| | | Cendrillon pour ses 20 ans ( 09 Juin 1458 ) (Gargote) |  |
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Missanges
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| | Sujet: Cendrillon pour ses 20 ans ( 09 Juin 1458 ) (Gargote) 23/7/2010, 13:02 | |
| - Maewenn a écrit:
- Rennes, au petit matin d’un jour de juin de l’an 1458. Une petite peste brune s’égosille dans la salle de bal du château ducal. C’est qu’avec le relèvement des finances ducales, la tiote a eu l’autorisation d’organiser un bal. Depuis les aurores, elle donne des ordres, goute aux mets et aux boissons, donne son avis, précise quoi faire aux gardes, valets et servantes du château. Tout doit être parfait pour ce jour. Petit à petit la salle retrouve sa splendeur. Le ménage est fait de fond en comble, les sols lavés à grande eau. Aux 2 extrémités de la pièce, les flammes frémissent. On a beau être en juin, il faut avouer que les soirées sont encore fraiches. Des tableaux rappelant la grandeur du Duché Breton ornent les murs. A la fin de la matinée, la salle brille de mille feux. L’Hermine y est rappelée partout, des tentures aux nappes richement décorées. Le Buffet est préparé, les mets tous plus délicieux les uns que les autres ornent les tables disposées le long des murs de la salle. Chouchen et prune enivrent de leurs aromes chaque nouvel arrivant.
La demoiselle sourit devant le résultat. Elle s’éclipse quelques instants. Dans son bureau, elle enfile son corset que sa suivante serre jusqu'à ne plus pouvoir respirer. Une belle robe aux couleurs émeraude et noir colle au plus prêt de son corps. Ses cheveux sont relevés dans une sorte de chinon négligé. La voila fin prête pour le début des hostilités. Elle retourne dans la salle de bal, attendant que la noblesse, les conseillers ducaux et le peuple l’y rejoignent pour ensemble fêter le redressement de la Bretagne. Triturant une mèche de ses cheveux s’échappant de sa tignasse, elle revérifie une dernière fois que tout est en place.
- Henry_de_silly a écrit:
- [Dans la cour du Château de Rennes]
Dong ... Dong .... Dong .... Dong ...
Les cloches de la cathédrale sonnaient ...
Il était 20h00.
La démarche aussi légère et le pas aussi assuré que possible malgré sa récente fracture,
Henry arrivait au château.
On ne pouvait pas dire qu'il arrivait à vitesse grand V, car il devait encore et toujours s'aider de sa désormais inséparable canne épée ...
L'extérieur était illuminé de tous cotés par d'impressionnant flambeaux.
On s'y croyait en plein jour !
Montant une à une les marches du perron, Henry passa la porte principale gardée par deux hallebardiers.
[Dans la cour du Château de Rennes]
Une odeur de fête embaumait le château ...
oui cette parfum de fleurs fraichement coupée, cette fragrance de cire de bougie,
cette senteur de bois qui brule dans l'âtre des cheminée et cette odeur de mets tous plus exquis les uns que les autres ....
Le pieds quoi !
A cela s'ajouta les bougies qui brillaient de mille feux, et se son qu'Henry entendait au loin ... enfin cela semblait provenir de la pièce d'à coté.
S'approchant de la salle, un puissant colosse l'arrêta ...
- Votre nom ?
Oula il a pas l'air très sympa ce lascar ...
Je suis Henry de Silly.
Pourquoi donc cette question ?
C'est une problème de Stationnement ??
Ma voiture est-elle en infraction ?
vous savez on fait ce qu'on peut mais il faut dire que le personnel ce n'est plus ce que c'était ...
Hier encore je disais à Emeric que ...
Je n'eus le temps de finir ma phrase que :
Vlamm !!!
La porte s'ouvrit toute grande et le vieux qui m'avait questionné sur mon nom vociféra d'une voix tonitruante (dans mes oreilles évidemment, sinon ou serait le charme, je vous le demande ?)
Monsieur Henri de Silli !!
Tiens, merci Jean-Pierre !!!
J'avais presque oublié mon nom tiens ...
maintenant au moins je suis certain qu'il restera encré dans ma cervelle pour longtemps ...
D'ailleurs je te signale que je t'avais dit HENRY de SILLY c'est pas compliqué pardi !
Y et Y, deux Y et pas trois i !!!!
pffffff vraiment !!!
Faisant fi de cette expérience assourdissante, Henry fit bonne figure.
Il entra dans la salle des fêtes, sourire aux lèvres, la tête bien droite.
S'approchant de la dame de Ploërmel, Maewenn de Brignac,
Henry s'inclina le plus élégamment du monde et lui fit un baise-main tout ce qu'il y a de plus protocolaire.
Princesse, vous êtes absolument ravissante, un véritable rayon de soleil !
Je vous remercie pour cette idée de fête absolument merveilleuse.
J'espère que cette soirée sera tout à votre image, jeune, envoutante, charmante et inoubliable ... - Taizo a écrit:
- [ This is the end...* ]
" ... La fin de deux mois au Conseil Ducal !
Deux mois, c'est petit par le nombre, deux... C'est petit non ? Deux.
Mais en durée... Ça fait beaucoup ! Car même si deux c'est petit, y'a mois, et mois c'est long, parce que mois c'est beaucoup de jours, trente jours, et trente jours c'est plus que deux !
Puis y'a les heurs, et la houla ! Autant j'ai assez de doigts pour compter jours, mais heures... Y'en a trois ! Euh trop.
Y'a pas trois heures, d'ailleurs je sais pas combien y'en a, mais y'en a plus que de mois, enfin me semble. Dites si je me trompe...
En bref.
Y'a de quoi rendre dingue hein ?! "
Hep toi interpellant un type qui passe, on quitte le château on rentre dans le Trégor, tu me prépares mes affaires et tu me laisse une tenue sur le lit, y'a le bal !
Un regard vers le type qui semble ennuyé
Prévot, je voudrais bien, mais la Régente m'attend, je dois lui apporter des affaires...
Un regard plus sévère.
Hop, t'en a pour quelques secondes...
" Même si secondes c'est pas beaucoup, y'en a beaucoup dans minutes et heures, mais chut, c'est un laquais, il comprendrait pas que je l'arnaque... "
Et ça fonctionne, le laquais arnaqué va ranger les affaires du Prévôt...
[ Deux heures plus tard ]
Le laquais vient de partir, laissant la tenue sur le lit, Taizo se change alors en vitesse et se rend en direction de la salle de bal...
* Pour n'am ! - Meiline a écrit:
- [4ème rue du Port, Tréguier]
Tenue militaire? Hum non, Tenue rouge limite gitane? Hum non, Tenue rose pâle? Hum non trop voyant, Tenue rougeâtre blanche? Hum non trop... et puis...
Vivement que je me trouve un tendre riche ! Ah oui un tendre riche, je pourrais m'acheter toutes les toilettes dont je rêve, je serais mini princesse ! L'heure tournait et je ne savais pas encore quoi mettre *long soupire*.
Pour une fois qu'une personne organisait un bal de fin de mandat ducal.
Il serait bien que l'ancien conseil et le nouveau ainsi que tous ceux qui votes y viennent.. et un honneur pour la damoiselle qui organise.. qui se donne du mal ça ne serait pas une mauvaise affaire !
Je me décidais enfin pour une tenue sobre, discrète et passe partout, robe légère pas trop courte de couleur ivoire avec un foulard de couleur prune. Mes cheveux noir ébène retombant sur mes épaules.
J'étais enfin prête !
[Au bal]
Un pas devant l'autre, pas à reculons mais presque, se rendre à un bal en célibataire et sans compagnon n'était pas la meilleure des choses, un bal dit danse, danse dit deux, dis couple et là... No stress ! Ma soirée dans ma tête était bien calculée, un verre en main quelques regards et sourires ici et là et je ferais comme d'habitude une petite table dans un petit coin, un pied qui battra au rythme de la musique sous la table. - Frimae a écrit:
- [Sur le chemin Milousien]
C'est en sifflotant un air de satisfaction du devoir accompli que le frim se rendis au bal ...
Il avait promis à Mae de pointer sa frimousse , arfffff que faut il pas faire pour faire plaisir aux dames , enfin surtout à celle ci ...
Un bal tssss non d'un mini fût de chouchen on aura tout vu un , le frim au bal c'est comme ci on emmenaient un pachyderme chez un apothicaire ,tention les yeux ...
[ La salle]
arrivé quasi dans la salle , stopa net , envie de faire demi tour , non faut y aller , tu lui a promis et quand tu promet tu tiens toujours paroles c'est pô maintenant qu'il faut tourner les talons , aller aller zou ...
Courage à deux mains ,zieute la salle , cherche le coin des ringards de suite , bah vi le coin de ceux qui danses jamais , repérage des fûts , impec c'est par la que çà ce passe ...
Pô grand monde d'arrivé à part un pouète , le prévost et une co-listière , bref la tournée va ètre vite fait ... et c'est tant mieux !
Demat d'an holl !!
Saluant de la tète les quelques présents , fila dar-dar au près de Mae , manque de bousculer le pouète , puis attrape la main de Mae et lui la bise ...
Demat toi ! te v'la prète ?
Permet moi de te dire que tu est très en beauté ce soir ma chère ^^
l'honnore d'un bon vieux clin d'oeil à la frim .... - Doran a écrit:
- Doran entra dans la salle, que de beau monde... ou était-elle ? Doran alla prendre un verre, il traversa la salle et la trouva de l'autre coté, il s'approcha d'elle par derrière et déposa un doux baiser dans son cou.
Me voici chuchota-il aux oreilles de Meiline. - Maewenn a écrit:
- La salle se remplissait peu à peu, la demoiselle observait les arrivants, sans vraiment les voir saluant d'un signe de tete par politesse. Puis l'annonce d'une personne connue et appréciée. Sourire aux lèvres, elle le voit s'approcher clodiquant. Elle s'incline légèrement relevant les pans de sa robe.
Messire de Silly. Ravie de vous voir parmi nous.
Puis Maewenn se met à rougir à la suite de ses propos alors qu'une autre tete connue s'approche d'eux. Le rouge de ses joues disparait quelques instants alors que Frimae lui bise la main.
Aurais tu appris les bonnes manières toi maintenant ?
Elle sourit malicieusement en le regardant puis incline légèrement la tete en guise de salut.
Bonsoir Seigneur de La Turballe. Très honorée de votre présence.
Et vala, qu'il se met aussi a la complimenter. Tss c'est sa soirée ou quoi ? Ils veulent qu'elle finisse écarlate ou po ? Garde contenance Mae, calmeuuuuuuuu. Elle se tourne vers Henry pour faire les présentations.
Henry, je vous présente le Seigneur de la Turballe, Frimae d'Olen, un très bon ami à moi et un proche de marraine et tonton c'est dire toute sa valeur.
Elle se retient de rire persuadée qu'il aimera tout particulièrement cette présentation. Puis elle regarde Frimae.
Mon Vieil, très vieil ami. (nan nan veux pas mourirrrrrrrrr, j'suis cro jeune). Je te présente Henry de Silly, un ami Saint Politain qui depuis que je l'ai rencontré s'investit enormément à mes cotés. Très prometteur, j'te le dis moi. - Arya a écrit:
- Arya qui venait de rentré depuis peu, jetait un coup d œil sans trop d intérêt sur le courrier qu elle avait reçut en son absence, jusqu à se que son attention soit attiré par une écriture qu elle reconnaitrait entre mille celle de Mae, ravie d avoir de ses nouvelles sans ménagement elle ouvrit la missive et quel ne fut pas sa surprise d être convier à un bal.
La brunette fronça cependant un moment le front un bal, mais depuis qu elle avait quitté Dijon elle n avait plus revêtue la moindre robe, en sachant qu elle éprouvait quelques difficulté à se tenir sur ses pieds lorsque venait s entravé des jupons sans parlé de la difficulté de se mouvoir avec une certaine grâce, bref rien de plus terrible que cette menace pour une gaffeuse en puissance comme elle .
Après une recherche dans le fond de ses mâles elle fini par mettre la main sur une robe digne de se nom sans trop de prétention simple sans l être trop, d une couleur bordeaux et crème, après une préparation dans les règles de l art, elle enfila la dite robe prenant soin de ne pas ravagé sa coiffure dont elle était arrivé pour une fois à apprivoisé ses mèches rebelles.
Et sans plus attendre, n étant pas en avance elle partit pour le bal, un chemin sans encombre elle arriva donc devant le château ducal n étant pas trop pour les présentations en grande forme , elle se fit toute petite et passa le crieur discrètement et se mêlant à la foule naissante , direction de la table ou il y a de quoi se désaltéré quelques peut tout en observant mine de rien si elle ne voit pas un visage ou l autre qui lui serait familier .
- Meiline a écrit:
- Surprise, perdue dans mes pensées, un sourire se dessina sur mon minois en entendant le son de sa voix.
- Doran, je suis contente de te voir, installe toi je te prie
Je me levais pour lui déposer un baiser sur sa joue et me réinstallais
- Comment vas tu? Tu as trouvé le chemin sans mal !
Je lui fis un sourire le voyant s'installer - Leyah a écrit:
- [ Kékpart du coté de Batz ]
Et bilan et re bilans et comptes et re comptes tout était enfin prêt.
La rouquine s'extirpa de son bureau et passa dans sa chambre.
La tenue déposée sur le lit , la fit grimacer, sacré Cyprien, jamais il n'oubliait ce genre de .. détail.
Non qu'elle n'ait pas un peu envie d'amusement, mais la rouquine était bien épuisée, et avait pour l'heure une sacré envie de détente et de dormir.
Ces derniers jours avaient été plus qu'éprouvant, même si sous sa frimousse elle avait tenté de démontrer le contraire.
L'énervement, l'angoisse, la fatigue, le manque de sommeil surtout, et ce poids qui finirait a l'envoyer valdinguer en avant, avaient eu raison de sa volonté de sortir un peu.
Quelques missives a envoyer fournies a ce brave Cyprien plus tard, la rouquine se débarbouilla, lorgnant son reflet dans une grimace.
Foutre dieu, faisait pas beau à voir
Pâle a faire fuir un cadavre, les traits extrêmement tirés , cernes noirs entourant des pupilles légèrement dilatée .. pfiou quel spectacle ..
Ils l'auraient usée jusque la corde pour peu ..
Tenue enfilée non sans difficultés de mouvements, la rouquine sortit enfin de sa chambre, fin prête mais sans vraiment l'envie .
Ah si si .. une envie , son lit ! Une bonne nuit de sommeil et pour une fois éviter les cauchemars.
Détour par le salon, chopper son époux par le bras, lui faucher sa bouteille aussi , tss celui la , toujours a cuver quand fallait pas , et direction la salle prévue pour fêter cette fin de mandat d'une autre manière que par une simple publication de bilan.
Ca c'était le programme dans la tête de la rouquine .
Mais le détour ne fut pas ce a quoi elle s'attendait..
Mains posées sur les hanches sans avoir la moindre envie de faire un autre pas de coté , la rouquine fit vibrer ses cordes vocales d'un son des plus mélodieux
GILDWEN DE BROCELIANDE !!!!! - Taizo a écrit:
- [ Salle du bal ]
Mal a l'aise, voila ce qui décrit Taizo en cet instant.
L'arrivé dans la salle se fait discrètement, pas qu'ils ne connaissait pas les gens du Conseil, il a bossé avec pendant deux mois, et même avant pour certain.
Mais quand même, mal a l'aise...
"J'espère juste que Pelotine viendra... Me sent seul la... N'empêche, c'est bien décoré ici !"
Taizo regarde a droite, a gauche, des gens discute... Taizo lui, se dirige vite vers l'endroit ou y'a a boire... - Joachim.du.bellay a écrit:
- [Après un p'tit détour sur une taverne de l'île de Batz]
Se balader à poil chez lui ?
Non, ce n'était vraiment pas son genre, non. Enfin vous me direz après avoir descendu trois belles bouteilles de prune entre comparses insulaires, se balader à poil chez soi comme à l'extérieur devient le genre de n'importe qui...
Or donc, notre cher baron qui depuis assez longtemps ambitionnait d'être Duc était là, dans son salon.
Cul à l'air et vît dressé, le tout avec une bonne bouteille de prune à moitié vide dans les mains.
Étrangement, cette île avait toujours eu suscité chez lui cette envie de se ... mmhh ... foutre à poil. Mais plus que cela, ce n'était pas que du naturisme mais plutôt un désir plus que sexuel que de se mettre à nu pour son île, d'entrer en communion avec elle. C'est étrange non ?
Car après tout, nous connaissons tous les pédophiles, les nécrophilies, les zoophiles, les scatophiles ... hé bien Joachim était surement gayophiles!
Le sexe donc à l'air et vigoureusement dressé alors qu'il portait à sa bouche le goulot de sa bouteille, se croyant seul dans ce château alors que tous semblaient être parti pour cette soirée mondaine que donnait Mae ...
Soudain ?! Une idée !
Un jeune manant francoys qu'il connaissait de son enfance lui avait un jour appris qu'avec un membre bien dressé et des bouliches maléables, il était possible de se faire un banjo (sorte d'instrument ressemblant à une viole pour ceux qui ne connaissent pas). Ni une ni deux, le voilà qui s'empare de ses bourses pour ...
GILDWEN DE BROCELIANDE !!!!!
Arrêt sur image. Il relève la tête. Leyah un peu choqué ... non par la taille imposante du vît (elle a finit par être habitué (Hé quoi ! C'est moi qui raconte l'histoire d'abord)) mais plus par la posture. Une main qui tenait cette bouteille de prune, l'autre qui maintenait les bourses de telles façons qu'avec le manche en question elles ne dessinent à la perfection un banjo.
Il la regarde un instant, les yeux dans le vague puis ajoute sans vraiment se rendre compte de ce qu'il dit :
Ça te fait penser à quoi ?
[merci ljd taizo!] - Leyah a écrit:
- [ Batz'man forever ]
La rousse leva les yeux au plafond, bon sang , il devenait de pire en pire
A quoi ca me fait penser ? Mhhh laisse moi réfléchir ...
Moue sadique sur la bouille de la rousse purement furibonde, l'habitude de le voir se balader en tenue plus que légère, mais elle n'avait aucune envie de se faire remarquer en arrivant en retard.
A un couteau que je vais prendre dans la cuisine afin que tu évites d'afficher tes attributs a tout bout de champ .. nan ? pas une bonne idée ca ?
Mains en forme de ciseaux, la rousse mima le geste, assorti d'un " couic" sifflé entre ses dents.
Elle se mit ensuite a le lorgner en coin, y'avait pas a dire, l'était sexy quand même, pas pour rien qu'elle en était tombée raide dingue.
Leyah secoua la tête, pfuiou pas penser à ça maintenant, puis toute façon, il ne le mérite pas.
Elle tourna alors les talons et prit la direction de la cuisine , l'air de rien .
Depêches toi au lieu de jouer à .. heu .. j'sais pas trop quoi .. on va etre en retard.
Demi tour de talons, la rouquine le toise alors
Oh et puis non, reste comme ca, amuses toi a .. je sais pas quoi .. j'retourne me vautrer dans mon lit
Et hop demi tour droite, la rouquine passablement claquée remonta les marches .
Elle enverrait Cyprien porter ce qu'il fallait a mae, ca serait très bien comme ca . - Vossler a écrit:
- [Rennes, dans les ruelles.]
Pour sûr c' est ici qu' on pouvait le trouver, là où il estimait "partir à l' aventure" : les ruelles ... Pas très aventuresque en effet, mais comme à son habitude, c' est à flâner qu' il passait le plus clair de son temps, enfin son temps libre.
Mais qui dit aventure, dit découverte, et, explorateur à ses heures perdues, le voilà qui était comblé. Un petit moment à se balader à droite à gauche, une après-midi de perdue ...
[Retour à l' hôtel.]
Tout sourire, quelques rasades de chouchen dans le nez et l' esprit serein, c' est ainsi qu' il aimait vivre, à son aise.
Entré dans sa chambre, c' est son costume qu' il trouvait fin prêt, parfait !
Ah oui, car lui aussi avait entendu parler d' un bal et comptait pas se faire une soirée en solitaire, ah non pas ça ...
Bref, on va passer les détails de la préparation, y' allait en avoir pour des plombes si non. Qui a dit coquet ... ?
A peine avait-il finit de se préparer qu' il se voyait déjà en pleine rue, s' égosillant à appeler un chauffeur afin de le conduire au lieu du rendez-vous.
[Au lieu où se tient ce fameux bal, dans les couloirs ...]
Et c' est ainsi que le jeune homme était enfin arrivé à bon port, lançant un regard méfiant mais fort persuasif à un des portiers, qui se résolut soudainement comme par hasard à lui autoriser accès.
Voss passait le seuil de la porte et pénétrait dans la salle, salle qui lui fit briller les yeux à la vue de cette dernière.
Quelques pas effectués, il se dirigeait, une main dans une poche, l' autre avec laquelle il se grattait le bout du menton, vers la table qui accueillerait le banquet ...
Faisant signe à un garçon de lui servir un apéritif, il observait les convives déjà présentes, des têtes déjà bien connues, d' autres moins ...
Cependant c' est sur la brunette, l' organisatrice, celle qui mit en place ces festivités que son regard s' arrêta un instant.
Léger levé de verre en sa direction, accompagné d' un sourire plein de malice, sourire qui voulait lui exprimer son respect et son admiration ...
Discret, c' est ainsi qu' il se ferait, en début de soirée du moins, certainement était-elle plus occupée à accueillir les invités et à veiller au bon déroulement de la soirée.
Sans doute irait-il la complimenter et lui dire ô combien sa robe lui allait à ravir dans un petit moment .. - Pelotine. a écrit:
- Pelotine avait fait un énorme effort ... elle allait au bal , pour faire plaisir a Taizo.
C'était une corvée pour elle , sa silhouette trop fine et sans aucunes formes ne pouvait que rarement être mise en valeur , et ce n'était surement pas ici , au milieu de femmes plus belles les unes que les autres qu'elle serait a son avantage.
Une robe , oui tiens une robe , elle en avait mise une , sombre , les épaules en dentelles , le reste fluide , cachant ainsi son ventre trop plat pour la faire paraitre en bonne santé.
Ses cheveux étaient relâchés , ce qui était rare chez la mini Tatoo , sa frange trop longue lui retombé mollement sur le nez.
Ses petites mirettes cherchent du regard son époux , qui se trouve au beau milieu de la salle , perdu comme un petit garçonnet cherchant sa mère désespérément.
Elle l'interpelle.
[ Merci Nam pour cet petit clin d'oeil , même si ma préférée est celle qu'a mise LJD joachim ^^ ] | |
| | | | Missanges
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Date d'inscription : 19/06/2009
| | Sujet: Re: Cendrillon pour ses 20 ans ( 09 Juin 1458 ) (Gargote) 23/7/2010, 13:08 | |
| - Frimae a écrit:
- Aurais tu appris les bonnes manières toi maintenant ?
Bah qu'est ce que tu crois je sais me tenir un brin quand même nanmého !
j'cause peut ètre pô comme tous ces poètes qui trainailles dans le coin mais je sais me tenir !!
Mon Vieil, très vieil ami. (nan nan veux pas mourirrrrrrrrr, j'suis cro jeune). Je te présente Henry de Silly, un ami Saint Politain qui depuis que je l'ai rencontré s'investit enormément à mes cotés. Très prometteur, j'te le dis moi.
bah tien en v'la un pouète , Mae les présentes , mais ils ses connaisses déjà , ils sont sur la même liste , mais comme on a que des stars chez nous surtout nos deux premiers de la liste ben on nous à pô vu ...niarkkkkkkk !
zieute le henry , grande envie de lui coller une baffe dans le dos , et lui demander comment il va , mais tu risquerais de lui décoller un poumon au pouète , va pas te faire remarqué pour le moment ... tien toi bien ^^
Noz vat messire de Silly !belle soirée n'est il pas ?
zieute la demi portion avec un regard qui en dit long ...
Ah et pis si tu crois que j'ai oublié le coup du vieil voir même du très vieil ami ma cocotte tu te fourre le doigt dans l'oeil , tu ne perd rien pour attendre çà va se payer cher même très cher na !
la soif se faisais sentir , il etait grand temps de passer aux choses sérieux , boire une choppine , car du bla bla c'est bien mais en abuser çà craint !
attrape un godet , lève son verre , regard dans le vide : A la tienne Milouse ou que tu puisse être que le trait haut veille sur toi !
goba son verre cul sec et le reposa bruyamment sur la tablé ! - Doran a écrit:
- Doran sourit et s'installa a ses cotés.
Je vais très bien, merci et toi ? - Meiline a écrit:
- - Je vais bien puisque tu es là je me sens légèrement moins seule.
Je finissais mon verre tranquillement, la porte d'entrée s'ouvrait et se fermait assez souvent, j'étais contente que le CD et des Bretons avaient fait le déplacement.
- J'espère, j'ose même espérer que tu m'accorderas quelques danses?
J'attendais qu'un ou deux couples se décidaient à se lancer sur la piste afin de tirer sur le bras de Doran et l'entrainer sur la piste de danse, Doran l'adorable qui avait accepté d'être mon cavalier ouf !
Je le regardais, du pied à la tête l'air de rien, en coin,en plus d'être adorable poli et serviable.. Diantre qu'il était beau..long soupire. - Evenice06 a écrit:
- { Guérande }
Elle regarde d’un air attentif sa garde robe.
La bleue, parce que c’est sa couleur ? la rouge pour faire ressortir ses cheveux blonds ? la verte ? non, elle lui donne l’air malade ! la jaune, non plus, ça fait trop fade ! la blanche, ah non, ça fait mariage ! la rose ? bof ! un peu gnan gnan jeune fille gauche et à la recherche du Prince Charmant et elle, son Prince Charmant elle l’a trouvé depuis longtemps !
Elle en est là de ses réflexions lorsqu’elle pense tout haut
- Avant de choisir une robe, je ferais mieux de demander à mon tout doux s’il veut y aller ! Je le connais il va encore me ressortir sa litanies de tout ce qu’il doit faire, qu’il ne peut pas remettre, qu’il est absolument obligé d’assumer ou gérer..
Allez, j’y vais..je vais affronter mon sauvage !
Elle éclate de rire à cette idée et elle se dirige vers le bureau de Pit.
Elle ouvre la porte sans hésitation et vient l’embrasser tendrement.
Coucou mon tit cœur !
Tu sais qu’il y a une urgence à laquelle nous nous devons absolument de songer?
Il est toujours heureux de la voir arriver et répond à son baiser sans hésitation, mais la regarde avec un air perplexe !
- Une urgence ? la Bretagne va être attaquée ? Rieux va subir une révolte ?
Frimae est devenu prêtre ? Einigriv envisage de faire une chataigneraie à Ferel ? Marcus a disparu à la recherche de peintures de notre époque ? Chanel est devenue Capitaine ?Ricou? il se marie? non, ne me dis pas que c’est Scronch ? elle part naviguer elle aussi ? remarque à force de nous faire de magnifiques voiles ? ou bien Perlin a perdu ses chausses ?
Dis ne me dis pas que tu es enceinte ? non pas que ça ne me ferait pas plaisir, mais à mon âge je serai complètement gâteux encore une fois devant un tout petit !
Elle le laisse extrapoler sur l’urgence signalée en souriant, voire en éclatant de rire à certaines évocations.
- Non, non, rien de tout ça mon tout doux, rien de tout ça..
Juste que Maewenn notre petiote organise un bal pour la fin du mandat ducal et ce serait bien d’y aller pour lui faire honneur et puis aussi pour le plaisir de la voir.
Et comme c’est en ce beau jour, c’est ça l’urgence !
Comme prévu il se renfrogne et devient bougon.
- Ah mais c’est que c’est pas possible, tu sais bien que j’attends des marchands ambulants aujourd’hui justement, notamment celui qui vient des pays lointains, tu sais bien, Voilauvent.
D’ailleurs même si ce n’était pas pour ce motif, ce serait impossible tout de même, le Père Enavantoute m’a prévenu que certains de nos moutons n’avaient pas d’appétit et il craint une maladie venue de très loin.
Et j’ai peur que les cochons ne subissent une contamination. Tu imagines la tête du cochonnier en chef, le Père Capausud si ça se produisait ?
Non non, je ne peux vraiment pas, je pense que tu le comprends, ma douce.
Elle tapote de sa main le coin du bureau et le laisse continuer.
– Je savais que tu me donnerais des tas de motifs pour ne pas y aller, j’avoue que cette fois tu as un peu modifié par rapport à d’habitude.
Sachant ton peu d’attirance pour tout ce qui est fêtes et cérémonies, ça ne m’étonne pas.
Bon eh bien tant pis, moi qui aurait tant aimé être à ton bras vêtue de ma nouvelle robe, on m’aurait appelée « La dame en rouge », c’est un bon titre ça pour un roman !
Alors que me proposes tu ? on écrit à Maewenn et on passe cette journée tous les deux ? je t’aiderai pour tout ce que tu dois faire.
Attends je l’écris tout de suite et je fais envoyer par Perlin.
- Citation :
- Ma Ninette,
Je sais que tu aurais aimé que nous venions à ce bal, mais tu connais ton oncle, un vrai sauvage ! alors nous sommes de tout cœur avec toi et souhaitons une réussite totale à cette dernière fête que tu organises.
Très affectueusement et à très vite en plus petit comité.
Ta marraine
Evenice
Elle lui lit le message, pas de réaction, alors elle demande à Perlin d’être le messager et vient s’asseoir sur les genoux de son époux.
- Je t’interdis de dire que tu es vieux, tu en remontrerais à bien des jeunes !
Et plus le temps passe et plus je me dis que pour rien au monde je ne te changerai contre un autre.
Baiser tendre et chuchotements à l’oreille l’un et l’autre.
-Tu es sûr que les moutons, les cochons, Enavantoute et Capausud vont pouvoir attendre maintenant, canaillou ? - Henry_de_silly a écrit:
- Noz vat messire de Silly !belle soirée n'est il pas ?
Assurément Messire de La Turballe, cette soirée s'annonce sous les meilleurs auspices !!!
Que diriez vous de venir vous rincer le gosier ?
J'offre la tournée ...
Arrivant au coin boisson, chacun se servit une choppe et en moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire, Frimae leva sa choppe en disant :
A la tienne Milouse ou que tu puisse être que le trait haut veille sur toi !
Henry sourit à la remarque de son co-listier mais ne releva pas.
Peu après Henry retrouva Arya, qu'il n'avait plus vue depuis fort longtemps, Meiline le sage de la citoyenneté qui s'était occupé de son dossier, ainsi que son ami Voss qui ne quittait jamais les bars ^^... - Marilou a écrit:
- [Devant une affiche]
Je lis et ça me lasse déjà dès la troisième ligne. Un bal... c'est d'un ringard quand même. Une chasse aux sangliers aurait été tellement plus attrayante. Mais un bal... c'est bon pour les froufrouteuses glouglouteuses et les minets minaudeurs.
Une chasse à l'homme aurait été tellement plus réjouissante. Mais un bal...
Sans compter qu'il faut mettre une robe et ressembler à une meringue un jour de noces.
Un bal... et pourquoi pas un pique nique avec une grande partie de colin maillard et l'élection de miss toilette d'argent tant qu'on y est ?
Un bal... POUAHHHHHHHhhh
Je fais demi-tour et continue ma route en chantonnant :"Bal en salle ducale, quelques vieux malades. Imbéciles et grabataires... qui gigotent leurs derrières" - Zigo35 a écrit:
- [Dans une taverne Rennaise]
En retard?
Oui oui oui monsieur en retard!
Et depuis quand je suis là moi?
Au moins tout ça messire!
Qui vous envoie?
Une dame messire
petite brune?
Oui messire
Il était beau le gaillard, cheveux en bataille, cernes monumentales, poignets complètement endoloris et la lettre type BZAHT tatouée sur sa tronche
Il passe une main dans sa poche, en sort une clé et la balance au laquais
Tiens va m'préparer un bain chaud
Tout de suite messire, vous avez besoin d'aide pour ranger vos affaires?
Non non ça va aller
Enfin! enfin il en avait trouvé un de pas trop mal, avant qu'il ne sorte il l'interpelle
Dis moi jeune homme comment t'appelles tu?
Gontrand messire
Bien Gontrand va vite me couler un bain
Il ramasse ses affaires à la hâte, enfin aussi vite qu'il peut, et son lit qui l'appelle à draps ouverts
10 bonnes minutes après, sa besace n'est plus qu'une poubelle dans laquelle s'entassent brouillons, papiers chiffonnés, encre et plumes.
Arrivé dans sa chambre, le jeune homme est là
Messire je me suis permis de sortir votre costume
Ah très bonne initiative jeune homme, et la demoiselle qui t'as envoyé elle est où?
Elle est déjà partit messire
Grand soupire, il devait vraiment être à la bourre si elle ne l'avait pas attendue, il s'enferme dans la salle de bains et se plonge dans le bain, profitant pour reposer ses yeux (non non il ne s'endort pas il les repose juste ses yeux!)
30 minutes plus tard, le voila près pas très frais mais dispo, il sort de sa chambre et aperçoit le jeune homme qui est là assit sur le palier de la réception
Tu travaille ici?
Oui messire
Ça te plais?
On fait avec messire
Je suis horriblement en retard, je veux te revoir ici à mon retour
Bien messire
Et il s'en va à la hâte
Messire...
oui?
J'ai pris la peine de sceller votre cheval il vous attend
vraiment?
Oui messire
Il décroche une petite bourse de sa ceinture et lui lance avant de sortir à la hâte, monte sur Tô qui est stationné là et se rue en direction du château.
Arrivé sur place, tout le monde semble affairé, il se glisse discrètement parmi la foule en espérant ne pas avoir été vu et cherche sa moitié du regard, il l'aperçoit près du buffet et se glisse derrière elle
Et bien j'ai failli être en retard - Chimera a écrit:
- [Le nez à trois centimètres de l'affiche]
Qu'y-a-t-il Nolwenn, pourquoi fais-tu cette tête? Tu donnes l'impression de vouloir voir à travers le mur.
Un bal madame. Au château.
Ah? En quel honneur,
la destitution de Milouse?
L'expression est retenue... Cette mesquinerie ne lui ressemble pas. Battez un pacifiste sans relâche, il finira par n'en plus pouvoir, et plein de lassitude et d'amertume, par riposter... S'accrocher à son pacifisme comme un naïf naufragé à son radeau...
Elle s'approche et jette un oeil par dessus l'épaule de la jeune femme.
Tu arrives à lire toi?
La port.... fortune retrouvée pou...par ce ... conseil ducal.
La baronne fait la moue. On s'auto-célèbre...?
Tu as réussi à lire ça? C'est petit, dis donc.
Cela fait dix minutes que je déchiffre.
C'est presque chantant comme annonce, tu ne trouves pas? Joliment tourné.
Hochement de tête en guise de réponse.
Bien... allons, donc. Le duché du vannetais se doit de saluer l'organisation de l'événement, et je doute malheureusement qu'il faille compter sur le dug ou ses barons pour ce genre de rassemblements. Cela me donnera l'occasion de voir la jeune Maewenn.
Sa Grâce est très occupée, ma dame.
Je sais oui...
Haussement d'épaules.
Je n'ai encore jamais vraiment porté la robe de mousseline qu'Attia m'a faite. Tu sais, celle qui rime avec crispinette.
La jeune suivante sourit.
[Quelques heures, une robe en mousseline claire et une crispinette plus tard:]
Ca trinque déjà gaiment...
Ca trinque à.....
Quel est déjà l'objet de la célébration?
Regard peiné autour d'elle. Personne... personne ne réagit...
Pourquoi? Pourquoi a-t-il fallu qu'elle passe là à ce moment là? C'est entendu... et malgré son désir de ne pas ruiner la soirée, elle ne peut s'empêcher...
Un verre en main, elle s'approche du seigneur de la Turballe.
J'aimerais moi aussi porter un toast si vous le permettez, Aotrou., avant de célébrer la fin de mandat qui je crois nous réunit ici.
Levant son verre dans la direction de Frimae.
A la bonne santé de la baronne Chikaka, je pense qu'elle en a besoin.
Comment la loyauté à un homme, si louable soit-elle, peut-elle conduire à faire preuve d'aussi peu de tact quand des vannetais se trouvaient dans l'assemblée? S'il est allé à bonne école, cela dit, il se soucie probablement aussi peu du tact que celui qu'il honore. Quelle greluche faut-il être pour y accorder encore de l'importance...
Elle n'en rajoute pas davantage, chacun est libre de célébrer ce qu'il souhaite. Ils sont quittes. Elle le laisse donc à sa soirée, préjugeant que la sienne risque d'être courte.
Trouver refuge, une âme amicale.... pitié... vite... - Anastriana a écrit:
- "La baronne de Malnoë n'a guère besoin qu'on lui porte des toasts, mais plutot qu'on retrouve celui qui a retourné la milice contre elle!"
Drapée dans une robe jolie mais quelconque, Ana s'avance, et vient embrasser son amie Chimera, répondant aux dernières paroles de celle-ci, sourire aux lèvres.
"Demat ma chère, je viens boire un verre, peut-être accorder une ou deux danses si mes vieilles jambes me le permettent encore, et puis je m'éclipserai, j'ai pas mal de choses à faire. Toutefois il m'était impossible de ne pas venir fêter le..."
Sort de l'ourlet de son manchon le parchemin qu'on lui a transmis.
"Heu... En fait je n'ai pas réussi à bien lire, mes yeux sont comme mes jambes, ils fatiguent. Vieillir c'est nul, j'en ai marre. Enfin peu importe je suis là!"
Attrape un verre de prune sur le plateau d'une servante qui passe et le lève vers Chim.
"L'on dit que le dernier conseil a un bilan économique resplendissant, buvons à cela tu veux!"
Et de trinquer, avant de regarder les présents, et de saluer de la tête, les personnes connnues. - Blanche_ a écrit:
- Elle est là.
Sombre, renfrognée... Enfin sous la couche de poudre. Au dessus elle pétille, elle brille toujours ; il n'a de cesse de lui dire que ceux qui ne le voient pas sont aveugle. Elle l'est elle même, trop occupée à fuir ce reflet qu'elle se met à détester peu à peu.
En langage médical, Blanche fait une dépression ; en langage local, Blanche fait sa chieuse. Délicate ironie qui, dans un sursaut d'auto-dérision, la fait elle même sourire et rire.
Elle est là, et elle regrette ! Poker face affichée en public, sourire ridicule et crispé. Ne pas la croiser, elle ou l'autre.
Quoiqu'elle a promis. Damned !
Aller, souris, Sweetie.
Elle s'avance discrètement, cherche une présence amie. Ou pas. - Arya a écrit:
- La brunette qui essayait de se faire le plus discrète possible et faisait bougrement attention dés qu elle devait s aventuré à faire un pas dans cette foule de plus en plus importante saluant avec grâce au passage les quelques personnes qu elle connaissaient ne les ayant plus vues depuis un petit moment et même étonné qu ils aient put la reconnaitre dans une tenue certes bien plus féminine mais qu elle n avait encore jamais porté ici , Messire Henry fut le premier à la remarqué , elle le gratifia d un large sourire .
Noz vat messire Henry comment allez vous ? Vous me semblez dans une forme éblouissante.
Tournant son regard dans la direction de celui d Henry et aperçu à l autre bout de la tablé Voss et pour ne pas changer il tenait déjà à la main de quoi bien commencé une soirée, elle ne put s empêché de sourire quelques peut amuser tout en levant elle-même son verre. Ne pouvant cependant s empêché de se tourmenter l esprit en se demandant si Gontrant ce pauvre laquais de l auberge qu elle avait chargé d allé retirer sa moitié de sa table de travail y était parvenu, elle ne cessait de se dire qu elle aurait bien fait d y allé elle-même si elle n’avait pas été aussi pressé par le temps.
Lorsqu une voix qu elle aurait reconnaitrait n importe où se fit entendre juste derrière elle , son sourire s élargit d avantage , la voici à présent rassuré sachant sa moitié être enfin à ses cotés
J ai bien faillit être en retard
Elle se tourna doucement craignant quelques peut le regard qu il aurait sur sa tenue bordeaux et crème gardant toute fois ce large sourire qui lui était entièrement réservé
Juste faillit … Je suis rassuré que Gontrant se soit montré à la hauteur de la tâche .
Fronçant légèrement le front elle lui murmura au creux de l oreille
Je te serais infiniment redevable si tu m offrais ton bras, je me sentirais nettement plus à l aise et moins enclin à prendre les mesures du sol.
Joignant le geste à la parole elle plaça sa main sur la sienne , laissant échappé un soupire de soulagement , elle se sentait enfin un peu plus en sécurité et surtout risquait beaucoup moins de gaffé comme a son habitude - Doran a écrit:
- Doran retint un rire, danser ? oulala mais pour ne rien montrer il but une gorgée d'un verre qu'on lui avait apporté et dit...
Mais...avec plaisir. Dans quelle aventure tu te retrouves, tu ne sais même pas danser, ça va être dur. - Chimera a écrit:
- Léger sourire alors quelle glisse une main affectueuse sur le bras de la rohannaise.
Je n'ai jamais couru après lui, je ne commencerai pas aujourd'hui Ana.
Et tu sais, pour ce parchemin, oui, Nolwen a mis un moment pour déchiffrer aussi. Joliment écrit cela dit. Un peu rapidement et pattes de mouches, mais joliment.
A vrai dire, je ne sais pas trop ce à quoi ce bal est destiné.
L'on dit oui. C'est probable, presque trop beau, mais c'est mon éternel scepticisme qui parle! Tu sais... J'ai toujours été obligée de prendre les déclarations des économistes pour argent comptant. J'observe, toujours curieuse, quand même, et je m'efforce d'éviter de juger le travail des autres en ce domaine. C'est déjà fait bien assez souvent, dans un sens comme dans l'autre.
Voilà néanmoins la preuve éclatante que lorsque les gens sont disposés à travailler ensemble, les choses avancent plus facilement. Dommage que le prix a payer pour s'en apercevoir soit si fort...
Espérons en tout cas que cela se confirmera avec le prochain mandat.
Portant son verre à la rencontre de celui d'Ana.
Aux réussites, a la collaboration, et au mandat à venir donc. Qu'il soit mené dans l'efficacité et le respect de chacun. Gageure...
Les vielles femmes, ça fait ça, ça se pose sur un banc, ça regarde les passants et ça commère. Elle n'est pas aussi âgée qu'Ana, mais l'accompagne dans la commère-attitude, à regarder les gens autour...
Banalités simples. Instant convivial.
Il y a de jeunes visages ce soir. C'est une bonne chose.
Oh, voilà Blanche, qui n'a jamais aussi bien porté son nom.
Gwen en surface.... ha Du à l'intérieur?
Un léger signe de la main. - Souzix_montfort_toxa a écrit:
- [Rohan sur les chemins..]
La jeune Souzix écouta avec lassitude les conseils de Souzon.
Damoiselle ce bal est important et votre présence y sera du plus bel effet puis surtout cela vous fera du bien.
Gros soupir de Souzix et haussement des épaules.
Non, je ne peux faire la fête alors que ma cousine souffre...Tu sais Souzon je m'inquiète beaucoup même si je le cache très bien à yeux de ma famille.
Elle s'est battue avec tant de courage pour la Bretagne pour Vannes ! Sa souffrance est palpable dans les cieux regarde ces nuances de gris qui voile le ciel c'est un signe du très haut que l'heure est au chagrin et non à la joie.
Alors demoiselle pourquoi ne pas lui écrire ? Pourquoi jouer l'indifférente et ne pas faire le premier pas ?
Car je suis une imbécile Souzon...je ne supporterais de ne pas recevoir de réponse, alors je préfère m'emmurer dans ce silence, même si on dira que je suis orgueilleuse.
Et pour mademoiselle de Brignac ? Elle se donne du mal pour ce bal, vous allez refuser d'y aller et de la voir ?
Je pense qu'elle fait que son travail ce n'est pas une fête personnelle...Oh Souzon que s'est dur de vivre dans ce monde...je ne sais quoi faire à chaque instant sans blesser quelqu'un.
L’orage éclata pour le bonheur de la jeune Montfort Toxandrie qui cacha ses larmes dans les gouttes de pluie. - margot_wolback a écrit:
- [Vannes]
Nann, j'veux pas y aller!!
M'en fiche de savoir que Blanche y sera, que je dois faire bonne impression!
J'ai pas envie!!!
Patience qui s'escrime à lui enfiler une belle robe, malgré les grommellements. Madame l'a dit, donc on écoute Madame! Pfff, même loin, elle arrive encore à décider de la vie de tous!!
Motivation: zéro!!
Personnes connues: zéro!!
Envie de faire la belle: -5!!
Se faire pincer les joues pour les aviver un peu! Se faire tirer les cheveux pour les coiffer savamment.
Ou comment faire fonctionner un corps sans âme.
[Arrivée au bal, c'est par où la sortie?]
Le valet n'a accepté de la laisser seule qu'à partir du moment où elle était devant la porte. Menacé par la gouvernante de passer une semaine au pain sec et à l'eau s'il n'accomplissait pas sa mission!
On respire un grand coup, on le fusille du regard, et on passe la porte.
Sourire plaqué sur le visage, heureusement que la robe est couleur bordeaux, ça tranche un peu sur la pâleur du teint!
Du monde est déjà là, chercher désespérément un visage connu, une silhouette familière.
Margot salue tous ceux qu'elle croise, visage connu ou non. Certains qu'elle a parfois croisé, d'autres parfait inconnus.
Pelotine et Taizo, une petite révérence au prévôt qu'elle apprécie vraiment.
La carrure du Papy dans un coin, avec son visage satisfait, nul doute qu'il a encore joué la provocation! Un jeu entre eux deux... Il n'aura droit qu'à un clin d'œil pour l'instant, elle a d'autres personnes à saluer, et il est bien entouré.
La blonde s'approche de Chimera et Ana, les saluant avec un plaisir non feint.
Demat mesdames, moi qui était persuadée d'être perdue au milieu d'une foule.
Le visage qui observe les alentours. Une autre blondeur, aussi pâle qu'elle même, attire son regard. Une révérence à ses amies, puis elle se glisse parmi les convives.
Demat Demoiselle Blanche, je suis bien heureuse de vous voir ici même. Comment allez vous?
Elles se sont parfois croisées, et Margot n'aurait jamais espéré pouvoir côtoyer de si près une princesse. Elles ont en ce moment un élément flagrant de ressemblance, cette lueur éteinte dans les azurs, cette pâleur, ce manque d'envie. Deux solitudes peuvent-elles s'accrocher l'une à l'autre? Se soigner... | |
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| | Sujet: Re: Cendrillon pour ses 20 ans ( 09 Juin 1458 ) (Gargote) 23/7/2010, 13:14 | |
| - Meiline a écrit:
- De plus en plus de monde arrivaient, j'étais contente enfin un bal qui sera réussi. Je finissais mon verre et la voix de Doran me sortie de mes pensées
- Voyant ta tête, ça ne t'enchante pas avoue !
Je posais ma main sur la sienne pour le rassurer et la lui prendre afin de le trainer sur la piste de danse.
Je vais te faire aveux il y a longtemps un sire m'avait appris quelques pas de danse, lui comme ses pas j'ai oublié !
Je réprimais un rire, un rire nerveux et me levais
- Si monsieur Doran veut bien se donner la peine de m'accompagner faire quelques pas avant que le chant du coq nous informe qu'il est temps de nous coucher....pas ensemble hein !
Je riais, passant mes mains sur ma robe afin d'être présentable plus à la lumière que dans mon petit coin à la table. - Zigo35 a écrit:
- Léger sourire à l'entente de sa remarque et sent une main se glisser dans la sienne
Ne t'inquiète pas personne ne vas te manger, je sais bien qu'en France on peut entendre que les Bretons sont cannibales mais ce n'est pas vrai voyons!
Puis il relève la tête à la recherche de personnes connues - Anastriana a écrit:
- Ana et chim assises à côtés, qui s'émeuvent de voir la jeunesse faire ses premiers pas en société, avec plus ou moins de réussite... Une Blanche passe, et Ana, qui elle-même est connue pour son teint très pâle, devient comme le linge frais lavé du printemps.
"Ma Doué... Blanche..."
Un peu choquée de voir sa filleule ainsi, elle garde contenance. Retient un mouvement quasi-instinctif de presque mère qu'elle a toujours été pour elle, difficilement. Non Ana, reste à ta place, tu n'es plus rien pour elle...
La gorge de la brune se sert, et lorsque Margot vient la saluer chaleureusement, elle esquisse difficilement un sourire qui n'en est pas un.
Elle se lève, et salue chacun avant de trouver une excuse pour s'éclipser, prenant congé auprès de Chimera, de Margot, et tous les autres, et aller rapidement prendre l'air. L'apparition publique était faite. - Azilliz a écrit:
- -Chuculents ches petits fours !
Coupe de chouchen à la main, gourmandise dans la bouche et tenue enfin adaptée à son ventre décidément fort gros, Azilliz déambule dans la salle. Elle salut Meiline de la tête, adresse un "coucou" à Chimera et un autre au dos d'Ana qui sort, un signe de la tête à Zigo qui se trouve non loin de ses deux jeunes cousines : Margot et Blanche.
-Alors les filles...quelle est la nouvelle mode ? Si ce sont ces cornettes, je pars dans un couvent...!
Son doigt désignait la coiffe d'une dame qui lui donnait un faux air de tapisserie. - Pelotine. a écrit:
- Supplice , ça commençait vraiment a arriver au bal , quelle idée , elle savait bien qu'en venant ici elle aurait a voir tout ce monde.
Sourire de convenance , courbette lorsqu'il le fallait , la petite ne désirait qu'une seule chose , rentrer chez elle et faire un tour au cimetiere ... s'installer et peindre , tranquillement.
Taizo aime deja plus ce genre de sorties , elle était aussi la pour lui tenir compagnie , et également pour surveiller , la moindre donzelle qui s'approchait de trop.
Il fallait dire qu'il était fort bel homme , et vu le manque d'estime que Pelotine avait d'elle même il était normal qu'elle doute de l'amour de cet homme par moment.
Voila qu'elle passe son bras en dessous du sien , chasse gardée , elle cherchait des yeux une personne qu'elle connaissait , ou qui mieux , était seule et pouvait lui faire conversation. - Arya a écrit:
- Elle sourit tendrement sa moitié , qui semblait trouvé cela amusant
Ne t'inquiète pas personne ne vas te manger, je sais bien qu'en France on peut entendre que les Bretons sont cannibales mais ce n'est pas vrai voyons!
Elle ne put se retenir un léger pouffement de rire , pas le moindre doute la dessus il avait toujours sus trouvé les mots .
Je te rassure je crains moins me faire dévoré que la traitrise du sol et de la complicité de ses petits mocassins à talon et de ce jupon puissent faire .
Et oui rien de plus logique pour une gaffeuse expérimenté comme elle que de craindre une chute au milieu de tous.
Le regardant déjà à la recheche de monde qu il connaissait , nul doute qu il devait connaitre bien plus de monde qu elle en ces lieux .
Elle regardait autour d elle les visages ne connaissant jusqu a présent que très peu de monde . - Blanche_ a écrit:
- Anastriana ne parle pas fort, et c'est sans doute à peine perceptible pour ceux qui passent près d'elle sans prêter attention. Seuls des regards en coin, amusés ou rancuniers de ceux qui jalousent ou admirent la nouvelle Duchesse.
Pour Gwenn, c'est différent. Une envie d'aller la voir, de lui parler, de pleurer un peu aussi, puisque s'excuser et pleurer c'est presque pareil, mais surtout oublier. Car c'est cela qu'elle veut, la môme, oublier tout jusqu'à la naissance des rancœurs, les pas en arrière et tout ce temps, ce temps perdu qui détruit la mère et la fille.
Anastriana a parlé. Et figée, Blanche a entendu.
Ciel ! "Ma doué, Blanche..." Les paroles restent en suspens, quand la ducale nouveauté s'en va vers d'autres lieux. Statue bien pâle, la Walsh s'est tue, traits durs et sans émotions, tandis que les jambes vacillent doucement.
Dans son esprit embrumé, une évidence qui s'impose.
Je la dégoute.
Elle ne m'aime plus du tout, elle me déteste, elle me hait, elle ne supporte même plus de me voir, c'est une cata...
Demat Demoiselle Blanche, je suis bien heureuse de vous voir ici même. Comment allez vous ?
Je pense qu'il doit être peu après vêpres, je n'ai pas entendu sonner au clocher.
...Se soigner peut être, se guérir avec un peu de chance. L'une qui devient la bouée de l'autre. Après l'absence d'Azenora, Blanche a désespérément besoin de ce point fixe, ce radeau et ce soutien.
Mais pas d'humour, parce que ça... Elle le garde toujours.
Ma chère Azilliz, il y a un tout petit, infiniment petit détail qui ne passera pas, selon moi, inaperçu aux sœurs du couvent auquel tu te destines.
Navrée de détruire ta vocation.
Et elle tapote du bout des doigts ce ventre, cette source de vie, d'où éclora bientôt une petite merveille. - Doran a écrit:
- Doran rit.
Mais si, c'est un plaisir.
Il se leva, s'approcha d'elle, mais ne sachant que faire il fit mine de se recoiffer. - Maewenn a écrit:
- Les gens arrivaient petit à petit. La demoiselle tentait de rester calme, de faire fie des probables réflexions, des regards qu'elle fuyait depuis quelques temps déja… Elle observait ces messieurs trinquer et rire lorsqu’Eozen vint lui porter une missive. Sourire qui s’efface petit à petit. Ils ne viendront pas, pourtant elle l’avait espéré meme si cela ne la surprenait guère. Un ours ne quitte que très rarement sa taniène. Eozen lui amena de quoi répondre à sa marraine. Quelques mots glissés sur un parchemin et la missive prend la route de Guérande.
- Citation :
- Ma douce marraine.
J’avais espéré que vous seriez de la fête. Tu sais combien votre présence m’est agréable et apaisante. Même si je connais tonton, j’avais espéré qu’il honorerait la petite peste que je suis d’une danse. Il faudra donc que j’attende de me marier pour pouvoir le voir enfin dans le monde.
Je vous embrasse fort, je vous aime tendrement.
A très vite. N’hésitez pas à passer me voir à Ploermel si le cœur vous en dit.
Mae
Puis en se tournant vers les gens présents, elle annonce fièrement.
Que la fete commence. Amusez vous, buvez, festoyez, dansez. Que la Grandeur de Breizh rayonne en ces lieux.
Sourire enjoleur, la demoiselle indique la piste aux Bretons d'un geste de la main en espérant qu'ils se lancent. - Monsieurpatate a écrit:
- Petite voix numéro 1 :
-pfff, c'est chiant les bals ! Rien ne vaut un bon bistrot et quelques bouteilles pour passer une bonne soirée !
Petite voix numéro 2 :
-ben ça fera plaisir à Maewenn, faut y aller ...
N°1 :
-y a à peine de quoi picoler dans un bal, et pour bien danser faut avoir paumé une testicule.
N°2 :
-mmmmh ... oué, c'est clair ... HO ! De la picole !
N°1 :
-oué du cidre-jus de pomme ... et une bouteille de lambig aussi ! Mon ventre a soif, fais péter !
N°2 :
-oué le mien aussi !
iglou-iglou-iglou ... blurp intérieur.
Ho tiens, noz vat Maewenn ! Tu es resplendissante ! - Maewenn a écrit:
- Elle a à peine terminer son petit discours qu'un visage connu fait son apparition. Bouche ouverte devant la surprise que lui procure cette arrivée. Tss, jamais elle n'aurait cru qu'il viendrait. Les mondanités, la danse, ce genre de choses n'étaient pas franchement à son gout. Sourire affectueux sur son visage et elle rougit à ses mots. Rooooo, qui qui lui a jeté un sort ? En viendrait il à aimer les gniangniantises. La demoiselle entreprend une zoulie révérence.
Bonsoir toi. Merci du compliment.
Elle le regarde en souriant malicieusement.
Tu as enfin trouvé le chemin de la salle ? Tu t'améliores de jour en jour dis moi.
Nan nan meme po elle est taquine la demoiselle. Quoi qui vous fait penser ca ? - Henry_de_silly a écrit:
- Alors que la salle s'était bien remplie, Henry monta quelques marches afin d'être bien visible de tous ...
Damoiselles et Damoiseaux,
Gentes dames et Gentilshommes,
Je crois qu'il est tant de se mettre au boulot !!
Nous avons l'infime honneur d'être accueilli en ce lieu à l'invitation de notre très chère et très estimée dame de Ploërmel, que nous remercions de tout coeur.
Par ailleurs, sont présents à nos cotés, les meilleurs ménestrels de la région !
Louons notre seigneur de nous donner l'occasion de nous réjouir de ces festivités et de la prospérité retrouvée de notre Grand et noble Duché !
Alors, festoyons, ripaillons et dansons tous ensemble au son de ce saltarello !
- Monsieurpatate a écrit:
-
- Citation :
- Bonsoir toi. Merci du compliment.
Tu as enfin trouvé le chemin de la salle ? Tu t'améliores de jour en jour dis moi.
Révérence du chapeau en zig-zag.
Moui, j'ai titubé au bon endroit apparemment. J'regarde et j'reste picoler ... pis j'applaudirais le premier qui se viande, j'danserais seulement si on crame un rouquin. - Maewenn a écrit:
- Hum cramer un rouquin ... Si tu trouves le sujet parfait je te laisse carte blanche mon cher, les blondasses aussi j't'autorise. Parce que bon j'aimerais bien te voir danser. Ca doit etre un spectacle rafraichissant je pense.
Puis montrant Henry d'un geste de la main, reprenant quelque peu son sérieux.
Ecoutes donc au lieu de dire n'importe. Tss, les gens de maintenant sont vraiment pas sortables hein. Ou va le monde ...
Et elle observe la demoiselle, espérant que des gens se mettent à danser. Parce que bon faut avouer qu'un bal ou les gens ils dansent pas, ca craint un peu tout de meme. - Missanges a écrit:
- J’avais pris soin de revêtir une robe qui faisait ressortir l’éclat de mes grands yeux verts. Une ceinture soulignait ma taille de guêpe, oui je n’avais que la taille je crois n’avoir jamais eu le dard dont certaines personnes font si méchamment usage.
Tapotant ma coiffure contente d’avoir rafraîchie et redessinée ma frange. Redressant les épaules je poussai la porte de ce grand bal où tous les Bretons étaient invités.
Je souris, manifestement amusée par la bonne humeur de ma demi – sœur en voyant mon visage. Oui par notre mère la dame de Ploërmel était ma demi-sœur. Je m’avançai naturellement vers elle.
Bonjour Maewenn de Brignac, je tiens à vous féliciter pour ce bal.. Je ne pouvais pas rater le bal donné par ma demi - soeur chérie.
Humm !! Appétissant, vos petits gâteaux ils ont l’air plein de douceur, peut être est-ce cela qui manque à tant de personnes ! | |
| | | | Missanges
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| | Sujet: Re: Cendrillon pour ses 20 ans ( 09 Juin 1458 ) (Gargote) 23/7/2010, 13:18 | |
| - Maewenn a écrit:
- Oh une tache ... La demoiselle fixe le bas de sa robe, le secouant légèrement d'un mouvement de sa main. Ah nan, c'était juste un indésirable. Ils ont une facheuse tendance a toujours se fourrer la ou personne ne veut d'eux. Sourire sur son visage, insecte insignifiant écrasé par une zoulie bottine. Et hop, on relève la tête en souriant malicieusement. Encore une victoire de Mae. Gniark gniark.
Alors que Missanges lui adresse la parole, la demoiselle continue de sourire. C'est que la conversation de la Kerdren est d'un rafraichissant. C'est tout a fait ce qu'il manquait à ce bal. Tant de douceurs dans ce monde de brutes. Et elle écoute riant intérieurement son monologue si passionnant. Ah, ca y'est l'a fini. C'est à moiiiiiiiiiiiiii ? Vi. Bon alors, par quoi on commence ? Graoarrrrrrr. Ca c'est un éclaircissement de gorge. Si si j'vous jure.
B'jour. Quel immense bonh ...
La demoiselle s'arrete net, la dévisageant des pieds à la tête.
Bon sang ... C'est à se demander quelle éducation vous avez recue de celle qui vous a adoptée. A moins que ce soit dans le sang. Oui ca doit etre ca, je ne vois pas d'autre explication. Si ma pauvre mère vous voyait ... Lecon numéro 1, jamais au grand jamais on ne prend les tentures pour confectionner une robe ! L'effet est des plus regrettables.
Sourire tout quenotté. Bah voui, trop gentille la demoiselle, elle donne des conseils vestimentaires aux gens. C'est sympa hein ... Bref prochaine étape, les gateaux. Zieutage en coin, l'air étonné.
Hum, j'avoue que j'ai quelque peu du mal à cerner comment des gateaux peuvent être plein de douceur mais cela doit venir de mon éducation à coup sur. Voyez vous, j'ai plutot été élevée au chouchen et à la prunavampi qu'aux gateaux plein de douceur ... Vous savez moi les bisounours qui ne voient qu'amour et bonheur partout, ca me lasse à un point. Ils font de biens piètres Bretons.
Et v'la une demoiselle qui trempe doucement ses lèvres dans sa choppe, jetant des regards dans la salle voir si tout se déroule bien. - Missanges a écrit:
- Toujours en souriant, je cherche, je repasse en boucle dans ma tête mes paroles. Je lui ai dit bonjour, je l’ai complimenté pour ce bal… Je ne comprends pas pourquoi ce flot d’insultes Oui ! Tout de même reprocher à une personne sa tenue vestimentaire c’est de l’impolitesse.
Je pensai ce bal ouvert à tous mais accueilli de cette façon je comprends le peu de monde.
Chère Maewenn de Brignac ma robe est des plus tendance c’est un tisserand avant gardiste qui me la cousue dans une très belle soierie. Cela va faire fureur j’en suis certaine ceci dit c’est un peu insultant pour lui… Mon éducation … Heu ! Je ne vois pas en quoi mon éducation est à reprocher sur le fait que je vous félicite sur ce bal. Mais pour parfaire la votre prononçait bien leçon et non lecon cela risque de faire vulgaire dans votre si jolie bouche.
Et pour les mots amour et bonheur, ma foi il est vrai que je les préfère à haine et malheur.
Mais veuillez m’excuser, je sens ma présence avec vos paroles non désirée je pensais ce bal ouvert à tous et me faisais une joie d’y participer. Cela n’est pas grave j’en prends note toutefois.
Bonne continuation
Je sortis tranquillement remontant ma robe pour ne pas la salir. Tssssssss ! Tenture même pas reconnaître du beau tissu ! Ayant depuis longtemps dépassé l’âge de la petite enfance du travail m’attendait tant pis pour le bal.
- Azilliz a écrit:
- De l'oeil, Azilliz surveillait la conversation entre les deux soeurs. Elle se souvint de sa soeur, adoptée comme elle et des pénibles relations qu'elles avaient eues.
Voir les deux filles de Mirwen se mésentendre la rendit nostalgique.
C'est idiot n'est ce pas de se réconcilier sur un lit de mort et de s'aimer plus fort en quelques heures qu'en plusieurs années.
Elle n'intervint pas, Aristote déciderait si elles seraient proches un jour ou non.
La séance de représentation avait assez duré, après des envols de baisers à ses cousines et un signe de la tête à la Maitresse de maison, la Vicomtesse se retira. - Vossler a écrit:
- Les festivités étaient déjà bien entamées, de plus en plus de monde que le jeune homme connaissait plus ou moins bien faisaient leur apparition, de belles tenues d' apparat, tout paraissait parfait dans l' ensemble, les ménestrels jouaient, le chouchen était de qualité, mais il manquait bien un petit quelque chose de flagrant dans ce genre de réceptions pourtant.
Des danseurs ... Oui, danser, s' amuser, c' était bien ça l' idée d' un Bal, non ?
Jetant de légers regards à droite à gauche, Vossler abandonnait sa choppe pour s' avancer quelque peu dans la salle, plus précisément vers la demoiselle qui organisait l' évènement. A vrai dire, il lui devait une danse, et un Azelas ne remet jamais en doute sa parole. Il espérait aussi que cela allait motiver certains pour se lancer à leur tour et animer un peu plus ce dit Bal ...
Un léger signe de la tête à Missanges en guise de "Bonsoir", accompagné d' un sourire avant de se tourner vers Maewenn et de lui adresser la parole.
Noz vat Mae, c' est que cette robe te sied à ravir dis donc ! Une danse pour faire voir à tout le monde à quel point elle te va à merveille très chère ?
Il lui adressa un léger sourire taquin avant d' attendre une réponse. - Maewenn a écrit:
- Et hop encore un monologue. Décidément, elle avait bien fait de venir cette « chère » demi- sœur. La demoiselle se rendait compte en l’entendant qu’elle avait eu une chance extrême dans la vie, Aristote lui avait donné la faculté de réfléchir et de s’exprimer correctement ce qui a priori n’était pas donné à tout le monde. Sourire amusé sur sa bouille.
Et bien, nous verrons si cela deviendra la nouvelle mode bien que j’en doute grandement … Quant à mon éducation, outre le fait que vous ne devriez point négliger le nettoyage de vos esgourdes, cela vous évitera bien des désagréments tel que celui-ci, vous devriez également d’abord appliquer à vous-même vos conseils … Cela vous éviterait de paraitre quelque peu ridicule. Je ne vous ferais pas l’affront de vous expliquer pourquoi, je ne doute pas que vous ayez conscience de votre erreur.
Oh et puis si après tout, je suis dans un jour de grande bonté. On ne dit « Prononçait bien leçon » mais « prononcez ». Cela est nettement plus compréhensible. Vous savez "é" et non pas "ai". Sinon cela fait tout vilain.
La demoiselle rit aux derniers mots de la Kerdren.
Il faudrait apprendre que dans la vie tout n’est pas blanc ou noir. Le gris et le vert existe également et ils pimentent nettement plus la vie. Enfin ce n’est que mon avis personnel bien entendu. Quant à votre présence, elle n’est nullement non désirée. Mais honnêtement, à quoi vous attendiez vous à venir chercher conversation avec ma personne ? J’ai hérité du caractère de feu ma mère et ne parle que très rarement aux gens qui m’indiffèrent.
Et tel un cavalier qui surgit hors de la nuit, voila Voss qui vient la sauver de cette compagnie désespérante. Il ne pouvait pas mieux tomber. Sourire malicieux à son adresse.
Avec grand plaisir mon cher.
Elle lui tend la main tout en se retournant une dernière fois vers Missanges.
Je vous souhaite une merveilleuse fin de soirée ici ou ailleurs.
Sourire toujours affiché sur sa bouille, la demoiselle se retourne vers son cavalier de l’instant.
Allons y si tu veux. - David_le_charretier a écrit:
- Un enfant, jeune vagabond mal vêtu et noir de poussière arrive au abords de la ville. Une fête bat son plein. Il se met à l'écart et regarde avec envie les beaux plats défilants, sentant soit poulet,soit grillade de porc... Il entend quelqu'un parler de gâteaux. Son ventre se creuse davantage et il se risque.
De ses voyages des derniers jours, sa bosse le fait souffrir, le déformant davantage, son visage défiguré par les coups.
La faim le tenaille trop. Posant son bâton il rampe alors dans l'herbe prenant comme but une table écartée des autres, espérant trouver pitance, un os à ronger, un quignon que quelques dames auraient abandonnées.
Une dame de blanc vêtue arrive près de lui mais ne le remarque pas. Il cache son visage et attend.
Des larmes de peur coulent de ses yeux bruns, et il est prêt à se sauver. Se sauver? Comment le pourrait-il?
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 * - Maewenn a écrit:
- Alors que le couple avance vers le centre pour lancer les hostilités ... enfin non, la danse, une silhouette attire l'attention de la BAMie. Elle regarde aux alentours pour voir si l'enfant accompagne quelqu'un. Le voyant si mal vêtu, si sale, recroquevillé sur lui meme la demoiselle comprend rapidement qu'il doit s'agir d'un vagabond. Sourire à Voss dont elle lache la main lui murmurant doucement.
Ne bouges pas, je reviens.
Petits pas rapides vers l'enfant. La peste brune se penche vers lui et se fait douce.
Bonjour toi. Tu veux quelque chose ?
Si sa mère la voyait ... Tss, elle se ferait rabrouer y'a pas à dire. Mais la furie brune a parfois un coeur. Si si j'vous jure. - David_le_charretier a écrit:
- David le visage caché dans ses mains, tenant fermement sa capuche autour de sa tête n'ose pas regarder celle qui lui parle. Il remarque juste une robe noire et des armes. Faisant alors demi tour, rampant sur le sol, il lâche quelques mots.
Non douce dame,je... je cherchais un os que le chien ne voulait plus, mais je m'en vais votre seigneurie! Pardon de venir, pardon, ne me frappez pas.
L'enfant se hâte près de son bâton, il le pose au sol à la vertical et d'un effort soutenu il se relève, son capuchon cachant toujours son visage. Ses yeux se portent un instant sur la dame, il lui sourit. La nuit approchant il prend la direction de l'église où comme chaque nuit sur le parvis il se reposait.
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* - Maewenn a écrit:
- Non douce dame,je... je cherchais un os que le chien ne voulait plus, mais je m'en vais votre seigneurie! Pardon de venir, pardon, ne me frappez pas.
La demoiselle grimace à ses mots. Faut dire que la peste n'a jamais vraiment été confronté a la pauvreté. Les pauvres, les malades tout ca ... c'est pas qu'elle les évite mais bon, inconsciemment tout le monde l'en a préservé. Alors que l'enfant fuit, elle entrevoit un sourire sur son visage.
Attends. Ne pars pas sans prendre quelque chose à grignotter.
Mais il faut croire que ses mots sont vains ... - Blanche_ a écrit:
- Amusée par la joute verbale non loin d'elle, Blanche décida soudainement que le bal n'avait pas assez d'intérêt pour qu'elle s'y attarde plus. Elle bailla discrètement, plissa les yeux comme à chaque réunion lancinante, et reprit le fin de sa conversation.
A sa dame de compagnie, en guise de paraphe :
Ne vous formalisez pas, ma chère Margot. La plupart des nobles savent se tenir en société, seuls certains manquent de classe.
Dans un sourire, elle lui tapota la main. Il fallait qu'elle surmonte ça.
...Chez le psy ? Mais je suis prête à lui payer à vie ! On organisera une vente de gâteaux s'il le faut. - margot_wolback a écrit:
- Un petit sourire...
Une révérence à sa Blondeur.
Ana a filé, Azi et Blanche font de même.
Elle pourra donc s'esquiver elle aussi. Elle en a le tournis à regarder les autres bouger autour d'elle. Sortant de la salle, elle en profite pour respirer un peu d'air frais avant de s'engouffrer sous un porche à la recherche des écuries.
Rien de pire que de monter sur un cheval, ce stress là lui fait oublier tout le reste!! | |
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