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 Mini BAMie deviendra grande.

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Peter_Kerdren
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Peter_Kerdren


Nombre de messages : 322
Date d'inscription : 13/06/2007

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MessageSujet: Mini BAMie deviendra grande.   Mini BAMie deviendra grande. Empty19/11/2008, 08:25

27 octobre 1456

Maewenn a écrit:
Sa mère était partie. A peine née, l'enfant se retrouvait déjà seule. Heureusement, les villageois s'étaient pris d'affection pour elle. Après avoir passé quelques temps chez Préciosa dans son auberge, Bahia était venu la chercher. Une certaine complicité était née entre les 2 depuis la première fois ou sa mère l'avait emmené en taverne. C'est donc tout naturellement qu'il avait décidé de s'occuper de Maewenn jusqu'au retour de Mirwen.

[L'arrivée chez Bahia]

L'enfant, dans son berceau, gazouillait de bonheur en observant l'homme qui allait maintenant s'occuper d'elle chaque jour. Elle ne comprenait pas encore tout ce que cela impliquait. Elle n'était encore qu'un bébé meme si beaucoup la trouvait assez vive d'esprit pour son très jeune age. Elle serrait son ours contre elle. Le froid se faisait plus pénétrant, Bahia remonta sa couverture pour bien la couvrir.

Puis il poussa une lourde porte et l'enfant pénétra dans un endroit encore inconnu. Il faisait froid, Bahia s'affaira alors a réchauffer la chaumière en attisant un feu. Peu à peu la maison reprenait vie.

Bahia prit ensuite Maewenn dans ses bras pour lui faire visiter les lieux, les yeux de la petite scrutait ca et la chaque recoin de la chaumière.

Bahia7 a écrit:
Bahia était ravi de l'entrée la petite dans sa vie. Ses journée étaient bien occupées, mais il la prenait partout avec lui. Ne la quittant pas des yeux. Il se découvrait des qualités qu'il ne soupçonnait même pas. Lui qui faisait si peur aux enfants avant, qu'ils se dépêchait de refiler les petits dans les bras de Clochette, embêté par les pleurs incessants qui commençaitent dès qu'il les prenaient avec lui. Quelque chose en lui avait changé.

Elle lui apportait d'autres choses, un autre interêt que celui du travail vers lequel il était exclusivement tourné ces derniers temps, en l'absence de Clochette. La petite commençait à bien tenir sa tête, et absorbait tout ce qu'elle voyait, imitait parfois les gestes de Bahia, de manière maladroite, et cela les faisait bien rire tous les deux. Il avait commandé chez un tisserand de nouveaux habits pour Maewenn, car elle grandisssait bien vite, même s'il ne s'en rendait pas compte, les anciens lui étant trop petits aujourd'hui.

Ce jour là, alors que le temps était couvert, il décida de lui montrer son moulin, alors que le vent fort faisait tourner les ailes assez rapidement, pour lui faire découvrir son mécanisme, la fabrication de la farine. La petite mangeait du regard tout ce qu'elle voyait. Il se dit que cela lui rappellerait sa mère qui faisait le même métier que lui. De ce fait, elle ne serait pas dépaysé. Elle s'agitait beaucoup dans ses bras, à se tourner dans tous les sens, car la visite n'était pas assez rapide à ses yeux. Bahia se dit alors, qu'elle avait le caractère bien trempé de sa mère...

Maewenn a écrit:
Les jours puis les semaines puis les mois passèrent. La petite grandissait et son caractère s'affirmait de jour en jour. Ses parents lui manquaient. Chaque jour Bahia lui parlait d'eux, de ce qu'ils avaient fait pour la Bretagne, des histoires de tavernes ... Jamais la petite ne laissa paraitre la souffrance de les savoir loin d'elle. Bahia s'occupait très bien d'elle et à ses cotés elle était heureuse. Mais elle avait besoin de la présence de sa mère, de l'amour de sa mère ... Son parrain et sa marraine venait de temps en temps lui rendre visite mais les devoirs de leurs charges leur offrait bien peu de temps à consacrer à la petite. Pourtant on ne peut pas dire qu'elle était malheureuse, au contraire, les saint politains étaient devenus sa famille et Bahia, celui qui comptait le plus pour elle.

Un matin alors que Bahia allait la chercher dans son berceau armé d'un biberon de chouchlait, Maewenn le regarda de ses grands yeux azurs et ...


Papa ?

Bahia tellement habituer à lui parler et à prendre ces habituels gazouillis pour de vrais paroles ne s'en apercu pas de suite ...

Ton père ... il est chez les moines depuis bien longtemps maintenant. Un mal inconnu le dévore mais j'espère qu'il en guérira.

L'enfant recommenca, elle regardait Bahia en tendant les bras vers lui.

Papa ... bars ?

Bahia resta sous le choc.

Bahia7 a écrit:
Après les premiers mots de Maewenn, il va sans dire qu'elle poussa vite, trop vite peut-être. Alors que la chaumière s'était agrandie, Bahia fit découvrir à la petite Koua.

Il apporta la petite près du batracien que Clochette avait gagné lors de son jeu de la boîte. Il lui avait bien dit de relâcher la grenouille près du lavoir, mais sa fée avait un coeur, et la lâcher c'était l'abandonner. C'est ainsi que le batracien finit chez lui. Souvent dans la cave, à côté des bouteilles, allez savoir pourquoi, Bahia alla chercher la bestiole, et la fit découvrir à Maewenn, qui sans a priori et forte de cette découverte, sortit un blabla indescriptible, entre mots et langage à elle, pour signifier que le batracien était désormais son ami. En effet, elle faisait déjà bon usage de tout ce qu'elle entendait, en le répétant, à son grès.

Cette journée-là eut son lot de surprises. Alors que l'après-midi touchait à sa fin, et pour éviter que la petite ne se couche trop tard, les deux compères partirent à la taverne, Maewenn, emmitouflé peut-être plus qu'elle n'aurait dû, mais l'homme avait trop peur qu'elle n'attrappe froid, elle, s'accrochant à la cape, le regard vif, devant, comme toujours, sans cligner. Oui, elle avait du caractère la petite.

Il poussa la lourde porte, posa Maewenn sur une chaise, comme à son habitude maintenant, et alluma la cheminée, pour réchauffer les lieux et les coeurs. Pendant que les flammes crépitaient, et que la petite dialoguait avec sa peluche, il apporta, dans la grande pièce principale une bouteille de chouchen qu'il mit sur le comptoir, au cas où de la visite arrivait. Ne chômant pas, le revoilà parti en cuisine pour préparer un chouchenlait à Maewenn, comme à son habitude, à cette heure-ci.

Mais quand il revint dans la grande pièce, Maewenn n'était pas à l'emplacement où il l'avait placé: elle était debout, accrochée au comptoir, à boire à la bouteille... On dirait qu'elle savait mettre à profit ses premiers pas...

Maewenn a écrit:
Les voix du chouchen sont impénétrables ... enfin sauf pour la petite Maewenn qui entretenait une relation somme toute particulière avec cette douce boisson. Aucune journée ne passait sans que la petite n'en déguste une goutte. Les tavernes saint politaines étaient devenues son domaine. Chaque table, chaque banc, tabouret ou tout ce qu'elle trouvait sur son passage l'aidait a atteindre ses objectifs. Qu'elle ait faim, soif ou besoin d'une quelconque attention, la petite était devenue parfaitement autonome ... enfin si la pièce contenait assez de meubles.

Un jour, on peut le dire assez banal, elle se promenait en foret, tenant fermement la main de Bahia qui l'aidait a marcher. Arrivée aux abords de l'étang, une petite grenouille surgit de nul part sautilla devant ses yeux. Maewenn, parfaitement sensibilisée a cette faune pour la cotoyer régulièrement chez son parrain et chez Bahia, eu l'idée saugrenue de lui courir après. Enfin courir ... C'est un bien grand mot. Toujours est il que la petite lacha subitement la main de Bahia et réussit malgré un chavirement certain à enchainer plusieurs pas. Elle appelait la grenouille croyant naivement qu'elle allait l'attendre :


Gwerig ? Et oui elle prenait toutes les grenouilles pour celle du Grand Duc, faut dire qu'elles se ressemblent un peu quand meme.

Réalisant soudain qu'elle n'avait plus aucun appui, la petite se retourna vers celui qui aurait du la suivre normalement dans sa course et patratra ... La grenouille n'avait pas du etre si rapide que ca puisque Maewenn se retrouva le nez dans l'étang et la tete en contact avec la peau toute visqueuse de la grenouille.

Bahia fier de l'enfant accouru pour la relever et contre toutes attentes constata que l'enfant ne pleurait pas. La fierté se lisait dans son regard malgré son jeune age.

Maewenn a écrit:
Plus les jours passaient et plus l'enfant prenait de l'assurance. Biensur, elle tombait souvent mais elle avait le don de ne jamais baisser les bras, toujours se battre pour avoir ce qu'elle voulait et force est de constater que bien peu de gens lui résistait malgré son jeune age. Les mois s'écoulèrent ... un hiver puis deux puis un troisième qui commencait. Maewenn courait a présent. Plus besoin d'appuis, plus de rencontres en terrain hostile avec les grenouilles ... C'est elle qui leur menait la vie dure à présent.

Maewenn n'avait pas non plus été dépourvue du sens de la répartie. A croire que les fées qui s'étaient penchées sur son berceau à sa naissance avaient décidé de la gater. Pour beaucoup, elle suivait les traces de sa mère, pour d'autres elle prenait exemple sur son parrain ... Mais ce qui était admis par tout le monde, c'est qu'elle avait hérité de la plus grande qualité de son père ... l'amour du chouchen et de la prunavampi !!!

Un matin, comme il en existe tant d'autres qui tous se ressemblent plus ou moins, Bahia lui préparait son petit déjeuner, assaisonné comme a son habitude d'une larme de chouchen. Maewenn était en train de raconter son reve à Bahia, un reve ou se mélangeaient des grenouilles mangeuses de princesses et des petits diablotins aux oreilles pointues, quand quelqu'un frappa à la porte.

Bahia7 a écrit:
Alors que Maewenn lui racontait un de ces rêves, ressemblant à ceux qu'il lui racontait avant qu'elle ne s'endorme le soir, Bahia se remémorra tous ses moments passés avec la petite. Mais celui qu'il gardera bien ancré dans sa mémoire, sera peut être celui qui arriva une après-midi hivernale, alors que la brise douce de l'hiver, caressait les douces joues de Maewenn, au cours d'une promenade sur la plage.

Elle jouait avec une voilure que Bahia lui avait fabriqué. Alors que le tissu faisait des méandres dans le ciel, Bahia était placé derrière elle, à l'aider à guider la voilure, afin qu'elle glisse avec majesté dans le ciel. Il avait un oeil bienveillant sur chacun de ses pas, sur chacun de ceux qu'elle faisait , mais anticipait aussi sur ceux qu'elle allait faire.

Et là, il s'aperçut que la petite ne semblait plus être attentive, et regardait discrètement sur le coté, timidement. Il orienta alors son regard vers l'origine de tant d'attentions. Il s'aperçut qu'un petit garçon, habillé de guenilles, s'approchait. Maewenn, hésitante, maladroite aussi, en oublia le bout de tissu qui volait au vent, la ficelle glissant doucement des doigts de la fillette pour se retrouver au dessus de la mer, voguant dans les airs, vers le large. Bahia regardait la voile au loin, alors que Maewenn ne quittait pas des yeux le petit garçon.


L'homme esquissa un sourire, prit la main de la petite, et lui dit:
Maewen, pourquoi n'irais-tu pas le voir? Je serai pas loin moi de toute façon.

Il lui lâcha la main, et la poussa doucement vers l'avant, comme pour l'encourager.
Elle se retrouva face au petit garçon, qui s'était arrêté, à une dizaine de mètres, faisant mine de bricoler son bout de bois avec lequel il jouait au chevalier deux minutes auparavant, lui donnant certainement une consistance.

La petite, le regard fuyant, se rapprocha du môme. Bahia les vit discuter un petit moment, et sans que rien ne l'annonce, le garçonnet tenta une bise sur la joue de la fillette. Elle se mit alors à lever les bras au ciel, s'agitant plus qu'à l'accoutumé. Elle revint d'un pas décidé, prit la main de Bahia, et le traîna vers la maison, en lui disant:


Viens on rentre

Il ne sut jamais réellement ce qui se passa ce jour là, mais il se dit qu'elle avait un caractère bien trempé, et que le premier qui osera ne serait-ce que penser à l'aimer, il lui faudrait bien du courage....

Il sortit de sa rêverie, quand la porte se mit à raisonner de bruits sourds...
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Peter_Kerdren
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Peter_Kerdren


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MessageSujet: Re: Mini BAMie deviendra grande.   Mini BAMie deviendra grande. Empty19/11/2008, 08:29

Mirwen a écrit:
Sur le pas de la porte, Mirwen retenait son souffle. Voilà bien longtemps qu'elle n'avait vu sa fille. La reconnaitrait elle? Elle prit son courage à deux mains et frappa chez Bahia.

Bahia7 a écrit:
Bahia ouvrit doucement la porte, et aperçut mirwen.

Il ne put s'empêcher de lacher un sourire, se retourna vers Maewenn et lui dit, ne pouvant cacher sa joie:


Je crois que c'est pour toi, Maewenn...

Mirwen a écrit:
Tant pis pour le chevauchement avec le baptème...

Mirwen adressa un sourire nerveux à Bahia. Celui ci s'effaça et derrière lui, Mirwen aperçu une petite fille.

Dieux qu'elle était grande! Elle avait laissé un bébé et voilà qu'une fillette était devant elle. Ne sachant quoi dire, elle se contenta de marmonner.


Bonjour Maewenn

Maewenn a écrit:
Quand elle entendit Bahia dire que c'était quelqu'un qui venait la voir, son cerveau se mit à se poser des dizaines de questions. Qui cela pouvait il bien etre ? Elle s'approcha d'un pas assuré vers la lourde porte puis se placa aux cotés de Bahia, on ne sait jamais si le quelqu'un en question lui sautait dessus ... Elle avait appris à toujours etre prudente.

Elle pencha sa petite tete d'enfant pour regarder discretement qui était la. Une dame. Une dame rudement bien habillée. Elle regardait l'enfant d'un air bizarre comme si le temps avait tellement passé qu'elle ne la reconnaissait plus.

Maewenn voyant le sourire de Bahia comprit que cette dame devait avoir une place importante dans la vie de l'enfant. Quand la dame lui adressa un bonjour, la petite avec un sourire angélique, lui demanda.


Dis Madame, c'est toi ma maman ?

Restant toujours à bonne distance au cas ou elle se serait planté, elle serait la main de Bahia dans la sienne en attendant la réponse tant voulu et espérée.

Bahia7 a écrit:
Bahia était heureux de cet événement. Il avait passé tant de temps à ses cotés, tant de souvenirs, de bons souvenirs. C'est vrai qu'elle lui avait donné du fil à retordre avec son caractère, mais il s'était attaché à elle, il faut bien l'admettre. Elle pourrait être sa fille, il s'en était d'ailleurs occupé comme si c'était le cas.

Maewenn tenait fort sa main, et cela ne faisait que rendre ce moment à la fois difficile et agréable: difficile car cela annonçait la fin de quelque chose pour lui, la séparation, il allait falloir apprendre à vivre sans elle. Agréable car sa mère manquait beaucoup à la petite, et que les esquisses qu'il lui montrait de sa mère, ainsi que les souvenirs qu'il lui rappelait ne suffisaient pas à combler le manque.

Il lâcha doucement la main de la petite, et lui glissa à l'oreille
"oui, c'est ta maman, tu lui as beaucoup manqué"...

Mirwen a écrit:
La petite était belle, si belle. Elle avait vraiment eu beaucoup de chance en n'héritant d'aucun des traits grossiers de son père. Mirwen la regarda longuement et sentit une bouffée de fierté serrer son coeur.

Elle ne partirait plus sans sa jolie petite fille à présent. Elle s'accroupit très peu protocolairement, ouvrit les bras et sourit à la fillette.


Oh oui tu m'as manquée ma chère et si belle petite fille!

Maewenn a écrit:
Bahia lui lacha la main et elle comprit. L'enfant savait qu'une nouvelle vie allait commencer pour elle.

Maewenn heureuse de voir celle qu'elle avait si souvent imaginée etre la de chair et de sang devant ses yeux sourit de toutes ses belles dents blanches. Sa mère l'observait et la petite en retirait une certaine fierté. Enfin sa maman allait etre la pour elle, enfin elle allait la découvrir réellement.

Lorsque Mirwen ouvrit les bras, Maewenn ne put s'empecher de bondir et de lui sauter dans les bras. Elle lui déposa un tendre baiser sur la joue et la regardait dans les yeux, laissant toujours ses bras autour du cou de sa mère.


Dis maman, tu me laisseras plus hein ? Promets moi que tu partiras plus si loin de moi ?

Les yeux de la fillette se faisaient tristes à la limite de l'implorant. La séparation avait été dure pour la fillette, meme si la vie aux cotés de Bahia était des plus douces, rien ne remplace la présence d'une mère et ca Maewenn l'avait bien compris.

Mirwen a écrit:
Le quart d'heure de bisounoursisme touchant à sa fin, Mirwen embrassa sa fille et se redressa.

Non Maewenn, je ne partirais plus sans toi. Ne serait ce que parce que ton éducation va commencer. Tu pourras m'accompagner où bon te semble pour apprendre à aimer et servir la Bretagne comme je le fais. Et il faudra te montrer digne de notre famille. La branche BAMi est un peu délabrée mais la branche de Brignac est noble à présent.

Puis, voyant que cela faisait un grand discours pompeux, elle sourit.

Et puis tu dois absolument suivre les pas de ta mère. Nous allons bien nous amuser je pense.

Elle rit d'anticipation et serra sa fille contre elle.

Maewenn a écrit:
Plus sa mère parlait et plus l'enfant la regardait avec de grands yeux. Elle hocha la tete quand cette dernière lui dit qu'elle pourrait l'accompagner partout, bien sur que maintenant elle n'allait pas la lacher d'une semelle, namého, faut pas la laisser dans son coin la mini BAMie. Puis elle répondit

Tu sais maman, Bahia il m'a éduqué aussi un peu. Il m'a appris la politesse et tout ca alors t'auras plus grand choses a m'apprendre si ?

Maewenn regardait sa mère avec un air totalement innocent comme elle savait si bien le faire.

Finalement la petite ne retint que les dernières paroles de sa mère, les plus importantes a ses yeux d'enfant.


Nous allons bien nous amuser je pense.

Maewenn sourit malicieusement en entendant sa mère et se blottit contre elle quelques instants.

Mirwen a écrit:
A présent que sa fille était avec elle, Mirwen recommença à penser pratique.

Avant toute chose ma chère petite, nous devons te faire entrer dans la grande famille d'Aristote. Ton baptème n'a que trop tarder, mettons y nous.
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