bref...
Elle se remet droite et écoute Monseigneur Kurios qui de sa douce voix commence la cérémonie. Étrange pas de groupies cette fois, il avait du prévoir un service d'ordre...
Bon non Eini écoute le mariage un peu, concentre toi...Elle sourit aux propos de l'évêque et de sa manière si particulière de faire sa messe... - Ombeline, le 24/01/2010 à 22:38 a écrit:
- Trop de monde, elle ne le voyait pas. Plissement de nez ... Froncement de soucis ... Flûte, aurait-elle besoin de jouer des coudes pour passer, arggg quand même pas dans une église ... Puis peu à peu, la zone de l'autel devint un peu plus aérée, les convives s'installaient de part et d'autre sur les bancs. Elle reconnut aisément sa silhouette de dos. La jeune femme esquissa un sourire, confia son manteau à son voisin tout en lui glissant au creux de l'oreille qu'elle rejoignait le marié. C'est à cet instant que l'Évêque de Naoned lança le début des festivités. Bien, elle n'avait plus qu'à faire quelques pas et se placer près de lui.
Elle croisa le regard de Joachim quand ce dernier se retourna vers elle. Ombeline lui sourit, les yeux pétillants et fut rapidement à ses côtés. Elle lui prit familièrement les mains et l'embrassa sur la joue.
Bonjour Joachim. Me vl'a comme promis, tu vois, je n'ai point oublié ce grand jour important pour toi. - Meiline, le 24/01/2010 à 22:40 a écrit:
- Meiline écouta attentivement et resta attentive, les mots qui fut dit il y avait quelques jours au mariage de son amie furent une nouvelle fois répété, elle soupira et murmura à Zigo
- Vivement qu'elle dise oui, j'ai envie d'aller vider ma vessie moi.. et les mariages.. pfiou il y en a trop en ce moment...
Elle réprima un rire quand un "SILENCE" se fit entendre, elle ravala sa salive et attendit gentillement la fin de la cérémonie. - Maewenn, le 24/01/2010 à 22:44 a écrit:
- La demoiselle était pensive, suivant de loin le déroulement des évenements. Une odeur insupportable, des babillages épuisants et des gens, pffiouuuuuu partout des gens. Elle maudissait intérieurement son vieux débris qui n'était pas la pour la distraire. Elle sourit malicieusement à cette pensée, lui qui détestait tant ca ... Hum concentration sur la cérémonie quand une pression lui fait tourner la tete.
Sourire à son amie. Mae savait combien cette journée serait une épreuve pour elle. Et comme pour la soutenir et lui dire qu'elle la protégerait, elle adresse un grand sourire à Aze puis glisse sa main dans la sienne. Un léger murmure : Merci. Puis la jeune demoiselle écoute son oncle se lancer dans encore un de ses nombreux trucs bidules choses incompréhensibles. - Charlotte, le 24/01/2010 à 22:49 a écrit:
- [Au coté d’un indiscret personnage]
Toute à son questionnement, Charlotte absorbée sursauta aux paroles de Gwill.
Ma doué tu veux me faire mourir ? C’est quoi cette façon de faire ?
Le regard noir, elle lui lançait ses paroles sèchement en faisant disparaitre une larme d’un geste vif au coin de son œil droit, celui qui reçu un foutu poussière, ben oui. Le pauvre c’est sur lui que la Lolotte se déchargeait de son agacement.
Après un moment et diverses paroles pas tellement invitantes, elle le détailla enfin redevenu elle-même. Tend la main vers un cheveu blond tout en boucle resté accroché à son col. Elle le retire précieusement comme s’il avait la valeur des plus beaux joyaux de breizh et le jette négligemment par terre et oui on se lasse vite d’un cheveu.
Tiens voila qui est mieux…
Viens allons prendre place, si tu veux on s’assoit ensemble. Ta femme, te rejoins bientôt ?
La jolie brune, s’obligea à sourire et sortie enfin de sa cachette pour se diriger vers un banc au bras de Gwill.
SILENNNNNNNCE!
Quand nouveau sursaut…Ma doué elle va mourir ce soir c’est sur. - Gwillherm, le 24/01/2010 à 23:03 a écrit:
- Gwill regarda Charlotte lui enlever un cheveux ce qui le fit sourire surtout ça façon de le faire... Elle le pris par le bras tout en lui demandant si Auria venait et s'il voulais s'assoir avec elle...
Ben oui allons partager un banc ... Heu pour Auria je dois t'avouer que je ne sais pas. Tu sais elle a tendance a se faire desirée. Peut-être viendra t'elle plus tard...
Il se dirigérent tout deux vers les banc, pendant que Monseigneur Kurios un vieil ami a lui semblais perdre son calme chose inhabituel... Peut-être n'avait-il pas encore assez rincer son gosier... Quoi qu'il en soit Gwill senti le sursaut de Charlotte et chuchota pour pas faire trop de bruit
Hé bien ... Va pas nous abandonner hein...
Il lui sourit et écouta la suite ... Gwill cherchait des yeux quelqu'un susceptible de sauvé l'êvèque mais ne trouva personne. P'tet que Aze se souviendrais de ses sauvetage d'évêque et viendrais le secourir, qui sais... Il regardait autour de lui discrètement y'avais trop de monde a son goût, on a pas idée de faire des mariage aussi grand... Puis se retourna vers les futurs mariés et l'évêque... | |
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| Sujet: Re: Une union particulière ou conte de la folie extraordinaire ( 24 Janvier 1458 ) 17/8/2010, 01:06 | |
| - laceter, le 24/01/2010 à 23:04 a écrit:
- Lévres étirées, sourires amusés et une envie de rire incontrolable mais ils se suffirent de rire en plissant des yeux en silence, car c'était bien cela le mot d'ordre apparemment.
Laceter calina tendrement Fleure face à ce sursaut d'humeur en fusillant presque l'évéque du regard de risquer faire peur au petit bout de chou qui se tenait bien au chaud sous leurs mains couvantes et réchauffantes!
Puis enfin le moment tant attendu arriva et il pu lire dans le regard de tous les présents cette impatience si perceptible. Moment magique et magnifique que eux se refusaient à vivre à l'heure actuelle mais qui sait, peut-être changeraient-ils d'avis...Trés certainement même!
Il se concentra à nouveau sur la cérémonie et garda un regard protecteur chargé de tendresse et d'amour sur sa compagne... - Kuligan, le 24/01/2010 à 23:07 a écrit:
- Kuli , encore a l'exterieur entendit un son grave mais pas pour le moins douloureux pour les oreilles.
SILENCE
bon.. a son avis la cérémonie avait commençait , Lauralyne n'était pas arrivée , et Taizo ne semblait pas pressé de rentrer.
Taizo , tu me suis ? on rentre ? t'a interêt a t'asseoir prés de moi j'me sens deja tout défaillant a l'idée d'entrer dans un lieu aussi bondé de monde.
Kuli attrapa son frere par l'épaule et s'avança afin de s'asseoir dans l'eglise. - Gwenc'hlañ, le 24/01/2010 à 23:11 a écrit:
- A l'écoute de cette dernière phrase, Gwen faillit se lever pour dire qu'il s'y opposait. La diplomatie dans une main son amour dans l'autre...
Et heureusement pour sa sœur l'amour le maintient assis pour le meilleur et pour le pire car il avait l'envie de lui fracasser le crane à ce Brocéliande pour bien montrer son opposition mais le regard de sa sœur et surement celui de toute la famille était sur lui prêt à l'incendier s'il bougeait le petit doigt... Cela le démangeait de partout et sans s'en rendre compte il se racla la gorge, c'est qu'il avait un peu soif le bougre. Mais il réagit assez vite pour faire un signe discret afin de signaler qu'il l'avait pas fait exprès et qu'il ne voulait rien dire et surtout pas s'opposer au mariage... - aricie, le 24/01/2010 à 23:12 a écrit:
- La demoiselle n'avait pu s'empêcher de remarquer le nombre impressionnant de personnes qui avaient l'air mécontentes. Bon pour certaines, elle en était sûre, elles n'étaient pas là de gaité de coeur. Alors quand son grand père eut crié tel un animal rameutant sa troupe, ou comme un guerrier s'élançant dans un combat, ou comme... En fait elle n'avait même pas sursauté, habituée à ce son la pauvre enfant martyrisée... Ou pas. Bref... quand il eu commencé la cérémonie, puis demandé si quelqu'un voulait s'opposer à ce mariage, elle lui murmura de loin "Mais enchaines voyons! en-chai-nes! Dépêches toi!" de peur que quelqu'un ai le temps de dire quoique ce soit.
- Taizo, le 24/01/2010 à 23:16 a écrit:
- Flanant devant l'architecture magnifique Taizo n'avait même pas entendu "crier" a l'interieur...
Regardant Kuli...
Euhhhh... Oui oui entrons ! Discret hein...
Sur la pointe des pieds, Taizo suit Kuli jusqu'a une place ou il se glisse sans bruit... Tout en continuant d'admiré l'intérieur de la bâtisse... - Kuligan, le 24/01/2010 à 23:24 a écrit:
- Les voila assis et discrets.
Un regard vers la gauche , il aperçoit Charlotte en compagnie d'un jeune homme blond , non loin il reconnait la jeune azenora qu'il avait deja croisé il y a fort longtemps lorsqu'elle était toute petite. A sa droite hormis son frere qui flanait en regardant le plafond , il n'y avait rien d'autre que le mur. Face a lui une multitudes de personnes mouvant dans l'immense batisse , et au fin fond , un couple. Une rousse , fort jolie ma foi , qui détient un regard déterminé , sa silhouette est voluptueuse , certainement due a sa recente grossesse. Face a elle Joachim , ah... il en avait entendu parler de celui la , brisant le coeur de multiples jeunes femme , Kuli etait bien placé pour le savoir .. sa poitrine se resserra , Fouine aurait surement crié qu'elle s'opposait a ce mariage , uniquement pour s'amuser et faire scandale...qu'elle lui manquait... Le géant se ressaisit et reluqua le Du Bellay , fort bel homme , il etait compréhensible que les jeunes femmes tombent toutes a ses pieds , il fallait être réaliste l'homme avait de l'allure.
Le jeune Kuli continua a attendre la suite de la cérémonie , surveillant tout de même la porte , au cas ou Laura montrait le bout de son nez. - fayom, le 24/01/2010 à 23:26 a écrit:
- pendant la cérémonie
Fayom était installé auprès de son épouse et de ses enfants, il craignait que François se mit à pleurer. Peu à peu la cathédrale se remplit de farouches Bretons, la grande majorité lui était inconnu, au moins connaissait il les futurs mariés . D'ailleurs, Joaquim était arrivé et s'était installé à se place. Peu après était entré Lyly et sa famille puis Leyah. Elle portait une jolie robe, tout de suite vicomtesse ça donne de la classe. Fayom sourit en la voyant et se demandait si tout se passerait normalement. Il repensa à son propre mariage, à quel point il ne fut pas comme espéré.
Après une réprimande de l'évêque, la cérémonie put commencer. Et bien sûr ça commençait toujours par la question pour les invités qui faisait un frisson aux futurs époux déjà stressés par l'événement. Là encore Fayom se rappela son mariage avec la superbe entrée de Kissiou ; tiens d'ailleurs cela faisait longtemps qu'il n'avait eu de ses nouvelles. Enfin peu importe, personne ne l'ouvrit et la cérémonie se poursuivit. - Aliéniore, le 24/01/2010 à 23:29 a écrit:
- Alors que les fiancés entraient dans le cercle où Kurios et elle attendaient qu'enfin la foule en délire ne se calme.
La grosse voix et les explications empêtrés et un brin enivré fini. Il était temps. La cérémonie commença enfin.
Aucun opposant ne se manifesta.
Alié alors s'avança prenant un cierge allumé qu'elle avait à porté de main. Elle eut un regard pour les futurs mariés et leur sourit.
Elle prend elle aussi sa voix des grands jours, se grandit un peu plus et commence.
En ce jour de liesse pour Leyah et Gildwen. Donnez leur Ô Illustres Ancêtres, votre protection Et avec votre protection la force Et avec la force la compréhension Et avec la compréhension la Science Et la Science de ce qui est juste Et avec la science de ce qui est juste le pouvoir d’aimer Et en l’Aimant, l’amour de toutes choses vivantes Et en toutes choses vivantes L'Amour de Vous L’Amour de Mère Nature L’Amour de l’Incréé
Se disant elle avait allumé les quatre cierges placés au point cardinaux
L'Est est l'air. Tel le vent sur les plages de notre Breizh
Le Sud est le feu. Tel la chaleur que nous offre le soleil
L’Ouest est l’eau Telle que nous l'offre la fontaine de Barenton
Le Nord est la terre Telle celle qui est notre Mère.
La protection des Anciens sur le lieu et le moment, ainsi appelé , elle retourna au coté de l'Evêque. - Joachim.Du.Bellay, le 24/01/2010 à 23:31 a écrit:
- Le Jeune homme sourit à Ombeline, venue se placer près de lui, avant de la remercier d'être là, encore une fois. Il se ressaisit et se retourna pour fixer le prêtre quand tout à coup, il eut une étrange sensation ... celle d'être reluquer ! Oo
Hmmm, il avait l'impression que quelqu'un matait son postérieur dans la foule, mais qui ... Il tourna de nouveau la tête pour rechercher la fautive - jaugeant ainsi de la qualité de la proie qu'il arrivait encore à attirer dans ses filets - qui sans aucun doute avait succombé sous le bombage du postérieur du Gildwen, mais telle ne fut pas sa surprise de tomber sur un fautif ! Il avait toujours apprécié Kuli, m'enfin de là à ... *hum* ...
Bref, passons, essayant de chasser cet épisode de sa tête d'un simple et amical sourire à l'adresse de son ami Brestois, il se retourna, bien droit, faisant face à Kuku pour la suite de la cérémonie.
Voyant Alié arriver, il prit son air le plus sérieux, écoutant ses mots comme il aurait écouter les conseils d'Amalric, ou peut-être avec un peu moins d'attention, mais tout de même, c'est déjà beaucoup ! Il se laissa donc simplement guider par la voix de la Druide. - Leyah, le 24/01/2010 à 23:49 a écrit:
- Coup de coude a sa moitié pour lui faire signe de prêter attention
Elle ne savait si c'était le raclement de gorge de celui qu'elle allait étriper en sortant de lui avoir fichu la frousse qui le faisait se retourner, ou une envie soudaine de mater , n'en était il pas moins, que le coude parti tel un réflexe. Quant a son cher double qui avait osé se racler la gorge juste pour le principe de la faire enrager, elle en était certaines, sa caboche calculait déja tout un tas de choses a lui faire subir dans les jours a venir. Vint le moment ou Alieniore prit la parole, retour à la réalité, le futur supplicié attendrait quelques heures avant que le bourreau ne réfléchisse a son sort. Concentrée maintenant sur la voix d Alieniore, la rousse ne la quittait des yeux, sourire au coin des lèvres. - lauralyne, le 25/01/2010 à 00:12 a écrit:
- Laly avait appris que la rousse, soeur de celui qui fut un temps son frère se mariait.
Bien lui fasse....
Kuli, lui avait demandée d'être avec lui pour cette évènement. Elle aimerait lui faire plaisir mais franchement....la rousse et son mariage elle n'avait vraiment pas envie d'y assister. Elle tergiversait dans ses pensées caar elle savait que Kuli souhaitait vraiment qu'elle l'accompagne. Elle soupira et se tourna vers une malle. Elle l'ouvrit et regarda son contenu. Elle soupira de nouveau et en sortit une robe aux lignes simples et aux teintes d'un bleu moiré. Elle soupira encore et releva ses cheveux en un chignon lâche. elle ne regarda pas son reflet et se dirigea vers la cathédrale. Elle ne pressait pas le pas, avec un peu de chance tout serait fini. Elle arriva devant la porte et entendit un gros.
SILENCE
Zut de zut ce n'est pas fini.
Elle poussa la porte doucement, espérant que celle-ci ne grincerait pas, il ne manquerait plus que ça. Elle vit plein de beau monde et fut tenter de repartir tout de suite. Elle tenta de repérer son tendre Kuligan.
Mais qu'est-ce que je fais là?
Elle entendit une phrase intéressante concernant le fait de s'opposer au mariage. Elle eut un sourire et si........ Elle se demandait si elle allait le faire, cela serait amusant d'ailleurs, et vengeur il faut se l'avouer. Elle chercha du regard Kuligan. Elle aperçut une stature qu'elle connaissait son frère, non ce ne l'était plus, son sourire se figea. Elle détourna le regard et chercha de nouveau son fiancé. - Taizo, le 25/01/2010 à 00:19 a écrit:
- Entend la grande porte d'entré couiner... Voyant une dizaine de personne devant lui se retourner pour voir qui ose déranger la cérémonie, Taizo se tourne a son tour... A sa grande surprise il voit la moitié de son frangin.
Lui filant un coup de coude, il se retourne et fait un gentil sourire aux personnes devant...
Kuku, tourne toi... Discrètement... Y'a quelqu'un pour toi je crois...
""Discrètement" mouarf, avec sa carrure ça va pas être simple... "
Jète un regard au banc sur lequel il est assit...
"Même le banc commence a plier" - Elfyn_ap_gwirino, le 25/01/2010 à 00:22 a écrit:
- Discret, Elfyn était présent cependant, à la demande de Leyah celui ci s'était présenté à l'union des deux êtres.
Il rejoignit rapidement les quelques personnes qu'il reconnaissait et assista à la cérémonie. - Kuligan, le 25/01/2010 à 00:26 a écrit:
- Il avait bien raison d'attendre sa douce , la voila qui arrive et pas dans la discretion !
Kuli se retourne , faisant grincer le banc , décidement , ils n'ont pas investit dans les sieges ici , ni dans les portes d'ailleurs ... Lauralyne avance discretement , malgré son entrée remarquée , elle portait une robe somptueuse , Kuku posa ses deux mains larges sur ses genoux ,ainsi il pouvait se pencher dans l'allée pour montrer sa tête a sa bien aimée et lui faire signe afin qu'elle s'avance vers lui et Taizo.
Laly !! Lalyyy on est la hey !
Voyant une autre dizaine de personne se retourner vers lui cette fois ci , kuli se fit plus discret , se racla la gorge et se gratta la nuque , gêné d'etre remarqué ... Mais soulagé il fut de voir Lauralyne venir au mariage , c'etait une merveilleuse preuve d'amour. - alain1251, le 25/01/2010 à 00:34 a écrit:
- Enfin , il etait arrive ! Son cheval etait sur les genoux !(pratique pour en descendre , c'est moins haut), le colonel ne l'avait pas menage pour venir ...
Apres une derniere verification , uniforme , gants , chapeau , bottes , epee au cote , enfin tout bien comme il faut et bien propre , Alain se dirige vers la porte et entre ...
Silence
Merdasse , la ceremonie est deja bien entamee
Alain se glisse discretement a l'interieur et se planque derriere un pilier ... | |
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| Sujet: Re: Une union particulière ou conte de la folie extraordinaire ( 24 Janvier 1458 ) 17/8/2010, 01:13 | |
| - lauralyne, le 25/01/2010 à 00:38 a écrit:
- Laly vit une tête sortir et sourit en voyant elle qui elle appartenait mais... elle sentit ses joues prendre une couleur virant sur le rouge lorsqu'elle entendit:
Laly !! Lalyyy on est la hey !
Elle mit un doigt devant sa bouche faisait signe de CHUUUTTTT et là se dit que pour la discrétion c'était vraiment manquée. Elle sourit gênée et avança pour rejoindre son fiancé et son frère. Elle s'installa sur le banc au cotés de Kuligan.
Me voilà....mais franchement....et si........
Elle regarda la cérémonie, les futurs époux qui attendaient de savoir si quelqu'un allait se prononcer. C'était vraiment tentant.
Kuli j'ai bien envie de mettre un peu de piment. - Kuligan, le 25/01/2010 à 00:46 a écrit:
- Lauralyne avait envie de tout gaché , lui qui pensait a Fouine le faisant , il n'imaginait pas sa douce comme cela , mais pourquoi pas ?
Il regarda Laura dans les yeux , un rictus sur le coin des levres , allait elle oser ? La belle brune venait d'être remarquée que pouvait elle y perdre ? le scandale ne ferait qu'accroitre le bonheur et la vengeance dont elle avait besoin , mais Kuli ne pouvait pas se permettre de lui donner son avis.
Il lui caressa la joue tendrement , et lui sourit , il ne pourrait lui en vouloir pour rien au monde. - lauralyne, le 25/01/2010 à 01:09 a écrit:
- Laly regarda Kuli et lui sourit tendrement. Il ne l'empêcherait pas de le faire. Elle se perdit dans son regard , n'écoutant plus ce qui se passait du coup elle manqua le coche car Aliéniore, enchaina sur la cérémonie.
Je crois que j'ai manqué ma chance de faire tout rater.
Elle sourit et s'installa le plus confortablement possible avec un petit sourire.
Cela sera pour une prochaine fois. - Charlotte, le 25/01/2010 à 01:10 a écrit:
- [Assise sur un banc, observant et écoutant sagement]
Elle vit arrivée, Kuli et Taizo, rejoint plus tard pas Lauralyne très jolie dans sa parure bleue, beaucoup plus discrète que la sienne. Une envie de se lever et de sauter au cou du géant la tenaillait mais résignée à rester sage, elle détourna son regard vers le plus sexy des évêques, nous avons nommé le grandiose, Monseigneur Kurios. Finalement elle avait peut être un peu trop forcé sur la prunàvampi offerte par Joe.
Son regard s’attarda ensuite sur Maewenn au coté de…. Ah hhh!Se son sortie de ses lèvres étouffés rapidement par sa main blessée, que fessait-elle assise au coté de …de la fille de Leyah ? Charlotte regarda Gwill comme s’il pouvait comprendre sa question, simplement en la regardant dans les yeux.
Du calme, du calme… Elle se répétait ces mots comme une litanie. Son cœur battait si fort que le tissus de son chemisier bougeait. Sourit, parrain pourrait te voir et être déçu… Elle semblait retrouver un semblant de calme mais au visage de douleur que son compagnon affichait on pouvait comprendre qu’il n’en était rien. Lolotte avait empoignée sa cuisse et ne tenait pas du tout le libérer.
- Petite_fleure, le 25/01/2010 à 01:13 a écrit:
- Fleure suivait du regard chaque personne ici présentes, elle se serra contre son ange et enlaça ses mains un peu beaucoup intimidé par toutes les personnes présentes pour ce moment magnifique de la vie ou deux personnes allait ses dire oui ....
Elle tourna le regard un instant vers son ange et lui donne un tendre baiser et lui fit comprendre dans un regard profond qu'elle l'aime plus que tout et retourna son regard vers la cérémonie en laissant un sourire tendre et apaisé sur son visage en serrant ses doigts à ceux de son ange ..... - Gwillherm, le 25/01/2010 à 06:18 a écrit:
- Gwill regardait Charlotte, il avait bien saisi ce qui la tourmentait, a dire vrai il savais bien que quand Charlotte la remarquerais elle aurait une réaction. Il pensais pas que ce serait si fort tout de même... Elle avait aggrippé sa cuisse ... Gwill fit une petite moue... Et finit par lui sourire.
Il aurait voulu la rassurer mais le lieu ne s'y prêtait guère, et Kurios aurait sans doute redonner de la voix avec joie... Gwill se contenta de poser la main sur la sienne en espérant que cela suffise a l'apaiser. Esperant qu'elle retrouverait son calme...
Puis Gwill reconcentra son attention sur le mariage qui semblais il doit bien l'avouer s'eterniser une peu... pourtant c'était pas son premier mariage, mais celui ci semblais plus long que de coutume... Un mariage bien particulier d'ailleurs ou il avait été convié par Leyah qui s'était dis qu'il se perdrait pas même sans carton d'invitation. Se fut mal connaitre le Gwill ça, il avait effectivement trouvé le moyen de se perdre avant d'arriver... - Missanges, le 25/01/2010 à 08:42 a écrit:
- Elle court, elle court…Va être à la bourre..
Pffff !! Pas l’habitude d’être en robe… Oh !! Va pas m’entraver .. Veux pas rater le mariage de Joa et de Leyah, tout de même. S’avançe lentement, rejetant machinalement une mèche rousse de son front. Essaye de voir ou elle va s'asseoir...
Ohh !! Gwill tu es là, je me mets à côté de toi…
- peterpan31, le 25/01/2010 à 09:51 a écrit:
- Attends-moi, Miiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiissssss !
Par Aristote, son vieux père avait toujours un train de retard sur elle, décidément.
A la sortie de l'investiture du Dug, Missanges et Peter s'étaient installés côte à côte sur leurs montures pour cavaler de nuit et rejoindre Nantes afin d'en manquer le moins possible.
Mais à présent, il était essoufflé et se rendait compte que ses vingt ans à lui s'éloignaient peu à peu.
La cérémonie avait semble-t-il pris du retard car à l'orée du jour, les deux tourtereaux n'aveint pas encore les alliances aux doigts ! - Missanges, le 25/01/2010 à 10:19 a écrit:
-
- Citation :
- Attends-moi, Miiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiissssss !
Elle se retourne en souriant, un peu espiègle, heureuse d’avoir chevauchée à ses côtés. C’est qu’en peu de temps, ils avaient parcouru pas mal de villes bretonnes. Mais ils étaient là, présents.
Elle rit de bon cœur de le voir reprendre son souffle … Et lui dépose un bisou sur ses joues rouges par l’essoufflement
Allez viens tu sais bien que le temps n’à pas d’emprise sur toi.
- Yoshilas, le 25/01/2010 à 14:18 a écrit:
- [En route vers la Cathédrale de Nantes]
Yoshilas Etait monté dans la calèche de la Comtesse il y a bien des jours déjà. Il avait réussi a provoquer une petite bagarre dans une taverne en Normandie au nez et a la barbe de tous. C’étais il y a plusieurs jours quand il avait décidé de se dégourdir les jambes histoire de passer le temps. Il se souvenait encore de la recommandation de la Comtesse de surtout pas provoquer de bagarres. Il avait bien vu le conciliabule entre la Comtesse et Ruffus juste avant qu’il sorte d’ailleurs. Il avait fait en sorte de semer le brave Ruffus dans les dédales de la ville. Forcément il s’était aussi « semé « tout seul et s’étais perdu comme toujours. En entrant dans une taverne pour suivre demander son chemin, il était tombé sur un groupe de soudards qui lui avit demandé ce qu’était l’objet qui pendait a son coté. Il avait répondu en regardant sa dague que c’était sa « Griffe de chat » pour trancher proprement les gorges qui le méritaient. Les hommes s’était bien marrés visiblement avant de lui dire que c’était le machin avec les boules dont ils voulaient en connaitre le nom et l’utilisation. Il avait fournis toutes les explications sur son boulier quand l’un des soudards s’était proposé de l’acheter. Devant le refus de Yoshilas, s’en est suivit un bagarre générale d’où il est ressortis légèrement en vrac. Oui en vrac, alors c’est simple, c’est quand tu pense que rien ne peut t’arriver et que tu reçois plus que tu ne peux donner. Ca donne un Yoshilas boitillant aillant mal partout mais le cachant bien, enfin dans la mesure du possible. Donc j’en étais ou moi, haa oui Yoshilas est revenus ce jours en vrac sous le regard courroucé de la comtesse. Là il était plutôt a se morfondre dans son coin en priant tout ce que vous voulez que les petits monstres ne se réveillent pas. - evenice06, le 25/01/2010 à 15:04 a écrit:
- { Guérande puis Nantes }
Elle feuillette son aide mémoire ce matin là, le regard encore un peu endormi et le commente à mi voix.
- L’emploi du temps de l’Université, ça c’est fait….. Passer sur le marché chercher des sacs de blé, ça c’est fait aussi…..
Ah ! faut que je demande des couteaux au forgeron de la Mairie….. Aller à la messe, ça va se faire….Faut pas louper le retour de Passi…..
Mariage de Leyah et Joa…..
Elle pousse un cri et se précipite vers le bureau de Pit où il est déjà plongé dans ses dossiers commerciaux !
- Mon Piiiiittt !!! On va être en retard, c’est aujourd’hui, c’est le jour !
Il lève la tête et la regarde amusé.
- Tu as raison, ma douce, c’est tout à fait le jour aujourd’hui ! Si, si ! Mais le jour de quoi ? Il faut semer ? récolter ? embaucher ?
Partir en vacances peut être, non ?
Elle fait une grimace boudeuse, puis lui sourit.
- Incorrigible moqueur, va ! C’est le jour du mariage de Leyah et de Joachim. Et si on se précipite pas, on va arriver à contre sens des gens qui partiront de la cérémonie !
On se retrouve fin prêts dans une demi heure auprès des chevaux ?
Et ainsi fût…..en route vers Nantes où ils arrivèrent bien évidemment pas les derniers, mais avec une cérémonie bien avancée déjà. Ils saluèrent discrètement tous ceux qu’ils connaissaient et s’installèrent tout aussi discrètement dans un coin et là reprenant leur souffle, ils tentèrent de voir où en était la cérémonie. - joeboy65, le 25/01/2010 à 16:36 a écrit:
- Joe avait fait la route depuis Rohan, son lieu de villégiature actuel.
Cela faisait un petit moment qu'il avait reçu l'invitation de Joachim et Leyah. Pas plus ni moins qu'à son habitude, le directeur de la distillerie de Kastell Paol avait arrosé cet évènement, régulièrement, jour après jour comme le fleuve inondant la terre sèche.
La foule était présente en grand nombre. Que de bretons illustres ou pas !! Joe aperçut au loin Peter et sa fille. Il les salua d'un grand J qui voulait dire Joeeeeeee !!!!
Au loin le couple de marié écoutait les paroles de la druide. Joe sourit intérieurement. Il n'était pas à son premier mariage, auquel il assistait car il n'avait jamais pour sa part convolé. Enfin il n'en était pas à son premier.
Sortant sa flasque pleine, il entreprit de lui accorder sa main, gauche, aussi sec, car lui aussi. - milouse, le 25/01/2010 à 18:46 a écrit:
- Au signal de la mariée du jour, je me levais pour me porter à ses côtés pour la suite de la cérémonie.
C'est avec fierté mesurée que j'avançais à pas assurée me disant que Nantes était bien mieux que Rennes en ce jour. - Kurios, le 25/01/2010 à 19:22 a écrit:
- L'évêque écouta la verdruis avec plaisir et un regard doux se posa sur les fiancés qui allaient désormais vivre une vie à deux... enfin trois puisqu'ils nous ont fait un marmot hors mariage... mais ça l'évêque essayait de l'oublier. Une petite gorgée de sa gourde l'y aida gracieusement. Aaaaa sa gourde quelle bonheur...!
L'évêque c'était placé à l'Est des époux face au public.
Les témoins veulent -ils bien se poster au Nord et au Sud du Cercle.
Il attendit que ceux ci le fassent et entama encore un discours long et pompeux comme il en avait l'habitude. Il faut rappeler que l'on embauchait pas n'importe quel personne comme évêque. Il fallait qu'il soit expressément radoteur et ennuyeux pour faire bien son travail. C'est dans la charte de l'évêque... si si il y a une charte il parait. Quoi qu'il en soit la postérité ne retient rien de ce discours si ce n'est qu'il traité de l'Amour élément important de la vie d'autres choses très belles et philosophiques profondes et essentielles et qui se terminaient par...
... Et voilà le secret de la vie!
Chez les personnes présentes, femmes, enfants , époux et vieillards... personne n'avait suivi... personne . Tout le monde passa à côté de la Réponse... même le prélat n'était pas réellement conscient de ce qu'il disait. le chouchen à cette vertu d'aider le philosophe mais à le malheur de lui faire tout oublié ensuite... Seule une vache casquée avait entendu... mais on les chassait déjà, sacrifiant ainsi le bonheur futur. Pourtant une vrai question reste... Qu'est ce que foutait cette vache casquée au milieu d'un mariage dans une cathédrale?
Mes amis vous me voyez aujourd'hui, vous me voyez... vous me voyez n'est ce pas? faisant un geste de la main pour signaler sa présence l'air un peu abruti.
Bien! Vous me voyez donc devant vous fier, heureux, proche de l'extase.
De loin à ce mot le service de sécurité eut bien du mal a repousser les groupies de l'évêque en transe maintenue hors du bâtiment.
je suis heureux de marier deux personnes chères à mon cœur et au cœur de bien du monde. la preuve en est tout ce monde venu à Nantes pour l'évènement. Un futur beau frère ravi de laisser sa soeur à un être d'exception, des amis ravis de n'avoir plus a supporter les soirées entre célibataires endurcis... bref le bonheur.
Je suis fier que vous m'ayez choisit car vous êtes pour moi des êtres d'exception. Des êtres que j'admire, que j'ai quelque peu guider au début pour le jeune garçon... avant qu'il en découvre dans de rocambolesque aventures sa filiation avec note ancien Grand Duc et non moins vert Amalric. J'ai écouté Leyah me parler de pudding pendant des heures lorsqu'elle me fut présenté alors que j'attendais une confession... Enfin je suis fier!
Permettez moi de lire un petit texte pour vous rappeler que le sens du mariage est la création d'une famille aristotélicienne.
- Citation :
- En ce temps là une grande nouvelle se répandit dans la ville de Stagire : les sages astrologues venaient de repérer une comète inconnue dans le firmament. Aussitôt l’assemblée de la ville se réunie sur l'agora, tentant de découvrir le message que les cieux voulaient transmettre aux hommes. Hélas leur cœur était obscurci par leur foi erronée en de faux dieux, et ils s’égaraient dans des suggestions impies : pour l’un il s’agissait de la venue d’Hermès aux pieds ailés. Pour d’autre la foudre de Zeus allait s’abattre au milieu des hommes, et les temps touchaient à leur fin.
Seul dans l’assemblée un homme se taisait : son épouse était sur le point d’enfanter, et l’angoisse qui était la sienne ne lui permettait pas d’intervenir. Il n’était pourtant pas le moins sage, ni le moins écouté. La noblesse et la paix se lisait sur son visage, ainsi que les marques d’un dur labeur et d’une vie sans mollesse.
Le prélat repris la parole:
Vous avez dans ce texte l'exemple d'un père noble et sage, soucieux de son épouse et de l'enfant qui va naitre. Son existence a été marquée par la justice, le travail et l'honneur. Voilà l'exemple que vous devez suivre. L'honneur, la justice, le travail quotidien. C'est là que se trouve la clé du bonheur. Et peut-être alors que vos enfants, suivant vos traces, auront la sagesse d'Aristote et la bonté de Christos.
Vous pouvez échanger vos voeux à présents! - loulou, le 25/01/2010 à 20:02 a écrit:
- Lou sursauta lorsque la comtesse lui tendit son manteau. Il rêvassait quelque peu.
Quelques jours avant, elle lui avait demandé s'il souhaitait l'accompagner. Il en avait été ravi. Il adorait être en sa compagnie; cela lui permettait de découvrir de nouveaux paysages, d'apprendre de nouvelles coutumes, de boulasser autrement et de rencontrer d'autres personnes. Cela changeait de la routine.
Il avait voyagé en compagnie de la troupe habituelle de la baronne et de Yosh. Enfin, ce déplacement avait nécéssité un peu plus de monde que d'habitude, vu le nouveau rang qu'occupait Omby.
Enfin, ce long trajet c'était bien passé pour son compte personnel. Il fut heureux quand Rufus commença à baragouiner. Cela signifiait que l'arrivée était proche.
Il se reconcentra sur la cérémonie cherchant des yeux Omby. | |
| | | Missanges
Nombre de messages : 548 Localisation : Moulin des Kerdren, Kastell Paol ! Date d'inscription : 19/06/2009
| Sujet: Re: Une union particulière ou conte de la folie extraordinaire ( 24 Janvier 1458 ) 17/8/2010, 01:20 | |
| - Ombeline, le 25/01/2010 à 20:37 a écrit:
- Ombeline écouta, prêtant une oreille des plus attentives ... Elle jeta quelques regards vers les fiancés qui allaient être uni en cette cérémonie. elle vit l'évêque prendre place à l'Est des époux face à eux puis demander aux témoins de se poster au Nord et au Sud. Ahhh, c'était à elle .... Elle jeta un bref regard derrière chercha des yeux Lou, lui fit un sourire et reporta son attention sur les directives données. Souriante, elle s'exécuta et attendit ... L'évêque venait de se lancer dans un long long long discours ... piouffff ... et ben pire qu'elle lors de ses visites d'inspection des troupes.
- Azenora, le 25/01/2010 à 20:52 a écrit:
- Elle serrait étroitement la main de Maewenn. Elle ne se sentait pas à son aise parmi ces gens qu’elle ne connaissait guère. Elle tournait la tête à droite, puis un gauche, manquant de lâcher un cri de joie, lorsqu’elle vit l’expression qu’affichait son oncle Gwen. Pour une fois, ils se comprenaient parfaitement, ils ne voulaient pas de cette union, pour des raisons différentes, certes. Elle continua de promener son regard, se détachant à grand peine du morveux baveux dans les bras de son ex nounou. Ahhhh Ephygénie, elle ne s’en souvenait que trop peu, mais Cyprien lui avait longuement parlé d’elle au cours de leurs nombreuses soirées solitaires ; Azenora soupçonnait d’ailleurs le majordome d’être tombée amoureux, lui, qui répétait sans cesse que les femmes n’étaient que poison. Brin de nostalgie alors qu’elle s’apprêtait malgré elle à approuver le choix de sa génitrice. Elle se dévissa le cou, et aperçut la fameuse Charlotte, filleule de l’homme si elle avait tout compris. Elle ressentit encore plus de colère qu’elle n’en éprouvait déjà (voui va po tardé à exploser la Mam’zelle) et lui adressa un regard mauvais, plein de mépris et de dégoût. Elle haïssait cette Demoiselle qui pourtant, avait presque son âge. Mais la peste avait été choyée autrefois, peut-être cela expliquait-il leur différence. Sa joue chauffa, et elle savait que la chaleur de la cathédrale n’y était pour rien. Charlotte l’avait giflée, et elle l’avait mordue. Une histoire digne d’être racontée, elle l’écrirait à Maewenn plus tard. Après un dernier regard venimeux à la Charlotte, elle reporta son attention sur Eryk, alias mini-crotte. A peine né qu’elle ne pouvait déjà pas l’encadrait celui-là, elle le plaignait sincèrement d’avoir hérité d’une sœur pareil, tu parles d’un cadeau ! Elle comptait bien lui rendre la vie impossible, et pourquoi pas, faire pire. C’était-elle transformée en pierre ? A tel point qu’elle en était à être ignoble avec un être frêle ? Elle baissa les yeux sur ses genoux, impuissante face à ses envies meurtrières.
Bientôt l’échange des vœux, elle serra les dents, elle aurait voulu crier. Mais pourquoi le ferait-elle ? Pourquoi priverait-elle Leyah du bonheur qu’elle mérite tant ? La réponse lui vint aussi rapidement qu’un boulet de canon : Elle était égoïste. Egoïste de la partager, égoïste de la voir s’éloignait chaque jour un peu plus d’elle. Sans cet accident, peut-être qu’elle n’aurait pas ressentit les choses de la même façon. Il est vrai que depuis son retour, elle n’avait pas cherchée à savoir ce qui lui était arrivée. Chassant ces mauvaises pensées, elle reporta son attention sur la cérémonie. Son regard se posa successivement sur sa maman, l’homme, l’évêque, et…Son oncle. Elle soupira, soupira, soupira jusqu’à en manquer d’air. Elle se tassa sur son banc, et attendit que son supplice prenne fin. - Leyah, le 25/01/2010 à 23:19 a écrit:
- Vous pouvez échanger vos voeux à présents!
Qui ? que ? hein? quoi ? Leyah perdue dans les yeux de sa moitié venait de sursauter a nouveau. Des voeux? devant tout le monde ? Ah nan nan nan nan il n'en était pas question, déjà dire a l'oreille de son tendre ce qu'elle pensait c'était un effort énorme, mais devant une cathédrale bondée pouh Une grimace et une grande respiration plus tard .. Fallait éviter de passer pour une potiche qui arrive pas a parler sous l'effet du stress, mais elle était juste pudique la donzelle ! Raclement de gorge, quand faut y aller ...
A cette question posée du "Mais qu'est ce que tu fiches avec un tel olibrius ?" je n'ai jamais répondu, parce que cela ne regardait que moi. Si si ! L'occasion m'est donc donnée de dévoiler ce secret à tous . Ah aaah ! Suspense !
Bon sang Leyah déssere les fesses , t'as l'air débile A nouveau elle souffle la rousse, comme si c'était évident Il fallait dire qu'après des débuts cahotiques et incertains, jamais elle n'aurait cru arriver a cet instant ...
Et bien cet olibrius ,
retour du regard vers Joachim alias Gildwen
fait de moi ce qu'il veut ,
* preuve j'suis là comme une potiche devant tout le monde tsss il va me le payer,
être indéchiffrable et désirable déchainant ma passion
se penche vers son chéri ouha ca c'est joli je te l'avais déja dit ça ?
Amm.... hum .. Amour tendre et méritant de me supporter chaque jour
*bigre j'ai failli parler de l'amant performant qu'il est et attirer les convoitises, si les gens savaient a quel point il hmmm ... * Sur ces pensées le regard de la rousse tentait désespérément de ne quitter les yeux de son futur, presque époux pour loucher sur cette paire de fesses affolante. Il fallait hâter les choses, la nuit de noces allait se faire attendre
Soit ! mon cher amour, si ce jour je suis la comme une légère potiche, après avoir accepté cette demande en mariage, est parce que contrairement a ce qui ce dit, tu n'es pas un olibrius, tu es .. cinglé, et je t'aime pour ça, pour tout ce que tu me donnes, me reprend aussi . pour tes défauts avant tes qualités, pour cette adoration pour mes talons que je n'ai toujours pas comprise, donc il faut vraiment, mais vraiment que je sache pourquoi , tu comprends ? non parce que c'est important de savoir ca !
* bon sang Leyah sors de ton délire, fichue gueule de bois , il n'aurait pas juste pu demander un "oui" ou un "non" Kuku ? Tssss*. Demandez lui de parler économie a la rousse, elle va vous tenir la conversation pendant des heures , un véritable pipelette, mais là , elle avait envie d'arracher les yeux de son Kuku chéri juste parce qu'il fallait qu'elle étale ses sentiments en public plus que de coutume, et pourquoi il avait pas posé la question ? Pourquoi elle pouvait pas sortir la phrase bateau qu'elle avait répété dix mille fois dans sa caboche pour pouvoir la répéter sans bafouiller ? Tsss il allait en regouter du pudding tiens ! Retour du regard vers l'évêque
Hmm c'est suffisant ou faut que je m'étende ? Parce que je vous réserve du pudding sinon vous l'dites mon évêque adoré , le reste j'aime autant lui dire en privé .. c'est trop .. hum .. je doute fort qu'il soit bienvenu en ce lieu de dire a quel point j'adoooorreeee certaines choses .. ahem
Bouille d'ange et cils qui papillonnent pour montrer ce bel air innocent qui lui va si bien et la rousse de se demander si elle en rajoutait façon guimauve dégoutante. Encore que oui, elle était raide dingue de ce cinglé, de son esprit décalé, de ses mains , de son corps et la tête alouette .. Fallait il rajouter le soutien non chiffrable qu'il était ou encore qu'éloignée de trop de mètre elle étouffait ? Ou bien qu'il lui était impossible d'exister sans lui ? De trouver le sommeil si il n'était pas juste a coté ? Que d'amant il allait devenir époux après l'avoir empêchée par ce charme épouvantablement excitant de quitter la Bretagne définitivement? Qu'il avait cassé un futur mariage prévu juste par sa présence dans la vie de la rouquine et de cette dépendance ? ou bien encore que chaque heure passée a se réconcilier après d'épouvantables engueulades, étaient un véritable bonheur Nan pas ca .. ca se dit pas, ça se garde pour soi . Ou ca se dit juste à l'oreille de sa moitié lorsqu'elle est mordillée dans des moments très proches d'intimité - aricie, le 25/01/2010 à 23:35 a écrit:
- La demoiselle était toujours aussi sagement assise, près de son cavalier fort odorant, et même si l'odeur ne partait pas, elle s'y était un peu habituée. Leyah commença à parler, et ... Oh que c'était beau. Les lèvres toutes tremblotantes, une petit larme coula. Et zut! Voilà qu'elle pleurait aux mariages maintenant? Une petit voix en son fort intérieur s'invita alors dans la conversation de ses pensés "Ressaisis toi ma grande, ressaisis toi! C'est qu'un mariage! T'es ridicule, je t'assure que si, regarde toi un peu, c'est lamentable!" Et de répondre pour elle même "Fermes la fort intérieur!". Pour sauver les apparences, elle releva la tête et murmura d'un ton qui se voulait léger
Oh mince! J'ai pris une poussière dans l'oeil! - Joachim.Du.Bellay, le 25/01/2010 à 23:52 a écrit:
- Que dire, que dire. Les vœux ? Que Diable ! Il n'avait préparé qu'un minuscule "Oui, Je le veux" comme il le voyait faire partout. Non, Kurios, lui, il lui fallait du grandiose ! Il lui fallait du pâté, il lui fallait un discours interminable sur la puissance de l'amour et de... blablabla...
Il regarda alors sa dulcinée, qui la première décida de se lancer dans l'exercice après un long dialogue muet uniquement de mouvements du menton, des sourcils et des pupilles qui se dilataient et se contractaient selon ce que voulaient exprimer les futurs époux. Ainsi, ces derniers tenaient toute une discussion sans qu'un seul mot ne soit échangés :
- Tu les as préparé, toi, tes voeux ? - Non, Et toi ? - Non plus ! Bordel de merde, Comment on va faire ?! - J'en sais rien ... on le dit discrètement à Kurios ? - Non, t'es folle ! On est censé être au point. Bon allez, tu commences. - Eh ?! Pourquoi moi ?! - Parce que ! Allez ... et Que la force soit avec Toi !
Et c'est ainsi qu'après un léger grognement de déception, Leyah entama son impro. Joli impro d'ailleurs. Bien, c'était à son tour maintenant. Heureusement qu'il avait profité de la prise de parole de Leyah pour mûrir son discours. Il sortit alors une feuille de sa poche, où à vrai dire était uniquement écrit l'état des stocks des caisses bretonnes à la date du 23 Janvier 1458, et fit semblant de lire ce qu'il était supposé avoir marquer dessus.
Leyah ... Ma promise. Qui eut cru que nous en arriverions là un jour ? Nous qui nous nous fumes rencontrés un beau jour, à Rohan, chacun de nous ayant sa propre vie de son côté, chacun de nous n'étant pas spécialement intéressé par le physique intéressant de l'autre - surtout le mien, je dois dire ? Je ne crois pas ... Qui l'eut cru, en effet ? Si ce n'est cette Divine Providence, qui fit que chaque soir, Toi et Moi, prenions le temps de nous retrouver ensemble, de nous amuser aussi, simplement, naïvement, comme des enfants, s'amuser de tout et de rien, s'amuser à perdre leur temps dans des loisirs futiles mais si agréables et si relaxants. A cette époque-là, te souviens tu, mon amour, nous jouions sans soucis des tracas du quotidien, en nous complaisant dans un amour encore inconnu, intime, secret. Cette intimité, ce secret entourant notre relation et cette naïveté si agréable qui protégeaient chacune de nos nocturnes retrouvailles et qui nous poussait à chaque fois à nous coucher n'importe quand et n'importe où aussi...
Il eut un bref sourire au souvenir de toutes ses nuits qu'ils avaient passé à la belle étoile. Puis, il repensa au fait qu'il devait bien accordé une partie de ses vœux pour Gwen, juste histoire de lui rappeler qu'il avait gagné.
Ce n'est certainement pas non plus ton frère qui aurait cru à ce mariage. Lui, qui m'a rencontré pour la première fois alors que je tentais de percer les secrets que cachaient ta chemise après t'avoir ligot ... *hum* sa voix se perd lentement en se rendant compte qu'il ferait mieux de ne pas parler de ça ici, et devant tout ce monde*
Bref ! Cet amour pur et simple que nous avons vécu pendant de nombreuses nuits, nombreuses mais Oh combien fugaces, je sais qu'entre nos nombreuses futiles disputes, nos nombreuses réconciliations passionnées, je le retrouverais dans toutes ces années qu'il me reste encore à vivre à tes côtés.
Il sourit alors simplement à Leyah, espérant qu'il avait improvisé comme il se le devait et qu'il avait bien fait semblant de lire sa feuille, feuille qu'il rangea rapidement avant de se tourner vers Kurios. Un dernier petit sourire à droite et à gauche, un pour sa presque femme et un pour son témoin qui lui avait fait l'honneur et le plaisir d'être là, en ce jour si important pour lui. - aricie, le 26/01/2010 à 00:08 a écrit:
- Mais que c'est poussiéreux ici!
Non là elle n'était plus crédible du tout, mais tant pis, elle ne pouvait pas s'avouer vaincue, alors elle continuait à accuser les grains de poussières pour les deux trois larmes supplémentaires. - Bahia7, le 26/01/2010 à 00:11 a écrit:
- Bahia, discrètement, comme à l'accoutumé, s'était glissé dans un coin de l'édifice religieux, habillé d'une tenue les plus élégantes pour l'occasion. Il s'était posté là à regarder la scène. Rien à dire. L'union de sa filleule était fidèle à ce qu'il attendait, aussi farfelue que les principaux protagonistes.
- Taizo, le 26/01/2010 à 01:14 a écrit:
- Sourire aux mots de Leyah, suivit par ceux de Joachim...
"Jamais je les aurais cru aussi mielleux que moi les deux... "
Petit regard vers Kuli, assit a côté, sa tête posé sur l'épaule de sa compagne...
"En tout cas ils sont loin d'arriver a son niveau... Mais ils sont beau quand mêmeee !" - Charlotte, le 26/01/2010 à 01:24 a écrit:
- Aze, devait avoir un sixième sens ou l’oreille fine, car elle la repéra dans cette foule dense venue assister au mariage de l’année. Elle l’observait, cette fois plus calmement, ses yeux portaient toujours autant de haine à son égard mais cette fois-ci hors de sa porter, Charlotte ne se sentait plus comme une bête traquée. Elle ne lui adressa pas un sourire car elle aurait pu prendre cela pour de la provocation, elle tenta seulement de l’ignorer et de reporter son attention sur les vœux échangés par les époux.
Un sourire naquit sur les lèvres de Lolotte aux paroles de la rousse, elle se souvenait d’un soir ou seule toutes les deux elles parlaient de l’homme merveilleux qu’étaient Joa, son amour pour lui était éloquent à cette occasion.
Enfin vient le tour de l’époux, toujours aussi insaisissable même lorsqu’il dit à la femme qu’il aime que c’est pour la vie. Mon dieu qu’il avait le don de l’énerver celui là par moment. Par chance que Leyah pouvait lire entre ligne. Finalement, elle seule pouvait le supporter.
Forte de cette constatation elle fini par prendre conscience que sa crainte de perdre son amour était ridicule, le cœur de l’homme n’a pas de limite. Le sien en était bien la preuve, au fil des ans elle collectionnait les amitiés sincères et pour chacune de ces personnes une place spéciale leur était dédiée.
- Gwillherm, le 26/01/2010 à 05:52 a écrit:
- Gwill ecoutait le passage des voeux et sourit au tour de leyah se doutant bien de ce qui pouvait trotter dans sa tête... Il se remémorra aussi les mots de Kurios après cela lors de son propre mariage surtout le passage du :
"Vous pouvez embrassez chastement la mariée"
Et de la façon très chaste qu'il avait pris la liberté de le faire devant tous. C'était le tour de Leyah et de Joa aujourd'hui, Joa il le connaissais moins rencontré a St Pol il y'as longtemps. Leyah il avait fait route avec jusqu'a la Bretagne sans la connaitre empruntant les même chemin il avais fini par se croiser un jour en taverne
Pfff que de souvenir
Il reconcentra un peu son attention, surement que Kurios allais sortir sa phrase ou une autre d'ailleurs dans pas longtemps. Ceci sentait la percée du chouchen, c'était pas le moment de perdre son attention
Il regarda Charlotte un instant elle semblais aussi pensive que lui. Il sourit et observa les presque mariés qui finissait d'échanger leur voeux. - fayom, le 26/01/2010 à 07:03 a écrit:
- Fayom assis sur son banc, une main dans celle de son épouse, Angèle sur ses genoux, écoutait attentivement. C'est qu'il s'en souviendra longtemps de ce mariage, il avait un petit côté non conventionnelle. Déjà l'évêque avait un discours non commun, enfin peut être etait il tous ainsi en Bretagne, après tout ils ont encore des druides là où tout le reste de l'Europe les a vu disparaître depuis longtemps. A quand donc le moment où il allait sortir je ne sais quel filtre magique ? Enfin pour l'heure c'était à Leyah de prendre la parole, à son air on voyait qu'elle en était ravi. D'ailleurs au ton habituelle d'économiste hors catégorie, son discours était énoncé d'une voix fluette et hésitant, entrecoupé de pause. Fayom sourait aux mots qu'elle prononçait et même rit lors ce que ce fut à Joaquim. Tout les deux formaient un couple non ordinaire, cela lui fit penser à ses amis Ironflo et Sandrae.
- Meiline, le 26/01/2010 à 07:32 a écrit:
- Meiline avait les larmes aux yeux, un énième mariage et toujours le même effet.
Elle serra tendrement la main de Zigo, le regardant furtivement et se disant *bien que je ne vous épouserai jamais j'aspire bien à vous garder*. Son regard se tourna vers les futurs jeunes mariés, la pièce était calme d'un seul coup devant les voeux prononcés des deux, à l'heure dite, rien ne pourrait gâcher leur bonheur, rien sauf peut être un fou rire si ca les prenait... - Jaidelachance, le 26/01/2010 à 12:00 a écrit:
- La route avait été longue mais heureusement, tout s'était déroulé sans encombres. La calèche Artésienne escortée par le colosse Lordkiche et la Capitaine Jaid, elle-même impressionnée par la carrure du géant à ses côtés, était arrivée à bon port sans se fourvoyer sur la route, ce qui relevait déjà presque de l'exploit.
Bien sûr la toute jeune Capitaine qui n'avait que trop peu voyagé en dehors des terres Artésiennes ouvrait de grands yeux émerveillés en regardant les paysages menant au grand duché de Bretagne, interpellant le collosse pour lui désigner telle ou telle vue sur la route au fur et à mesure de leur avancée, auxquelles le géant répondait par des hôchements de tête bougons, visiblement agacés, ce qui n'altérait en rien l'enthousiasme de la brunette. Escorter sa nouvelle Comtesse était un grand honneur, le plus grand qu'elle puisse connaître certainement. Lorsque la calèche aux armoiries d’Ytres et d’Avesne-les-Bapaume s'était arrêtée sur le parvis de la cathédrale Jaid était allée ouvrir la porte aux passagers éminents qu'elle accompagnait.
C'était sans compter sur la tornade Bretonne qui s'était soudain abattue sur cette situation des plus normales. Dans une précipitation sans nom tout un monde s'était introduit à l'intérieur de la cathédrale, et avant même que la jeune Capitaine puisse le comprendre, elle avait perdue de vue toutes les personnes qu'elles était censée protéger Des cris, des odeurs, des mouvements, chacun de ses sens en alerte était perturbé par ce rassemblement Breton aussi agité que pouvait l'être un rassemblement Artésien. Ce ne fut que quelques minutes plus tard qu'elle repèra son ami Lou ainsi que le CaC Artésien Yosh, mais aucune trace de la Comtesse et de son Maîstre d'Armes ... Groumpf, elle qui pensait pouvoir récupérer du long voyage en dormant tranquillement sur un coin de banc, c'était raté pour cette fois. - Maewenn, le 26/01/2010 à 12:38 a écrit:
- Maewenn sentait Aze bouillonner à coté d’elle. Son amie semblait peiner à rester calmement assise à coté d’elle. Une pression légèrement plus forte lui fit tourner la tête pour voir où Azenora regardait. Hum Charlotte … Un regard vers Aze. La haine se lisait sur son visage. Mae grimaça, priant intérieurement que cette cérémonie finisse au plus vite, qu’elle puisse éloigner son amie de ce lieu et de ces gens qui la tourmentaient. Elle en vint à regretter de lui avoir demandé d’être la. Peut être était ce encore trop tôt pour la confronter à tout ca … Dans un geste protecteur et apaisant, elle passa son bras autour de ses épaules tandis que les mariés échangeaient enfin leurs vœux. Soupire de soulagement, le calvaire allait prendre fin. Mais voila, la tiote avait le cerveau en ébullition … Comment allez embrasser les mariés sans laisser Azenora seule ? Pour sur qu’elle refuserait de se plier à ce « protocole », elle refuserait de se joindre à ce bonheur … Tsss et vala, la ou la présence de son duc ronchon aurait été des plus utiles. Veiller sur son amie pendant qu’elle aurait salué ses amis, une mission pour laquelle il aurait été parfait. Et puis après tout, il ne l’aurait guère importuné, silencieux comme il est. Mais voila, il avait refusé, refusé et refusé encore de mettre les pieds dans une église. C’est pas beau de vieillir hein. Elle chercha une solution, balayant la cathédrale du regard, cherchant l’inspiration et puis le cherchant lui aussi. Sa présence lui manquait à cet instant. Mae ne savait plus que faire. Comment choisir entre des êtres qu’on aime et que tout oppose ? Pourquoi n’était il pas encore venu la rejoindre, rien que sa présence avait un effet apaisant sur la demoiselle. Et étant donné la situation actuelle, elle en avait bien besoin.
- jehanne66, le 26/01/2010 à 18:48 a écrit:
- Jehanne avait encore accepté de faire parti de la troupe artésienne qui voyageait de ci de là au gré des envies de la Comtesse Ombeline.
Elle se méfiait cette fois, car à leur dernier voyage, pour un couronnement quelconque, la pauvre avait été abandonné dans les Flandres. Mais elle avait réussi à retrouver son chemin, au grand étonnement de ses supérieurs ! Elle se demandait d'ailleurs si la Comtesse ne faisait pas exprès de partir encore plus loin, afin de se débarrasser d'elle...
La route avait été longue pour arriver dans cette cathédrale, et les arrêts en taverne nombreux... trop nombreux peut-être... Jehanne avait goûté toutes les spécialités au fur et à mesure de leur avancée, passant de la bière au calva, et pour finir, elle avait testé une spécialité locale. Un alcool avec un drôle de nom, un truc de d'ssous les chênes...
Elle regrettait d'avoir un peu trop tester ce délicieux alcool... de truffes sans doute... et vacillait un peu pendant la cérémonie, bousculant Rufus, écrasant les pieds de Lou, finissant adossée à son Lord adoré qui secouait la tête et soupirait en guise de désapprobation.
Étrange cérémonie... On en a pas des comme ça chez nous !
Jehanne regardait des p'tites bêtes passées, elle trouvait qu'elles ressemblaient étrangement au manteaux de la Comtesse, et avait bien envie d'en attraper quelques une pour s'en faire un manteau, elle aussi ! Elle rêvassait en souriant, imaginant la foule l'acclamer... Comtesse Jehanne !!! Que c'était beau !!!
Puis ses rêveries cessantes, elle crut apercevoir un Sire qu'elle connaissait ! Elle qui n'avait jamais mis les pieds en Bretagne, comment était-ce possible ?!?! Un nom lui revint après une grosse réflexion ... Laceter ! Un joueur de soule ! Difficile de savoir vraiment s'il s'agissait de ce Sire. Jehanne ne l'avait vu sur le terrain que fort peu vêtu, et là, il était habillé !
Elle essaya de se concentrer à nouveau sur la cérémonie avec difficultés...
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| Sujet: Re: Une union particulière ou conte de la folie extraordinaire ( 24 Janvier 1458 ) 17/8/2010, 01:26 | |
| - zigo35, le 26/01/2010 à 20:50 a écrit:
- Une légère pression dans sa main, il se tourna et vit une larme couler sur la joue de la demoiselle.
*bien que je ne vous épouserai jamais j'aspire bien à vous garder*.
Zigo sortit un mouchoir de sa poche et le tendit à Meiline en lui déposant un baiser sur le front
J'y compte bien moi que vous me gardiez
Il sourit légèrement en écoutant les déclaration quelque peut... singulière des époux. Ce mariage allait rester dans les anales c'est sûr, la fête qui s'en suivrait promettait énormément - aelyia, le 26/01/2010 à 22:57 a écrit:
- Elle avait écouté attentivement la suite de la cérémonie.
L’échange de vœux se montrait à la hauteur de ses espérances. Il était le reflet de la singulière originalité qui sans aucun doute cimentait leur union et faisait tout le charme de leur couple. Par contre … La jeune femme avait une petite inquiétude. Cela était plus impressionnant qu’elle ne le pensait un mariage. Elle se revoyait déjà bafouillante et stressée par l’émotion lors de son baptême, alors, le jour de son propre mariage… humm Un regard à Ignace à ses cotés, un sourire, un chuchotement…
Je ne suis pas certaine d’avoir leur aisance à gérer aussi bien mes émotions en public, il me faudra un peu de préparation … quoique laisser parler son cœur et la sincérité de ses sentiments doit rendre la parole plus aisée même si elle se montre impudique. - Guiyom, le 26/01/2010 à 23:29 a écrit:
- Plus la cérémonie s'éternisait, plus Yom avait envie de partir. Non pas qu'il s'y opposait à ce mariage, loin de là. Juste qu'il n'aimait guère les mariages. Surement parce que chaque fois qu'il y avait songé pour lui ça avait mal tourné.
Il s'était mis dans un coin pour pouvoir s'éclipser facilement si besoin était, mais sa chère cousine avait eu la bonne idée de se mettre à coté avec Ignace. Il avait presque eu envie de l'étrangler...Presque, vu qu'il en était parfaitement incapable. Un cours instant il se demanda si elle ne s'était pas installé ici pour s'assurer qu'il ne disparaitrait pas comme il le faisait si bien parfois. Les vœux se prononcèrent, certains détails presque croustillant qui manquèrent de paraitre au grand jour faillir amuser le jeune homme...qui ne réagis pas plus pour autant...
Un regard vers sa cousine et Ignace, les deux tourtereaux à ses cotés avant de murmurer
va falloir me chercher loin avant que j'revienne assister à un mariage...'ferez des économies sur l'chouchen derrière moi j'dis... - Riwan Nathan, le 26/01/2010 à 23:45 a écrit:
- J'avais peu suivi le déroulement de la cérémonie. ce genre de truc était ennuyeux au possible, même si les mariés avaient toute ma bénédiction.
Pour passer le temps, je me met à observer les assistants. Et là je crois le regard de ma princesse. Je lui souris.
Il y a une place à côté de moi, que j'avais réservé pour la 1ere belle demoiselle qui me ferait envie. - Aliéniore, le 27/01/2010 à 10:14 a écrit:
- Les voeux étant prononcés de manière fort .. intéressante il était temps d'appeler la paix sur les presque époux.
Jetant un oeil à l'Evêque qui semblait se déshydrater à vue d'oeil , discrètement elle lui donna sa gourde de voyage de pruneàVampi. Avant de s'avancer à nouveau devant les deux concernés avec un sourire rapide et discret à son propre Double juste prés d'elle.
Vous vous engagez l'un envers l'autre , appelons la paix sur vous , votre engagement et ce qui fait votre vie.
Levant les bras pour le cérémonial, de sa voix forte elle dit:
Peoc’h don, blancheur pure de la lune, da ni Peoc’h don, nuit intense du ciel, da ni Peoc’h don, de la vague qui court, da ni Peoc’h don, de l'air qui coule, da ni Peoc’h don, vert pur de l'herbe, da ni Peoc’h don, brun pur de la terre tranquille, da ni
Paix profonde, blancheur pure de la lune, à nous Paix profonde, nuit intense du ciel, à nous Paix profonde, de la vague qui court, à nous Paix profonde, de l'air qui coule, à nous Paix profonde, vert pur de l'herbe, à nous Paix profonde, brun pur de la terre tranquille, à nous
Elle repose son regard intense sur eux
De part vos voeux prononcés Vous jurez de vous tenir en paix, De vous présenter avec amour Cœur contre cœur, joue contre joue Ecoutez les Vénérés Ancêtres Ecoutez les Peuples de Breizh Ecoutez les Enfants de la Mère Entendez donc leur vœux sacrés A cet instant renouvelés
Elle recule alors pour retrouver son alcoolhyte d'évêque et lui laisser la place, imperturbable au remue ménage ambiant. - Cibeline, le 27/01/2010 à 11:14 a écrit:
- Cibeline tenait son fils contre elle et la main de son époux. Elle regardait le déroulement de la cérémonie et surtout elle écoutait. Elle souriait en se disant qu'elle n'avait jamais assisté à une telle cérémonie, mis à part celle de theud et kil.
Elle regarda du coin de l'oeil Angéle qui s'était endormis dans les bras de son papafay. Cibeline se pencha vers son époux et lui murmura : "Je crois que la princesse n'a rien vu de la cérémonie." - Maewenn, le 27/01/2010 à 12:55 a écrit:
- Son regard se pose enfin sur elle et il sourit. De son sourire qui lui fait si rapidement oublier tout ce qui se déroule autour d'elle. La jeune demoiselle esquisse un sourire puis se mordille la lèvre inférieure en réfléchissant, son regard fixé sur lui. Comment lui faire comprendre qu'elle aimerait qu'il la rejoigne quand cette fichue cérémonie qui s'éternise sera enfin terminée ? Et voila que maintenant on a le droit au coté druidique du mariage. Tss, si elle avait su ... Elle lorgne la place libre à coté de son prince mais ne peut se résoudre à se lever en plein milieu de la cérémonie pour l'y rejoindre et laisser Aze seule ici. Nan nan, faut qu'il comprenne qu'elle veut qu'il la rejoigne. Sourire enjoleur puis elle murmure pour elle même des mots tendres qu'il saura à coup sur lire sur ses lèvres.
- Kurios, le 27/01/2010 à 14:32 a écrit:
- L'évêque était assez fier de son effet. Il voyait les deux fiancées un peu embêtés et ça le faisait pouffer. Ce qu'il aimait ça!
Après tout s'il n'y avait que les officiants qui devaient bosser et réfléchir... bon namého!
Il écouta avec attention Aliéniore tétant goulument la gourde de secours qu'elle lui avait filer. C'est que tant d'émotion ça asséchait son homme.
De belles paroles qui faisaient vibrer l'assistance dans son identité. L'on pouvait presque sentir chaque ancêtre rejoindre leurs proches pour partagés une fois de plus un moment splendide qui avait pour but de fixer un peu plus les racines des bretons dans leur terre nourricière.
Il pris une longue inspiration et repris dès qu'elle eut fini:
Que les témoins se présentent à nous et donnent les alliances aux fiancés
Il attendit que ces derniers le fassent et reprit ensuite:
Mes enfants vous vous apprêtez aujourd'hui a vous unir par les liens sacrés du mariage. Cette cérémonie symbolisera le sentiment parfait, le sens de la vie, de votre vie. ne prenez pas ça a la légère, c'est un moment important, un acte qui n pourra pas être rompu comme on fini une gourde. Vous devrez être certains de vos sentiments, car désormais le but de votre vie sera de former une famille et perpétuer votre héritage familiale.
Etes-vous prêts à vivre dans le respect des conseils de l'Église? A vivre dans l'amour aristotélicien? A vivre pour former une famille aristotélicienne dans les vertus prônées par nos saints prophètes Aristote et Christos? - Ignace., le 27/01/2010 à 16:18 a écrit:
- Ignace salua l’arrivée de sa cousine dans la cathédrale, en lui adressant un sourire, lui faisant signe de venir s’installer à coté d’eux, mais trop tard, alors qu’elle venait de s’installer.
Ignace écouta attentivement la cérémonie, tenant toujours la main d’Aelyia dans la sienne, les imaginant déjà à la place des mariés, quand il sentit le regard de la jeune femme sur lui. Tournant la tête dans sa direction, Ignace lui adressa un sourire avant de se pencher pour l’écouter.
Il lui fallu beaucoup de maîtrise de soi pour qu’il se retienne de l’embrasser, aidé en cela par la présence du père de la jeune femme. Puis se ressaisissant, il lui chuchota à son tour
Le mieux c’est de laisser parler son cœur et ses sentiments, afin de profiter au maximum de cette journée qui marquera notre union.
Ignace amena la main d’Aelyia à sa bouche pour y déposer un baiser. - milouse, le 27/01/2010 à 20:59 a écrit:
- A la demande de Kurios, je m'approchais encore plus de Leyah.
Avec émotion certaine, je sortais alliance qui matérialisera son union avec sa moitié. Je prenais la parole.
- Moi, Milouse Coatmeur, Dug Cholet mais avant tout ami dans et devant l'adversité, je me retrouve fier d'être témoin pour Aristore de l'union de ce couple. Leyah, je te remet l'alliance, symbole de ton engagement. Je vous souhaite bonheur et réussite dans vos projets. - Leyah, le 27/01/2010 à 21:52 a écrit:
- Large sourire pendant les vœux de son presque époux, il avait dit cela de façon si ... délicate .. c'était le mot.
Le pauvre Cyprien s'en était arraché les cheveux au manoir à le voir hanter les couloirs discrètement .. ou pas d'ailleurs. Pour vivre heureux vivons cachés dit la maxime, mais aah catastrophe et qu'advient il quand on fini devant une cathédrale bondée de monde a devoir se donner en spectacle ? Doute soudain de la rousse qui le regard songeur interroge les pupilles de sa moitié. Bof, il avait l'air sur de lui... elle devait se faire des idées...
Léger tressaillement et Leyah avait sourit devant le coup d'œil complice de la druidesse et de son témoin C'est qu'il pouvait être attendrissant son suzerain .. des fois .. pas toujours .. enfin rarement .. encore que ? A cette pensée , elle pouffa pour se reprendre aussitôt dans un * hum* innocent. Elle n'en éprouvait pas moins une certaine fierté de l'avoir pour témoin. De deux pauvres bougres qui se regardent en chien de faillence a savoir qui de l'autre craquera le premier, ils en avaient fait du chemin. D'une relation de travail d'abord méfiante, elle était passée a cordiale, pour déboucher sur une amitié sincère et à une grande complicité dans le respect de chacun.
Sans le vouloir, finalement cette situation était parfaite, l'évêque avait le goulot en bouche, la druidesse et son double étaient proches l'un de l'autre, et son presque époux après sa longue phrase a couper le souffle était vraiment très très proche.
Alieniore prit la parole de sa voix puissante de druidesse reconnue. La rousse l'écoutait avec attention, on aurait pu même dire qu'elle buvait ses paroles bien qu'ayant les dents serrées dans un sourire figé, a tel point qu'elles auraient pu casser. Elle avait le don de saisir l'attention de l'assistance dès les premiers mots prononcés... Quand la druidesse se retira, dans l'intervalle de temps qui séparait ses paroles de celle de son Kuku chéri, celle ci eut une envie monstre. Celle de lui piquer sa gourde de PruneaVampi. Depuis le temps qu'ils étaient là et que lui se rinçait le gosier, toute l'assemblée devait être déshydratée.
Léger sourire aux dires de son Suzerain
Merci mon Dug et ami , pour tes voeux de réussite et pour ta présence encore et toujours...
Mini courbette en bonne et due forme sans pour autant passer a la pirouette, et la rousse écouta la suite. Vinrent les questions, êtes vous prêts a .. êtes vous prêts a .. Nan nan nan nan on est jamais prêt a quoi que ce soit c'est un mensonge épouvantable Mais ce n'est pas pour autant qu'on est pas pret a tenter le coup Et c'est la que machinalement la rousse part d'avant en arrière pour former une espèce de hochement voulant se persuader de répondre oui a toutes ces questions.
Vérification rapide, carapace mise, canines sorties, draps prêts a être froissés .. humpf faut arrêter d'y penser bon sang ! cuiller dans la poche, le pudding minute au cas ou ... moui .. l'était prête la donzelle.
Farpfai.. hmm .. parmai.. hupmf Par-fai-te-ment prête ..
Épouvantable, *cesse donc de baffouiller spice d'idiote !* Légère grimace en regardant son témoin, tant à dire " Tu gardes secret mes pertes de moyens face a une cérémonie pareille hein? " , sans compter sur le fait du nombre de personnes présentes bien sur, la jeune femme était dans sa bulle qui se liquéfiait a vue d'oeil. Puis le regard posé sur sa moitié voulant tout dire ou presque ou voulant tout simplement faire passer une interrogation du genre :"Dis il fait exprès de poser plein de questions, c'est fait pour tu crois ? non parce qu'il est quand même dans un état vachement avancé notre Kuku là, et j'suis en train de me demander si c'est normal. Fallait pas juste dire un oui et passer directement aux escaliers ?" Conversation silencieuse a laquelle elle aurait aimé qu'il réponde. Et se penchant vers l'évêque elle rajouta
Bon sang , ne me dis pas qu'il fallait encore tenter de faire un discours mon Kuku par pitié , je te passe les détails concernant ton sort si tel est le cas !
Redressement du buste et quenottes affichées dans son plus zouli sourire la rousse laisse son regard passer de l'évêque a sa moitié avec cette bouille d'ange qui lui va si bien. - loulou, le 28/01/2010 à 02:14 a écrit:
- Lors de la cérémonie, une personne était venue apporter un petit carton contenant un coussin et l'alliance du marié.
Vous donnerez ça à la contesse.
Hep. Zut parti. Il est bon lui. Il a pas vu que la comtesse était prés du marié. Bah...nous vlà bien. Rhoooo!!!quel guignol de course.
Lou aprés quelques instants d'intense réflexion, s'agenouilla prés de Nathy.
Tiens Nathy, tu prends le coussin avec la bague, tu le tiens bien droit. Tu marches doucement au milieu de l'allée et tu va le donner à maman. Tu fais ça bien, hein. Allez vas-y bonhomme.
Il réajusta un peu sa tenue et le laissa y aller....... - jehanne66, le 28/01/2010 à 08:05 a écrit:
- Voyant Lou confier un précieux objet au petit, Jehanne fit mine de sortir son épée, et avec une haleine à tuer un bœuf, à base de gaz de d'ssous d'chêne, elle lui murmura :
J'peux l'escorter moi l'gamin, si t'as peur ! C'est pas sérieux de laisser un p'tit comme lui servir d'appât aux voleurs !!! Y'en a qui tuerait père et mère pour un peu d'or...
Elle ne comprit pas vraiment pourquoi Lou retint son bras en la regardant d'un sale œil, mais n'insista pas, sentant qu'elle ne ferait pas dix pas sans tomber à la renverse.
Bon... D'accord... Tu verras ça avec sa mère, si l'petiot se fait attaquer. J'donne pas cher de ta peau ! Ombeline est féroce quand elle s'*hip's* met !!!
- Ombeline, le 28/01/2010 à 14:03 a écrit:
- La Comtesse d'Artois écouta les échanges bien personnels des deux futurs mariés. Elle porta un regard attendri sur son ami, sa manière de s’exprimer était tout lui. Sa moitié être aussi sur le même diapason. Elle jeta de temps à autre des coups d’œil vers le fond de la cathédrale afin de voir si son équipée restait discrète puis songea à un autre mariage passé. La voix forte de l’évêque la vit revenir au moment présent.
Que les témoins se présentent à nous et donnent les alliances aux fiancés
L’alliance ??? Comment cela l’alliance … Crénom d’une bobine, il ne lui avait pas parlé de ça … Ah moins que … enfin que … dans toutes ses explications prolixes sur le déroulement du mariage, il en est fait part à un moment donné … . Hum … Flûte, elle aurait du être plus attentive à ce détail ... pas anodin en plus ça … Plissement de nez …. Froncement de sourcils … Pendant que le premier témoin faisait son office, la jeune Comtesse réfléchissait aux dires de Joachim …. Cogitation intense … Ahhhh …. Vl’a que cela lui revenait … un coursier, oui, il lui avait parlé d’un coursier …. Mazette, leur équipage était arrivé tout juste sur le parvis de la cathédrale, pas eu le temps de le croiser celui là … non de non, elle l’avait pressenti qu’elle oubliait un truc en venant c’était bien sa veine … Ahhh, bon bon zen zen Ombeline, il est certainement ici. Regards en arrière, sur la droite, sur la gauche, au loin avec le plus de discrétion possible, histoire de voir le fameux coursier en question avec le p’tit coussin… O miracle ….Elle vit venir vers elle, la chair de sa chair, son fils portant quelque chose dans les mains… Perplexité … Ecarquillement des mirettes …. Ahhhh, l’alliance !!! Ouffff, sauvée … Oh pis qu’il était beau son fils. Un vrai p’tit homme. Regard de mère émerveillé sur sa progéniture. Elle arbora un magnifique sourire quand Nathanaël fut à ses côtés lui remettant le coussin. Une fois l’objet en main, et baiser déposé sur le front de son enfant, elle le tendit vers son ami.
- Moi, Ombeline, amie du futur époux, je suis heureuse d’être à ses côtés pour ce jour si particulier. Joachim, je te remets cette alliance et te souhaite tout le bonheur que tu mérites avec ta douce. - alain1251, le 28/01/2010 à 23:39 a écrit:
- Toujours planque derriere son pilier , Alain ne perdait pas une bouchee de la ceremonie .
Faut dire que , lui aussi allait bientot se marier , alors voir comment tout cela se passait , pouvait toujours servir ... Au bout d'un moment il se mit a murmurer ...
N'oublie pas la Rousse , bientot c'est toi qui viendra porter l'alliance ... | |
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| Sujet: Re: Une union particulière ou conte de la folie extraordinaire ( 24 Janvier 1458 ) 17/8/2010, 01:34 | |
| - laceter, le 29/01/2010 à 01:16 a écrit:
- Laceter De Bellefort admira avec tendresse ce moment et il caressa de ses doigts la magnifique bague qu'il avait offert à Fleure, il y avait peu de temps!
Il lui sourit tendrement et regarda cette scéne, il passa de son regard sur Leyah, sur Joachim et leur petit bout puis laissa son regard se plongeait sur les alliances et les témoins.
C'était quelque chose de si émouvant qu'il prit son Amour doucement dans ses bras et l'embrassa tendrement! - Joachim.Du.Bellay, le 30/01/2010 à 18:11 a écrit:
- Etes-vous prêts à vivre dans le respect des conseils de l'Église? A vivre dans l'amour aristotélicien? A vivre pour former une famille aristotélicienne dans les vertus prônées par nos saints prophètes Aristote et Christos?
Telles furent les paroles qui troublèrent Gildwen au point de le laisser se murer dans un silence réflexif où il prenait en considération le serment qu'il allait devoir prononcer. Il écouta et vit Milouse se présenter devant Leyah, lui remettre l'alliance qu'elle allait devoir porter jusqu'à la fin de ses jours, puis il vit Leyah, s'avancer et annoncer qu'elle était parfaitement prête à tout cela après l'avoir regardé d'un air insistant mais hésitant. Puis ce fut au tour d'Ombeline, de s'approcher de lui, lui remettant cet anneau qui serait à jamais sien. Aux côtés d'Ombeline, le petit Nathanaël semblait ne plus quitter les jupons de sa mère, ce dernier semblait partager entre une excitation débordante que de surplomber légèrement la foule du haut de l'estrade mais aussi une certaine timidité que d'être le centre de beaucoup d'attentions, ce qui le poussait à se cacher le visage dans les jupons d'Ombeline.
C'était son tour, maintenant. A lui de répondre qu'il était prêt à tout cela, à lui de répondre qu'il était prêt à vivre dans le respect des conseils de l'Église, à vivre dans l'amour aristotélicien, à vivre pour former une famille aristotélicienne dans les vertus prônées par nos saints prophètes Aristote et Christos. "WoW ! Mollo Papy, là ! pensa t'il alors, T'en demandes beaucoup là mon Kuku."
Il prit le temps de peser le pour et le contre, de se demander ce que ça voulait dire finalement que de vivre dans l'amour aristotélicien. Parce que bon, il avait pas non plus envie de passer sa vie comme s'il était dans un couvent alors qu'une beauté infernale lui servait de femme...
Alors que ses réflexions prenait le large et qu'il s'était même mis à penser au Kouign Amann qu'il avait fait préparé et qu'on allait lui servir ce soir, il se rendit compte que sa réflexion semblait avoir duré des jours et des jours. Réfléchissant au meilleur moyen d'annoncer en le moins de mots possible toute sa réflexion intérieure sur la complexité de tenir un tel engagement et sur toutes les nuances qu'il était possible de lui apporter, il dit alors simplement :
Euh ... Ouai, c'est à peu près ça.
Il tourne son regard vers sa témoin, la remerciant du regard, puis se retourne vers sa presque épouse. Constatant ses tremblotantes guibolles, il se rendit alors compte qu'elle pensait pareillement que lui. Il soupira d'aise, comprenant que même dans la frousse, ils étaient à l'unisson. - Salomé, le 31/01/2010 à 00:14 a écrit:
- SNIFFFFF
Salomé retient un hoquet de larme. " Que c'est beau un mariage ! ". Elle prend la main de Nilas dans la sienne et lui chuchote :
" Tu penses que nos épousailles auront lieu avant que notre enfant ait la majorité ?
Nilas se tourne vers elle et regarde son ventre prêt d'éclater avec un fin sourire. "Je te promets une chose en tout cas, c'est qu'une fois que nous le serons, nous célébrerons nos voeux chaque année jusqu'à la fin de notre vie".
Salomé lui décroche un sourire digne d'une madone à l'enfant. " Nilas d'Artignac, vous êtes un incorrigible romantique! " Ils se caressent du regard une biniouseconde avant de reporter leur attention sur la cérémonie.
" Je me demande si ces deux-là vont devenir des voisins recommandables ... Puis passant à un autre sujet sans transition. Si Guildwen devient mon oncle par ma tante, alors Riwan est mon petit cousin, non ?
Devant le regard perdu de Nilas, elle rajoute tout en se tortillant sur son siège: Tu crois que le banquet sera servit juste après l'échange de voeux ? Mon royaume pour une assiette d'andouilles de Guéméné ! "
Et des andouilles, à ce banquet, elle est sûre qu'il y en aura... - Kurios, le 01/02/2010 à 19:13 a écrit:
- L'évêque attendait que tout le monde fut en place. Il sourit à l'"Aristore" du Dug de Cholet. il ne connaissait pas le père de Leyah un certain Aristore ... elle ne lui en avait jamais parlé. Toutefois il était bine là pour lui en son nom, le suzerain tel un père donnant sa fille vassale en épousailles à un ptit merdeux de chez Broc! Si ça c'était pas le bonheur et la vie. Il continu ensuite. Venait ainsi un moment magique le moment merveilleux qui représentait le sens même de cette union de cette attachement
En répondant à ma question enfilez l’alliance au doigt de votre promis.
Gildwen veux tu prendre pour épouse Leyah ici présente, jures-tu de la chérir de la protéger et de la soutenir toute votre vie durant ?
Leyah veux tu prendre pour époux Gildwen ici présent, jures-tu de le chérir, de l’aider a suivre la parole de nos prophètes, et de le soutenir toute votre vie durant ? - Joachim.Du.Bellay, le 01/02/2010 à 20:30 a écrit:
- Sans hésiter un seul instant, il répondit d'un simple mais aussi d'un sensationnel, d'un serein mais aussi d'un séismique, d'un sentimental mais aussi d'un sensuel, d'un saugrenu mais aussi d'un sérieux, d'un saisissant et d'un séduisant mais aussi d'un sobre sémillant - voir même un brin séraphique - sacré et même séculier; d'un séditieux, d'un scandaleux, d'un scabreux et surtout,surtout ... d'un très sadomasochiste :
Oui, je le veux. Et je jure de la chérir de la protéger et de la soutenir toute notre vie durant, Monseigneur. - Leyah, le 01/02/2010 à 20:48 a écrit:
- Une dernière chance donnée de prendre ses jambes a son cou et de filer rapidement vers la sortie lui était donnée.
Oui , non , non , oui ? Semblant d'hésitation, fausse naturellement, fallait bien laisser un peu le presque marié en suspension dans l'air l'espace d'un instant. Bataille avec un anneau qui ne passe pas dans un doigt trop enflé .. si si c'est toujours comme ca Et de balbutier d'une voix plus simple que la sienne, mon dieu qu'il y mettait de l'effet un simple ...
Oui ...
Léger toussotement
Je jure de le chérir, de l’aider a suivre la parole de nos prophètes, et de le soutenir toute votre vie durant
Bon sang, quelle lourde tâche ... Sourire niais cachant une grimace face a l'ampleur de ces mots et la rousse après un nouveau toussotement réaffiche son sourire des plus quenottés. * spice d'idiote* - Kurios, le 01/02/2010 à 22:48 a écrit:
- L'évêque prit les mains des deux fiancées et les laissa l'une dans l'autre. Il les bénit. et se tourna vers la verdruis un sourire aux lèvres.
- Deguerlace, le 02/02/2010 à 19:03 a écrit:
- Étouffant un baillement, Fulgence se pencha vers sa cavalière, de façon à lui murmurer discrètement :
Tout cela ne serait il pas en train de s'éterniser par hasard ? Et puis, sans parler de cette horrible odeur, c'est vrai, ça sent le maquereau ici. Que diriez vous d'aller prendre l'air madame la mairesse ? - aricie, le 02/02/2010 à 19:28 a écrit:
- La jeune femme était concentrée sur la cérémonie, elle faisait au moins semblant de l'être, car en réalité elle s'était envolée dans ses pensées. Arrachée malgré elle à ses douces rêveries de bûcher, elle fit l'effort de tendre l'oreille pour comprendre les mots de son voisin. "s'éterniser... horrible odeur... aller prendre... madame la mairesse". Elle se mordit les lèvres pour ne rien rétorquer à propos du madame. Que pouvait il bien lui demander? Aller prendre...
Un bain?!
Sur le coup, la chose lui avait paru plutôt logique, quoi de mieux qu'un bain pour parer à l'odeur? Mais un quart de seconde plus tard, ses joues s'étaient colorées de rouge.
Non enfin... c'est que... rien! j'ai dit... "Rien"
Petit sourire gêné, puis elle se décida à répondre positivement, après tout la proposition ne devait pas être désagréable, quelle qu'elle soit.
Hum... D'accord.
- laceter, le 04/02/2010 à 15:23 a écrit:
- Grand sourire devant cet instant, ils se serrérent davantage dans les bras l'un de l'autre pour savourer encore plus. Ils étaient en admiration devant cette union. Laceter De Bellefort n'avait jamais été à un mariage encore, enfin il ne pensait pas et s'il l'avait fait, chose curieuse et étrange, c'était qu'il avait été invité par des connaissances et non point par ces amitiés habituelles. Comme c'est étrange la vie...
Les amitiés avaient tellement tendance à changer, s'évanouir et s'envoler par là...
Il attendait avec impatience de pouvoir aller féliciter les deux mariés avec sa compagne Fleure! - Aliéniore, le 04/02/2010 à 21:19 a écrit:
- A la suite de Kurios , elle s'avança une dernière fois au devant des presques totalement mariés.
Donnez moi vos mains, je vous prie .. mais pas n'importe laquelle. La plus proche de votre moitié.
Dociles , pour une fois, ils tendirent tout deux leur mains, se frôlant.
Alié pris leur avant bras et les colla l'un à l'autre. Elle sorti dont ne savait où , un ruban de toile bleu.
Toi Gwilden, je te lie à la somptueuse Leyah par la volonté et l'Amour de la Mère Nature
Elle commença à enrouler le lien autour de leur bras, trois tours...
Puis récitant de sa voix forte et faisant des noeuds.
Pour le ciel un noeud Pour la Terre un noeud Pour votre union un noeud. Pour votre union nos voeux.
Plongeant son regard dans les yeux de chacun des composants de ce couple
Répétez à ma suite:
Nous jurons de nous tenir en paix, Nous présenter avec amour Cœur contre cœur, joue contre joue Ecoutez nous ô merveilleux Ancêtres Entendez donc nos vœux sacrés A cet instant renouvelés - Leyah, le 04/02/2010 à 21:43 a écrit:
- La rouquine regarde faire intéressée, chaque geste fait par Alieniore est minutieusement analysé.
Léger sourire qui ne la quitte décidemment plus, c'est qu'elle commence a se détendre la donzelle Sauf quand vint le moment ou Alieniore vint planter son regard dans le sien, elle en imposait tellement, que la rousse se sentit soudain très petite . S'exécutant sans sourciller, la rousse commenca a répéter sagement.
Nous jurons de nous tenir en paix, -bon sang pas possible se tenir en paix? Se tenir calme ? Quelle horreur, comment qu'on se tient calme? .. pouh c'est pas gagné- Nous présenter avec amour - Ah ca oui pas compliqué- Cœur contre cœur, joue contre joue - Boarf et la tête alouette ! L'aurait pu rajouter la bouche aussi et .. hum .. chut saleté de pensées ! - Ecoutez nous ô merveilleux Ancêtres - Vi vi coutez bien ! - Entendez donc nos vœux sacrés - Ah vi c'est important c'est sacré hmm- A cet instant renouvelés - renouvellés, évite de loucher Leyah! -
Elle aurait fait honte a son propre père .. Pincement de lèvres léger, et la rousse de se jurer a cet instant de mettre les pieds dans le plat une bonne fois pour toute , cette cérémonie une fois terminée. - Joachim.Du.Bellay, le 04/02/2010 à 22:04 a écrit:
- Il laissa les évènements suivre leur cours jusqu'à ce qu'Alié vint vers eux pour les lier... mais les lier, réellement ! C'est ainsi que son poignet se retrouva entouré dans un ruban bleu et qu'il répéta après qu'Alié l'ait terrifié du regard - bon sang, quand elle était sérieuse, elle rigolait pas ! - pour qu'il répète après elle.
Nous jurons de nous tenir en paix, Nous présenter avec amour Cœur contre cœur, joue contre joue Ecoutez nous ô merveilleux Ancêtres Entendez donc nos vœux sacrés A cet instant renouvelés
Il osa ponctuer ce serment par un :
Ca y est ? On est ... prêts pour la nuit de noces ? - Aliéniore, le 04/02/2010 à 22:28 a écrit:
- Elle leur tira la langue discrètement pour les détendre un peu.
Les pauvres semblaient saisis d'effrois par son regard de Brezih.
Que cela soit!
Et que le chouchen coule enfin .. fait soif , pensa t'elle.
Elle laissa l'Evêque conclure et se plaça au coté de son Double statufié lui aussi par tant de solennité.. - Kurios, le 04/02/2010 à 23:47 a écrit:
- L'évêque colla un coup de gourde estampillé au couleurs de Loyat sur le crâne vide du jeune Brocéliande qui avait plus faim qu'un troupeau de slaves après une la traversée du Caucase. Et croyez moi les femmes du Caucase ont sans doute plus de pilosité que les cosaques après des mois à trotter sur leur chevaux pendant... enfin vous m'avez compris quoi!
Nous avons donc l'immense honneur, par les pouvoirs qui nous sont conférés par l'Ilizh et notre seigneur créateur de mère nature, au nom du Très-Haut et de tous nos ancêtres nés, et morts sur nos terres ancestrales, de vous déclarez mari et femme.
Vous pouvez foutre le ca... heu embrasser la mariée mais vous pouvez aussi ne pas le faire j'avoue que j'ai pas bien de raison de vous y obliger.
Longue vie et bonheur à notre nouveau couple! | |
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Nombre de messages : 548 Localisation : Moulin des Kerdren, Kastell Paol ! Date d'inscription : 19/06/2009
| Sujet: Re: Une union particulière ou conte de la folie extraordinaire ( 24 Janvier 1458 ) 17/8/2010, 01:39 | |
| - Azenora, le 05/02/2010 à 22:32 a écrit:
- Elle louchait sur ses petits petons, là ou tout autour, des fioles de prune vides jonchaient le sol. Elle avait vite décroché puisque peu enthousiaste à y participer. D’ailleurs, elle était venue uniquement parce que Maewenn le lui avait demandé. Après tout, Azenora n’avait rien à voir dans tout cela. Elle était une intruse. Oui, une intruse qui assistait à quelque chose qui ne la réjouissait pas du tout. Alors qu’elle en était à son millièèèèèèèèèèèèème soupir, Kurios prononça la phrase taboue : Longue vie et bonheur à notre nouveau couple! Elle s’y était attendue, sans y être vraiment préparé. Ca y est, sa mère était une femme mariée. Elle ferma les yeux, respirant à grands coups plusieurs fois. Pourquoi réagissait-elle ainsi ? Etait-ce à ce point mal que Leyah puisse être enfin heureuse ? Elle agissait en égoïste. Elle était heureuse pour sa maman…Tout au fond d’elle. Elle ne supporterait néanmoins pas de les voir sceller leur union devant tout le monde. Aussi, elle se leva doucement, ne faisant guère attention aux regards qui s’étaient tournés vers elle. Elle fixa sa mère, et attendit que leurs regards se croisent avant de lancer d’une voix qu’elle voulait ferme, mais qui était rauque :
Leyah, toutes mes félicitations.
BIM c’était dit. Elle sursauta. Elle avait parlé, alors qu’elle s’était jurée de ne plus jamais le faire. Elle retint ses larmes. S’avança en de grandes enjambées vers les grandes portes, et quitta la cathédrale. Elle avait besoin de réfléchir, une page de sa vie venait de se tourner, malgré elle… - laceter, le 06/02/2010 à 17:23 a écrit:
- Laceter et Fleure se frayérent un chemin vers les mariés et leur souhaitérent toutes leurs félicitations:
Joachim et Leyah...Tous nos félicitations!!!!
Ils leur sourirent et laissérent la place pour les prochains. - milouse, le 06/02/2010 à 18:33 a écrit:
- S'avançant avec son éternel sourire narquois.
- Félicitations à vous deux Se penchant pour n'être entendu que des deux mariés - De bien entendu, la vie nocturne paisible à Montfaucon doit être préservée. Laissant son tour aux impatient et il se glissait sur le coté. Levant la main et un clin d'oeil. - Je compte sur vous mais j'accorde une exception pour cette semaine de noce. Ni plus, ni moins. - Deguerlace, le 06/02/2010 à 21:24 a écrit:
- Alors que l'évêque et la druidesse achevait la cérémonie, Fulgence profita du fait que tout un chacun se pressait autour des mariés pour s'esquiver discrètement, accompagné d'Aricie bien entendu.
Il avait légèrement oublié d'aller la chercher, il se rattraperait en la ramenant, enfin, si il trouvait un moyen de locomotion décent d'ici là ...
Et puis tant pis pour le cadeau de la mariée, elle l'aura quand elle le méritera. - Leyah, le 07/02/2010 à 01:40 a écrit:
- Au lieu d'embrasser le marié comme le voulait les habitudes, leyah commenca par l'évêque.
C'est que les émanations de pruneaVampi étaient des plus attirantes, après deux grosses bises bien claquantes sur ses joues, la rousse fit enfin demi tour et regarda celui qui depuis trente secondes avait été déclaré son époux pour lui glisser un baiser discret sur les lèvres. Pas de démonstration calinesque en public pardi ! Surtout quand on ne sait se tenir .. qui sait comment cela aurait pu se terminer, nous étions dans une cathédrale tout de même un peu de tenue ! Et puis les bancs ne devaient pas etre assez confortables , et puis tous ces .. hum voyeurs ..
Breeeeeeeeeef !
Son suzerain juste a ses cotés, un murmure et un sourire quenotté qui s'agrandit. Taquin le suzerain , voire même coquin, ouhh le salioupiaud cachait bien son jeu celui là. De ce fait, le regard de la rousse se porta tout naturellement sur la douce du Dug, pour lui adresser un large sourire entendu. Entre femmes on se comprends pas besoin de mots allons ..
Un sourire a gauche, un sourire a droite, une bise a sa peste, même si elle le savait elle n'en voulait pas. Monsieur Paul d'un coté, madame Jacques de l'autre , et c'était parti pour la ribambelle de remerciement et de poutous gluants. Le regard qui parcourt tout ce fatras de monde et certaines têtes qu'elle voit plus rapidement que d'autre. Salut discret a Lace et sa compagne, un saut sur Bahia a les faire tomber au sol, son parrain quand meme .. , Zigo et Meiline trois bises qui petent pov nénette. Sa Lyly et Ignace un traitement particulier, en plus de la traditionnelle bise, une grooossseee tape sur l'épaule du gaillard, tant a dire, " prends en de la graine ce s'ra bientot toi" Guiyom, son cher fiston après un semblant d'accolade pu aussi gouter a l'élan joyeux maternel hein .. rien d'autre .. Mae proche de Aze en eut forcément sa part .. et Bla bla bla bla .. tout cela pour dire que tous bien sur goutèrent a un assaut poutoutesque gratuit mais si rarissime qu'il fallait bien le souligner.
Soiiiiiiiiiiiiit
Au bout d'un moment, la gorge de plus en plus sèche et dandinant d'une étrange facon, la rousse posa les lèvres près de son oreille favorite. Celle du Broc jeune marié cela va sans dire, et de lui murmurer
Dis, on se dépêche d'envoyer tout ce petit monde se bourrer le nez pour fêter ça ? j'ai comme une envie de m'éclipser.
Effectivement, la rousse était pressée, une envie énorme, que dis je énorme ? Gigantesque ! Phénoménale ! A en avoir la nausée ! Une énorme envie de faire .. pipi bien sur .. tsss vous pensiez a quoi ?
Tout en tentant de retrouver la sortie, Leyah cherchait cependant encore quelque chose, ou plutot quelqu'un .. son double perdu dans la foule. - fayom, le 07/02/2010 à 09:56 a écrit:
- Et voilà, l'évêque les déclara mariés et ce jusqu'à la fin de leur vie. Le spectacle étant terminé, c'était l'heure de remercier le public qui avait été d'un niveau exceptionnel on peut dire . Ainsi Leyah se mit à enchaîner les bises à tout va, elle semblait bien ému ou pressé de se tire allez savoir . Enfin, Fayom a eu le droit à ses bises, il en profita pour lui murmurer :
Félicitation Leyah, je te souhaite tout le bonheur de Bretagne avec messire. Et surtout reste sage
Un petit haussement d'épaule de sa part puis un sourire et elle reprit sa marche bisoutante. - zigo35, le 07/02/2010 à 12:03 a écrit:
- Alors qu'il s'apprêtait à féliciter la mariée il entendit la mariée désirant s'éclipser
Hop hop hop faut fêter ça mam... Leyah! Un banquet sans mariés et puis quoi encore, une fête sans chouchen?
Puis se tournant vers Joa
Toutes mes félicitation, beau mariage, j'ai hâte de voir le banquet - Meiline, le 07/02/2010 à 12:58 a écrit:
- Meiline fit un sourire émotivement à Leyah et lui murmure à l'oreille
- Sincères félicitations à tous les deux. Tous mes voeux de bonheur aux jeunes mariés !
Elle ajusta sa cape et quitta l'église discrètement, elle avait accompagné comme s'était prévu.
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