Archives de Saint-Pol-de-Léon
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Archives de Saint-Pol-de-Léon

Archives du forum des RR
 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 À la poursuite du cochon ( 16 Juil 1458 )

Aller en bas 
AuteurMessage
Missanges

Missanges


Nombre de messages : 548
Localisation : Moulin des Kerdren, Kastell Paol !
Date d'inscription : 19/06/2009

À la poursuite du cochon ( 16 Juil 1458 ) Empty
MessageSujet: À la poursuite du cochon ( 16 Juil 1458 )   À la poursuite du cochon ( 16 Juil 1458 ) Empty20/7/2010, 13:39

Marguerite a écrit:
Marguerite était à la mairie ou elle regardait les offres d'emploi disponible. Elle avait quelques choix mais elle se dit que de zigouiller un cochon serait drole. Donc elle mi son nom sur la liste pour aller abbatre un cochon chez le Marquis. Quelques minutes plus tard pendant qu'elle attendait tranquillement. Une personne vient annoncé qui avait été choisi

Citation :
16/07 12:23 : Gwenchlan embauche Marguerite

Sourire aux lèvres elle partie en direction de l'élevage du Marquis.

Rendu à l'endroit ou elle devait abbatre le cochon elle prit le couteau et entra dans l'enclos. Elle ne fit pas attention mais elle oubliait de fermer la porte. Elle regardait le cochon et sourit

Vient ici p'tit cochon que j'te zigouille.

Lorsqu'elle arrivait tout près, le cochon partie a courir dans tout les sens. Marguerite courait derrière en souriant. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas couru comme cela et elle y prenait plaisir.

Le cochon beaucoup plus intellignent qu'il avait l'air prit la porte de l'enclos et disparu dans la ville.

Oups, j'pense que je dois le rattraper!

Elle passait quelque maison et vu Mademoiselle Mai tout près et elle lui crit en courant derrière le cochon

M'z'elle Mai v'nez m'aider j'dois zigouiller le cochon et il s'est sauvé!

Elle couru de plus belle, couteau en mains derrière le cochon.
Mai a écrit:
La petite Tribun était en route pour voir un nouveau fossoyeur, à cause du nombre grandissant de nouveaux arrivants qui mourraient, lorsqu'une énorme truie la frôla de peu, suivit de la petite Marguerite.

M'z'elle Mai v'nez m'aider j'dois zigouiller le cochon et il s'est sauvé!

Il y avait de ces moments dans la vie, ou si l'on voulait s'amuser il ne fallait pas réfléchir.
Courrir après un cochon dans les rues de St Pol devait être de ces moments là !
La petite lâcha sa besace, et se mit a courir avec Marguerite vers l'énorme bestiole.
A sa grande surprise l'animal courrait vite, très vite...


Malloz doué ! On y arrivera jamais à le rattraper comme ça.
Mais comme disait sa mère pour la cuisine, si ta pas de tête, t'as des jambes.
Et bien la c'était le contraire, il fallait réfléchir à une stratégie pour ramener la bête dans l'enclos.

Mar...riiiite !! On va pas réussir à l'attraper... On court pas assez vite !!!
La petite Tribun sentit l'air sur son visage et le vent s'engouffrer dans ces jupes et ses cheveux blonds...
Elle avait l'impression de voler, elle écrata les bras et hurla:

Je suiiiiss laa Maiiitre du Mooonde !!!!
La souveraine de la planète croisa alors son baron adoré (elle n'en connaissait qu'un de toute manière) qui sortait de taverne et avait besoin de se dégourdir.
La baron lui lança un regard interrogateur, mais a la grande surprise de Marie se mit a courir a ses cotés sans qu'elle lui demande rien...
Les Barons pouvaient donc courir ! Waw...

Un des cochons de Gwen s'est échappé de l'enclos... Faudrait le rattraper s'il te plait.
Elle lui sourit, et poursuivant sa course se tourna vers Marguerite pour s'assurée qu'elle suivait... Elle riait heureuse de cette cavalcade improvisée.
L'arrière train du bestiaux se balançait devant eux à vive allure.

On fait quoi ...?
Joachim.du.bellay a écrit:
[Dans une taverne à KP...]


- "J'vous remets l'ptit frère, Baron ?
- Ah, j'hésite ... j'ai du boulot ...
- Allez baron ! Voyons ... Allez, c'ui là, il est pour moi. Cadeau de la maison !"

Ah si c'est offert, ça ne se refuse pas! Un dernier p'tit verre de picrate pour le Baron et ensuite, hop, faut retourner au boulot. La taverne c'est bien, mais faut pas non plus y passer ses journées, déjà que Joa se sentait actuellement un peu en hauteur à cause de l'alcool qu'il avait déjà ingurgité, mais s'il fallait en plus vidé le verre que le tavernier lui remettait.
"Courage, Joa ! Gast, t'es Breizheler ou pô ?!"
Le tavernier lui pose son verre - en disant son habituel "Voilà pour vous, Baron!" - alors que Joa, n'ayant pas de temps à perdre décide avec courage de prendre le taureau par les cornes! D'une traite, il vide le verre avant d'ouvrir grand la bouche pour lâcher un assez gros soupir sous les yeux ébahi du tavernier.

- "Ahhhh ... ça fait du bien, Patron! Allez maintenant, je file, j'ai encore du boulot."

Il salue de la main le tavernier avant de le quitter, légèrement saoul.
Là, sur le pas de la porte de cette taverne qu'il venait de quitter, il crut apercevoir une scène bizarre : Deux jolies créatures que l'alcool ne lui permettait pas d'identifier, semblaient courir dans une direction totalement inconnue. La seule information connue à dire vrai était que la fillette et la donzelle étaient sacrément pressées!
"Mmhh, ça Joa ça veut dire qu'il va y avoir de l'action !"
Légèrement bourré et ne comprenant pas totalement ce qu'il faisait, il se mit à courir à leur côtés, sans aucune raison valable. S'approchant petit à petit, il discerna que l'une des deux femmes était la Marie tandis que l'autre semblait être la P'tite Marguerite.
"Mmmh... mais pourquoi peuvent-elles bien courir ?!"

Devinant ses pensées, ce fut Marie qui lui apporta une réponse :

- "Un des cochons de Gwen s'est échappé de l'enclos... Faudrait le rattraper s'il te plait.
*silence ... pas de réponse du Baron*
- On fait quoi ...?"

Lentement, le sang imbibé d'alcool de Joa transporta l'information jusqu'à son cerveau, quand, l'ayant enfin comprise - c'est à dire deux à trois secondes après l'énoncé de la réponse - il s'arrêta net dans un grand cri.

- "Eiiiiiiiiiiiiiiiiin ?!
Non, mais vous surchauffez pas un peu du citron, non?!
Vous voulez que je vous dégage la nuque à la cerpette?
**
Me faire courir après un cochon ?! Dans toute la ville ? Non mais ça va pas !!!
Bien trop rapide le gros porc!
"

Regardant marie, il tapota sa tempe de ses deux doigts.
- "Faut la jouer "Tactique !". Faut le prendre par surprise !
Il faut établir... Un plan d'Attaque !
"

Le regard sérieux bien qu'il racontait n'importe quoi le baron, il tentait de convaincre les deux donzelles du regard que c'était la meilleure chose à faire.


** réplique empruntée à Léodagan de Carmélide in Kaamelott !
Vossler a écrit:
[Aux détours des tavernes, sur le chemin du retour.]

Un grand brun, une main dans une poche, l' autre qui tient une merveilleuse chopine, le tout qui passe son temps à flâner dans les ruelles de Kastell-Paol ... rien de plus normal à vrai dire.

Il faisait beau, mais surtout très chaud, et pas la moindre petite brise de vent pour adoucir un peu cette foutue chaleur.

Le jeune homme, un peu lassé de marcher avec un temps si étouffant, si si il est très flemmard le Vossler, décida alors de s' asseoir sur un banc qui se trouvait non loin de lui, afin de finir tranquillement sa chope et pourquoi pas d' entamer un petit somme.

Pendant ce temps, des bruits de pas se laissaient entendre, rapides et rapprochés, des genres de "Tap ! Tap ! Tap ! Tap !", au passage très pratique pour fermer l' oeil ..
Ces fameux bruits de pas se faisaient de plus en plus présents et nettement plus audibles aussi, tellement que l' homme ne tarda pas à ouvrir brusquement les yeux pour traquer la cause de ce dérangement.

Et là .. oui là .. à sa plus grande surprise, un cochon, en train de s' évader apparemment, qui surgissait de nulle part et qui courait à une vitesse remarquable pour un petit porcinet.
Suivaient ce dernier, la petite Marguerite, jeune fille rencontrée un peu plus tôt en taverne, Maï, la tribun du village ainsi que le Baron de Batz, carrément à l' ouest, qui pourchassaient la bestiole à grande peine.

Le jeune se homme frotta les yeux puis les écarquilla, non il ne rêvait pas, drôle d' après-midi tiens.
Ni une ni deux il abandonna sa chopine à contre-coeur et se lança à grande enjambées dans une ruelle qui faisait angle à l' allée où le peloton coursait l' animal.
On tourne à droite, puis une vingtaine de mètres tout droit puis re à droite et re tout droit et, et, et paf ! pile en face de la bête.
Ouais, parce que Voss p' t' être qu' il n' est pas toujours éveillé, mais quand il s' agit de courir, il fait ça très bien et même très vite (pas qu' il aime fuir hein ?).


'Fin bref, le brun dégaina son épée et s' exclama :

Ah ! Te voilà fait comme un rat, Porcinet !


Puis il tourna la tête pendant un court instant et répéta à voix basse :

Héhé, fait comme un rat ... le porcinet ... pas mal non ? Petit moment de solitude ...

A peine avait-il retourné la tête que la bestiole n' était plus là et voilà qu' en face de lui, le groupuscule de tout à l' heure qui lui faisait de grands signe du genre "Hé Voss ! Rattrape-le !"

Vossler laissa échapper un soupir puis repris le rythme de course mais tranquillement cette fois-ci, de toute manière, c' était sur le trajet de la maison, il allait pas se taper un détour en plus.
Mai a écrit:
- "Eiiiiiiiiiiiiiiiiin ?!"

Le baron s'arrêta net dans la rue pavées, ses chausses devaient sûrement avoir des semelles spéciales pour s'arrêter si proprement.
Maï qui courrait pied nus faute de moyen eu plus de mal...
Une mégère s'était débarrasser de son eau sale dans la rue juste à l'arrivée de la blonde.

Et marie comprit les dangers de l'aqua-planning...

Ni une ni deux, la blondasse exécuta une bien jolie pirouette et finit sa chute sur le séant en hurlant :

- "Margueriiite sa glisse fait aaaaattention!!"
Lorsque Marie rouvrit les yeux, Marguerite la regardait, debout, la main tendue pour l'aider à se relever...
La tribun ravala sa fierté et saisit la main qu'elle lui tendait pour se remettre debout.


Même pas mal...
En faite si, elle avait un mal de chien.

Gildwen regarda les donzelles de son air supérieur, enfin supérieurement alcoolisé sans réagir à la scène qui venait de se produire.
En sage demoiselles qu'elles étaient, elles écoutèrent les grandes théorie du Baron en matière de courssage de porc.

- "Faut la jouer "Tactique !". Faut le prendre par surprise !
Il faut établir... Un plan d'Attaque !
"
- "Un plan d'attaque...?
Regarde perplexe vers Marguerite.

Avant qu'ils n'aient le temps de peaufiné leur plan, un bruit de verre brisé retentit plus haut dans la rue.
Vossler, oui oui leur Vossler, le seul et l'unique laissa tombé sa choppine pour courser le bestiaux à son tour.
Ils avait l'air plus doué et plus rapide qu'eux trois réunit.
Marguerite a écrit:
Marguerite courrait le plus rapidement qu'elle pouvait. Elle était heureuse de sentir le vent sur son visage. Depuis qu'elle avait échoué sur la plage, elle n'avait eu quelques petits bonheurs mais n'avais pas vraiment eu le temps de s'amusée. Elle était contente que Mai court avec elle. Elle était grande, belle et avait un rire communicateur.

Elle eu juste le temps de s'arreter et vit Marie tomber dans une marre de bout. Magot éclatait de rire et lui rendit la main pour l'aider a se relever

Même pas mal...

Pffff ils disent tous ca m'z'elle Mai..

Et éclata de rire

Margot essayait de comprendre ce que le Baron disait. Du haut de ses 10 ans les mots plan et stratégie lui disait pas grand chose.

Elle regardait Mai sans trop comprendre. Et repartie a courir

Elle reprit la course quand elle vit Voss laisser partir la bête

Hey ben merci de ton aide!

Elle continua de courir et arrêtait tout d'un coup

M'Z'elle Mai... faudrait faire en sorte de le ramener dans l'enclos... qu'en penses tu? Peut-être si je vais chercher Henry...il nous aiderait?

L'enfant regardait essoufflé la jeune dame en reprennant son souffle
Maewenn a écrit:
L'air est tellement étouffant, la chaleur si pesante qu'en cette belle après midi, la BAMie avait décidé d'aller se baigner. Après tout l'air marin, l'eau tout ca tout ca, beh ca éclaircissait les idées et pour le coup, elle en avait bien besoin la peste. Une plage, du sable, de l'eau légérement froide juste comme il faut et une demoiselle qui trampouille ses petons dedans. Quelques minutes ? Quelques heures ? A vrai dire, elle n'en sait fichtrement rien la tiote mais il faut bien se décider a aller s'occuper des finances du Duché ... V'la que maintenant elle était Bailli, z'ont pas peur les gens quand meme. Petons humides qui marchent dans le sable chaud. Petits cris alors que le sable lui brule les pieds et que les petits grains s'immiscent entre ses orteils ce qui est franchement très désagréable.

Et vala, la voila de retour sur le pavé. Demoiselle qui s'appuie sur un abreuvoir pour essuyer ses pieds et remettre ses bottes. Nan parce que marcher pieds nus ca fait po classe, on le lui a assez répété. Pis faut avouer que c'est parfois quelque peu dangereux, on ne sait pas toujours sur quoi on marche. Patte en l'air, main sur le bord de l'abreuvoir tandis que l'autre frotte son pieds tapissé de sable. Equilibre des plus précaires vous noterez.

Et la ... vlammmmmmmm. Un monstre surgit d'on ne sait ou. Effet de surprise oblige, v'la une princesse le popotin dans l'abreuvoir, incapable de se relever
.

Gasttttttttt. Qu'est ce que c'est que ce truc ?

Et la, moment de solitude extreme. Y'a quelqu'un ? Nan parce qu'elle est pas forcément supra débrouillarde quand elle a le popotin dans l'abreuvoir la demoiselle. Elle préfère nettement la prune à l'eau faut bien l'avouer ...
Henry_de_silly a écrit:
Henry marchait, il marchait en chantant ...

J'aime flâner sur les grands boulevards
Y a tant de choses, tant de choses
Tant de choses à voir
On n'a qu'à choisir au hasard
On s'fait des ampoules
A zigzaguer parmi la foule

Quand soudain une scène épouvantable par sa violence le stoppa net ...
Un porc de la pire espèce venait de bousculer une passante qui finit sa course dans la flotte ...
Inquiet de cet évènement, le maire de KP se mit à courir, et ohhhh surprise :
C'est la Dame de Ploermel qui avait décidé de tester l'eau de chevaux ...
Devant l'ampleur des catastrophes potentiel car l'immonde insolent se dirigeait à vitesse grand V vers le marché et ses étales ...


Misère de misères, il va réduire le beau marché de Saint-Pol en miettes !!!!
Gaaaaaaaaaaaaaaaaaaardes !!!!!!!!
Gaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaardes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


Arrêtez moi ce gredin !!!
Mettez le aux fers !!!
Saisissez vous de lui avant qu'il ne détruise tout sur son passage !!!


Alors que le maire sautait sur place en criant des ordres a gauche a droite et en s'étant soudainement transformé en pivoine tant il semblait énervé, arriva un groupe de personnes parmi lesquelles il reconnu Margot, sa petite protégée, Marie, Gildwen et Vossler ?

Se serait-il trompé ?
Aurait-il rêvé éveillé ?
Était-il seulement éveillé ?
Cette scène faisait plus penser à un rendez vous entre amis, le dimanche après la messe qu'à une course poursuite à travers la ville de Saint-Pol ...

Après avoir tendu sa main au nouveau Bailli pour l'aider à sortir de sa marre aux canards, Henry interrogea les personnes qui l'entouraient.


Aidez moi j'ai besoin d'une description de l'individu pour la garde ...
Est il gros ou mince ?
petit ou grand ?
la couleurs de ses cheveux ,de ses yeux, la forme de son visage, signe particulier, etc
Marguerite a écrit:
Margot courageuse poursuit sa course derrière les autres. L'enfant avec ses petites jambes ne pouvait aller plus vite que ses amis.

Elle arrivait près du marché accompagnée de la troupe lorsqu'elle vu Henry, maire de la ville et l'homme qui l'a si bien acceuilli en lui fournissant un toit.

Elle couru quelques mètres de plus et comme a son habitude elle lui sautait dans les bras et lui fit un gros calin.

Le voyant aussi survolté devant la scène elle retourna sur le planché des vaches.. (cochons)

Surprise elle vit Mae dans l'eau, elle eu un petit sourire mais n'osa pas se moquer.

Elle écoutait Henry et rit en entendant ses questions.

Aidez moi j'ai besoin d'une description de l'individu pour la garde ...
Est il gros ou mince ?
petit ou grand ?
la couleurs de ses cheveux ,de ses yeux, la forme de son visage, signe particulier, etc


A bout de souffle

Moi... moi je peux te répondre.

Donc il est quand même assez gros mais pas très grand. Heu ses cheveux... Me semble qu'il avait un petit duvet pâle. Son visage un long nez et le visage en long, la couleur ben il est rose. et un signe particulier ouiii il marche à 4 pattes et il a un queue en tire boucon!


Elle le regardait un peu moqueusement en attendant sa réaction.
Henry_de_silly a écrit:
Henry dévisagea l'enfant qui semblait se gausser de lui ...

Non mais sérieusement, sé-ri-eu-se-ment !!! Dit-il en prenant soin de bien articuler le mot ...
Un brigand qui détrousse les passants et qui jette des demoiselles de haute lignée dans un abreuvoir ... d'eau qui plus est, c'est tout bonnement intollérable !!!
Il ne faut pas laisser passer de tels agissements ...
C'est pourquoi je te repose ma question, j'ai besoin d'une description de l'individu, comment est il ??
Marguerite a écrit:
Margot regardait un peu avec peine Henry. Elle avait l'impression qu'elle avait dit un mensonge mais, c'était toute la vérité.

En l'écoutant elle fronçait des sourcils et lui répond d'un ton sévère et ferme... pour une jeune enfant.

Non mais ... tu crois que je dis des mensonges???

Tu as juste a regarder combien de personne qui court!!!


Peinée elle lui montre du doigt un cochon au loin

Regarde la bas! C'est un cochon! J'ai oubliée de fermer la porte.

Sur ces mots elle partie à courir encore en direction de la bête.Et rajoutait en criant

Tu nous aides au moins?

Elle se dit que ca serait bien la moindre des choses après avoir insinuée qu'elle voulait encore jouer un tour.
Mai a écrit:
Marie rejoint alors la petite troupe en boitant sévèrement.
La chute avait été plus douloureuse qu'elle n'avait pensé aux primes abords.
Elle saisit le bras de Gildwen sans lui demander la permission.
Elle avait besoin d'une béquille et lui aussi vu son état d'ivresse avancé...


Bon on fait quoi..?
Elle avait désormais un soucis personnel avec le sale bestiau et elle comptait bien le réglé entre quatre yeux !
Else a écrit:
Pendant ce temps, dans une petite chambre toute proche... Une blonde avait levé le nez de son ouvrage. Ce raffut, mes aïeux ! Parole, depuis qu'elle avait élu résidence à Kastell Paol, Elisabeth n'avait jamais entendu tel barouf. Abandonnant là son ouvrage, elle sortit dans la rue...
L'animal lancé ventre à terre déboulait dans sa direction, poussant (opinément) des cris de goret qu'on va égorger, tandis que sa poursuivante juvénile criait quelque chose à un groupe bigarré posté devant la Marée Basse.

Haussement de sourcils amusé.
Et un brin d'excitation. Qui la saisit au ventre. S'entremêle dans ses tripes, gagne le coeur, le comprime, en accélère le battement... Est-ce un résidu d'enfance ? Ou bien le souvenir du voyage, imprimé dans ses jambes, l'appel du corps qui se débat dans sa nouvelle prison sédentaire ? En tout cas, l'envie de courir balaie toute idée dans son esprit.
La blonde s'élance après la bête qui vient tout juste de la dépasser, ses jambes se délient, se déchirent, accusent les chocs, elle court pas si souvent qu'ça, l'air gelé lui brûle le nez, la bouche, incendie sa gorge, la poitrine se serre douloureusement, 'peut plus respirer, peut plus, peut plus, peut quand même, elle retrouve le souffle, la brûlure s'estompe, ses jupes lui cinglent les mollets, le coeur lui bat, et...
Euh. T'as pas oublié qu'euqu'chose, donzelle ? Pourquoi qu'tu cours, par exemple ?
Ah, oui, le cochon. Attraper le cochon.


- T'vois l'mur en face ? crie-t-elle entre deux souffles, à l'attention de la gamine. Faut qu'y fonce par là, j'y barre la route à droite, toi par la gauche.

Plan foireux, sussure une petite voix moqueuse dans sa tête. Tu cours pas si vite, ça march'ra pas, la mioche y arrivera pas... Mais la blonde s'en fiche. C'comme un jeu. Pour un instant, la course effrenée la rend invincible.
On ne vante pas assez les vertus libératrices de la course au suidé fugueur.
Mai a écrit:
Accroché au bras de l'ivrogne de la journée, la petite blonde avise alors son double descendre dans la rue et se mettre à la poursuite du bestiaux. Ni une , ni deux la petite lâche le bras de sa barrique et part en claudiquant vers sa frangine.

- T'vois l'mur en face ? Faut qu'y fonce par là, j'y barre la route à droite, toi par la gauche.
C'est pour ça que c'était sa sœur et qu'elle l'aimait. Elle n'avait pas besoin de plan elle était dans l'action. Sincère, honnête et vraie.

La tribun s'intégra à la stratégie mise en place en se plaçant face au mur, genou légèrement plié, l'air menaçant.
Aussi menaçante que puisse l'être une blonde maigrichon de 100 livres à peine.


Je le bloque s'il fait demi-tour !
Regard apeuré du cochon au pied du mur. Marie compatit un instant de le voir ainsi encerclé par trois donzelles. Bien que jolie a regarder (faut bien le dire quand même) elles n'en n'étaient pas moins ses assaillantes. Le jambon-sur-pattes se concerta avec lui même un instant pour choisir la meilleure option possible.
Il lui fallait foncé dans le tas, la boiteuse voltigerait un coup et "hop" à lui la liberté.


Oh Gast ! Il me regarde. regarde appuyé sur le cochon. Attendez je crois qu'il me vise !!!
Revenir en haut Aller en bas
 
À la poursuite du cochon ( 16 Juil 1458 )
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» La Justice Locale ( 15 Juil 1458 )
» Fête de la mer ( 05 Juil 1458) (Gargote)
» Qu'est-ce qui se passe VRAIMENT en Bretagne...(13 Juil 1458 ) (Gargote)
» [RP] A la poursuite du trésor de C'Hwzher Bras Ar Marv
» LE grand rassemblement de l’armée...( 02 Juil 1459 )

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Archives de Saint-Pol-de-Léon :: RP Divers :: RP divers-
Sauter vers: