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 Hommage au LTN Darkmodorisch (26 novembre 1457)

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Missanges

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Hommage au LTN Darkmodorisch (26 novembre 1457) Empty
MessageSujet: Hommage au LTN Darkmodorisch (26 novembre 1457)   Hommage au LTN Darkmodorisch (26 novembre 1457) Empty21/12/2009, 07:29

Leamas a écrit:
Quelques soldats de l'armée régulière s'activaient, depuis le matin, à préparer l'emplacement qui devrait, a priori, servir de place d'arme pour une cérémonie.
Parmi cette poignée d'homme, le jeune colonel de l'armée régulière, donnait ses directives en participant, lui même, à cette mise en place, au milieu des soldats.

Un grand rectangle fut dessiné sur le sol matérialisant, ainsi, une grande place d'arme.
Sur l'une des longueurs de ce rectangle, à l'extérieur, une tribune fut érigée.
Un mât prit place dans le milieu de la longueur côté tribune de cette place d'arme.
Aucun drapeau ne flottait.

Une fois la préparation terminée, Leamas prit le temps de partager un verre avec ses hommes puis les envoya se préparer, chose que lui même fit également.


Quelques instants plus tard ...


En plein milieu de la place, dos à la tribune, le jeune briochin observait les troupes qui arrivaient en ordre serré autour de la place.

Sur sa droite, à l'extérieur du rectangle, prenait place le District de l'Est composé des Loups de Felger, des Piliers de Roazhon et des Gouez de Rieux.
Les troupes étaient menées par le Colonel Alain.
Sur sa gauche arrivait le district du Centre composé des Piliers de Rohan, Dragons de Vannes et des Griffons de Saint Brieuc.
Ce district était mené par le Colonel Jepl.
Et enfin, face à lui, arrivait le District de l'Ouest composé des Lions du Léon, des Faucons de Tréguier et des Louarned de Brest.
Le colonel Elibas menait cette troupe.

Les Districts arrivaient au pas. D'une seule voix, chaque district faisait son entrée en chantant les airs de chaque garnison qui la composait.

Sur cette place, un seul homme, "l'armée régulière de Bretagne".


Une fois les troupes arrêtées à leurs emplacement respectifs, Leamas fit rapidement le tour des troupes vérifiant, avec le Colonel de District, l'alignement des hommes et les tenues.


Tout était prêt...


Un coup d'œil à la tribune derrière lui. Il aurait aimé voir quelques visages dans cette assemblée. Des visages de soldat et notamment d'un ami capitaine qu'il respectait ou encore quelques anciens compagnons ...
Il ne se faisait, malheureusement, que guère d'illusion...
Les soldats ayant aidé à la mise en place de la cérémonie était, apparemment, maintenant chargé de placer les personnels dans les tribunes.
D'autres s'occupaient de la "sécurité"...


Puis, il attendit...
Il attendit un signe.
Ils ne devraient plus tarder maintenant.

Dans le dos des troupes, derrière le District Ouest arrivait les deux hommes.


A ce moment, le Colonel se mit au garde à vous, salua les troupes et prit la parole d'une voix forte et claire ...



Armée Régulière à mon commandement,

Gardes à vous !



Puis le Colonel salua face à lui attendant les deux personnalités afin de présenter les troupes.

Il ne pensait plus se retrouver ici, à cette place...
Fier d'être face à ces hommes, fier de commander ceux qui, tous les jours, prennent part à la défense de la Bretagne.
Fier d'avoir été parmi eux, d'avoir "grandit" dans ces rangs.
Fier de les connaître et de les côtoyer régulièrement.


Le regard droit de devant, fixant les deux hommes. Il saluait, fier d'être ici.

Lanceor a écrit:
C'est au pas cadencé, à "l'espagnole", que le capitaine de l'Ost de Retz arriva sur son destrier. Le harnois noir dinstinctif des hommes de Retz le distinguait parmi les autres.
Dans ces moments là aussi Retz répondait présent...
Tout au long de la route, l'officier avait repensé à tous les moments passés avec son ancien compagnon d'armes dont il avait été le second, major puis lieutenant... Modo...Les lions, l'attaque des boucaniers sur la plage de St Pol, la guerre, les manoeuvres...
L'officier de Retz fit signe à un escuyer afin qu'il prenne soin de sa monture.
Cette silhouette au milieu de la place, il la connaissait. Il ajusta baudrier, bastarde et miséricorde puis s'avança vers la tribune pour y prendre place.
Signe de tête aux gens présents, à la manière des gens d'armes, regard fixé sur les troupes qui se mettaient en place...
A l'ordre du colonel Leamas, l'officier de Retz se mit au garde à vous, le respect prime chez ces gens là.
Roxane2 a écrit:
le lieutenant Roxane à la tête des Piliers de Rohan vint se placer sous les ordres du colonel Jepl à la gauche de la place . Elle vérifia discrètement sa tenue ainsi que celle de ses hommes . Les hommes de la garnison s'alignèrent derrière elle comme à la parade
Elle regarda le Colonel Leamas qui se mit au garde à vous et cria



Armée Régulière à mon commandement,

Gardes à vous !



A l'ordre du colonel Leamas, elle se mit au garde à vous .
Valencay a écrit:
Cela ne faisait que quelques jours que le jeune Lieutenant était sorti de sa retraite, et il essayait tant bien que mal de retrouver ses traces dans l'armée.
Il avait donc suivi ses supérieurs, légèrement en retrait derrière les autres Loups de Fougères.

Une pointe de tristesse et de nostalgie l'envahit au souvenir des autres cérémonies auxquelles il avait participé, mais surtout au souvenir de compagnons d'armes dont il ne reverrait jamais plus le visage. Parmi eux, bien qu'il ne l'ait jamais vraiment connu, se trouvait Darkmodorish.
Ses pensées l'emmenèrent naturellement vers un autre nom : Giwdull... Pourrait-il l'oublier un jour ? La réponse était non. Et sans y croire vraiment, il garderait toujours l'espoir qu'elle revienne...

Soudain, un visage le tira de ses pensées et ramena un léger sourire sur ses lèvres. Le Colonel Leamas avait fait son apparition. La fatigue se lisait sur ses traits, mais il avait l'air en pleine forme.

Valencay prit place et se mit au garde à vous, comme les autres. La cérémonie commençait...
Godefroidebouillon a écrit:
Godefroid suivait le Colonel Elibas, pour ce dernier hommage au lieutenant Modo.
A peine mis en place que le Colonel Leamas se mit au garde à vous et cria

Armée Régulière à mon commandement,

Gardes à vous !


Et la cour se mit au garde à vous.
Nagirrok a écrit:
En tête de la garnison des Griffons, le major, d'un pas cadencé et machinal vint se poster à l'endroit pré-défini pour les soldats de Saint-Brieuc.

Il faisait gris, il faisait froid, il faisait triste.

Vérifiant l'alignement de ses troupes, il guetta l'ordre de Leamas.

A son signal, les Griffons effectuèrent un impeccable garde-à-vous.
Modano a écrit:
Modano avait entendu parlé d'une cérémonie d'hommage, probablement pour un soldat. En arrivant sur place, il ne vit aucun représentant des dragons. Cependant il se demandait si la place qu'il venait prendre était la sienne, car seul des gradés étaient présents. Lili viendrait elle ?

Peu importe ce que l'on pourrait lui dire, il restait la, digne représentant de Vannes, pour rendre un hommage à une personne qu'il ne connaissait pas mais qui lui connaissait peut être certains militaires vannetais. Il se disait au fond de lui, si il les voyait de la où il se trouvait, qu'il serait peut être déçu que Vannes ne soit pas représenté pour lui rendre hommage.

Modano rejoignit son district, gardant une posture militaire de salut.
Peterpan31 a écrit:
L'homme à collants verts avait quitté pour un moment ses habits de Bailli de Bretagne pour revêtir ceux du régiment des Lions du Léon.

"Modo" avait été un compagnon d'arme loyal tout au long de ces années. Son corps comme le sien portait les stigmates des différentes guerres contre la France et ses alliés.

Oui, Darkmodorisch avait contribué comme de nombreux soldats de l'Armée Régulière à l'indépendance de la Bretagne. Il était juste de lui rendre hommage et, à travers cette cérémonie, de penser à tout celles et ceux qui avaient versé leur sang pour défendre la nation bretonne.
Secate a écrit:
Secate arriva, maintenant c'était elle qui dirigeait les Lions, elle avait été la seconde de Modo, maintenant c'est elle qui tenait le flambeau, et à chaque acte qu'elle faisait, elle espérait que son Lieutenant serait fier d'elle.
En se placant, elle se rememora "sa vie avec Modo", il l'avait acceuillit chez les Lions et dans la garde bretonne, il avait été son mentor....elle ne pourrait jamais l'oublier.

Le colonel Leamas ordonna le garde à vous, elle s'executa, essayant de ne pas montrer sa tristesse...
Mulot25 a écrit:
Mulot soldat de la garnison des lions se présenta et se placa avec les autres soldats de sa garnison.et se mit au garde a vous, il était la pour rendre un hommage au LTN Modo c'était bien dommage pour lui il est arriver trop tard il n'a pu le connaitre , mais il savait bien que c'était un grand homme qui a développer et servi l'armée bretonne au péril de sa vie
Trinir a écrit:
Le sergent Trinir était avec les troupes des Gouez de Rieux, calme et attentif, quand il entendit:

Armée Régulière à mon commandement,

Gardes à vous !

Alors Trinir se mit au garde à vous.
Alain1251 a écrit:
Le colonel Alain arriva juste ...
D'un coup d'oeil rapide , il verifie le bon ordre des Gouez et se place devant eux .
En entendant l'ordre , il se met au garde a vous !
Doran a écrit:
Doran arriva sur la place a la suite du Lieutenant Nagirrok.
A ce qu'il avait comprit, un Lieutenant de l'Armée de Bretagne avait rejoint le très haut.
Accompagnez nos frères jusqu'au bout...
Doran se mit au garde a vous.
Chankel a écrit:
Chankel était arrivé avec le Lieutenant Godefroid, s'était rangé avec les Faucons présent et mis au garde-à-vous au commandement du Colonel. Il n'avait pas connu le Lieutenant Modo, mais perdre un soldat était toujours un événement grave, et il tenait à s'y associer avec ses camarades de la Régulière
Albatrus a écrit:
Il n'était plus de la régulière,mais il y avait passé une grande partie de sa vie,il avait connu Modo lorsqu'il était Maréchal..
C'étai un fier soldat,courageux,sur qui on pouvait compter les yeux fermés.
La régulière perdait là un grand soldat.
Puisse Aristote lui accorder une place de choix à ses cotés..

Il regardait les gens arriver pour ce dernier hommage,cela faisait chaud au coeur.

Point de froufrou,point de richesse exterieure,juste des Bretons qui saluent une dernière fois l'un des leurs..avec leur coeur.

Du coeur,le Lieutenant Modo en avait fait preuve durant toute sa vie.

Paix à son ame...
Dameartemis a écrit:
Arté arriva avec les Lions au lieu de la cérémonie.
Elle avait le coeur lourd.
Pour l'ocassion, elle avait revetu son plus bel uniforme de cérémonie et se mis au garde à vous à l'ordre du colonel.

Dans une poche, proche de son coeur, elle gardait un parchemin portant la trace des mots qu'elle prononcerai plus tard, peut etre.

L'air était lourd de cette gravité propre à une heure semblable.
Chacun, attendait avec émotion le déroulement de la céremonie.
Bergamoth a écrit:
Bergamoth assistait à la cérémonie dans les rangs des Gouez.
Elle ne l'avait pas connu ce lieutenant, tout juste elle l'avait vu quand il avait quitté la régulière, mais depuis son nom avait résonné de ci de là.
L'armée c'était ça aussi, elle avait sa vie, ses hauts et ses bas, et ses souvenirs. Et les hommages à ceux qui l'avaient marquée.
Anguillerusee a écrit:
Peu amateur de la chose militaire, le cardinal avait toutefois tenu à assister à la cérémonie. Il avait toujours apprécié celui qui fut son paroissien dont l'engagement pour sa communauté fut sans failles.
Jepl a écrit:
Devant les hommes du District centre dont il assurait le commandement temporairement, Jepl contemplait la place où civils et militaires s'étaient donnés rendez-vous pour un dernier hommage au Lieutenant Modo. Bien que de nature discrète, il avait marqué beaucoup de personnes qui ne l'oublieraient pas et continueraient à penser à lui, particulièrement dans la Régulière dont il était l'un des plus anciens soldats.
Se refusant à penser nostalgiquement au passé et à ses débuts dans l'armée, le Colonel resta bien droit avec le regard fixe.
Venuse a écrit:
Venuse arriva discretement au pas de course. elle n'avait pas connu le lieutenant, mais elle avait tenu à venir...
un peu perdue, elle vit les soldats au garde à vous, apparament, elle avait raté une partie... un "garde à vous" avez du retentir, elle prefera faire de meme tout en restant treeeees discrete...
Tellan a écrit:
bien que saisi par l'atmosphère imprégnée de respect et de recueillement pour le défunt, Tellan , suivant en cela l'exemple de son lieutenant Roxane, se mit au garde à vous à l'ordre du Colonel Leamas, afin de rendre un dernier hommage à celui qui fut l'un de ses frères d'arme
Zabou a écrit:
Elle n'y avait sans doute pas sa place, mais elle se tenait non loin de là.
N'appartenant à aucune arme, aucun corps d'armée même quel qu'il soit, elle ne venait là que pour rendre un hommage à l'un de ses soldats de la grande armée bretonne, à l'une de ses discretes personnes qui avait voué sa vie pour des gens comme elle, veillant à sa sécurité, à celle de Breizh toute entière.

Elle se tint droite , en retrait, reconnaissant des amis parmis les présents. Peut être aurait-elle le loisir d'aller les saluer et de les remercier plus tard. Pour l'heure, le respect et le silence etaient de mise.
Kroizquin a écrit:
Kroizquin se mit au garde à vous lorsque le Colonel le lanca et se rememora le temps où il été jeune soldat et qu'il avait eu l'occasion de croiser ce Lieutenant sur les champs de bataille pour protéger Notre Bretagne.
Alors Kroizquin murmura

- Kenavo Lieutenant.
Precio a écrit:
La Consule vint se placer discrètement dans un coin afin d'assister à la cérémonie.
Precio connaissait le lieutenant et avait à de nombreuses reprises sur Saint-Pol eut l'occasion de partager quelques conversations avec l'homme qu'il était...C'était encore un grand homme qui partait...
Catuun a écrit:
Catuun se tenait parmi les Griffons de Saint-Brieuc.
Il se mit au garde à vous, le regard sévère.
Il tâchait d'oublier les problèmes actuels avec beaucoup de difficulté.
Euphrasia a écrit:
Euphrasia se tenait elle aussi parmi les griffons de Saint-Brieuc. Elle se mit au garde à vous, sous les ordres du Colonel. Elle ne connaissait pas ce lieutenant mais se tenait prête pour la Bretagne et son armée, à lui rendre hommage, comme tous les bretons militaires présents.
Luke5 a écrit:
luke était parmi les griffons ,sous les ordres du colonel ,il se mit au garde a vous
malheureusement il n'avait pas connus cet homme
Coldtracker a écrit:
Le Maréchal de l'Ost De Retz arriva quelques temps après son second et confia son destrier à un escuyer...

D'un chiquenaude, il ouvrit en pressant le bouton poussoir à dextre de son armet et releva sa visière, pour enfin enlever le casque en son entier qu'il cala d'un bras sous son aisselle d'extre.. ...

En harnois noir comme les hommes de son Ost, le colosse balafré se dirigea à grandes enjambées vers son second l'éepée bâstarde se balançant en son fourreau de gueule portée à l'horizontale sur la partie senestre de ses hanches...

Il porta une main gantelée sur l'épaule de son second et dit d'une voix d'où était absente toute étiquette:
-"Je ne le connaissais que peu mais votre chagrin est le mien....

C'est ainsi chez nous..."


Le colosse balafré n'en dit pas plus....

Il reconnut certains de la régulière qu'il avait commandé en temps de guerre....

La fraternité des hommes d'armes.....Ne se cantonnait pas aux étendards d'une armée régulière ou féale...

c'était inutile
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Missanges

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MessageSujet: Re: Hommage au LTN Darkmodorisch (26 novembre 1457)   Hommage au LTN Darkmodorisch (26 novembre 1457) Empty21/12/2009, 07:46

Squall91 a écrit:
Squall soldat de la garnison des lions se présenta et se placa avec les autres soldats de sa garnison.et se mit au garde a vous, il était la pour rendre un hommage au LTN Modo c'était bien dommage pour lui, il n'a pu le connaitre , mais il savait bien que c'était un grand homme qui a développer et servi l'armée bretonne au péril de sa vie.
Riwan a écrit:
Trilo m'avait prévenu qu'il y avait une cérémonie. J'avais décidé d'y participer. Je ne connaissais pourtant pas le mort, mais la présence du Duc fait toujours plaisir.

J'attendais avec impatience mon Capitaine pour savoir ce que je devais faire.
Dameartemis a écrit:
Arté regardait l'assemblée des soldats et des civils prendre de l'ampleur.
Elle était contente de constater que nombre de personnes etaient venues rendre un dernier hommage à un soldat d'exception.
Toujours, au garde à vous, une légere crampe au bras se faisant sentir, elle attendit patiement la suite des événements.
Secate a écrit:
Le Sergent des Lions était heureuse, tous les Lions étaient là pour rendre hommage à leur ancien officier.
Elle jetta un regard sur la place, le Duc venait d'arriver, la cérémonie n'allait surement pas tarder à commencer...
Scronch a écrit:
Scronch était bien là parmi les Gouez Reoz, afin de rendre un dernier hommage au Lieutenant Darmodorisch.
Elle ne le connaissait pas bien sûr, mais en avait appris suffisamment pour savoir que cette cérémonie était dûment méritée.

Elle se tenait au garde à vous, une pensée pour tous les autres soldats s'étant également un jour battu pour défendre la Bretagne. Soldat ou non, d'ailleurs.
Lauralyne a écrit:
Laly était venue rendre un dernier hommage au lieutenant Modo.
Elle pensa que jamais du coup il ne ferait ce combat de joute qu'ils devaient faire.
Elle avait rejoint les louarned eus Brest. Elle se mit au garde à vous.
Trilo a écrit:
Le Capitaine avait voulu arriver une fois seulement que tout le monde serait à sa place les soldats avec leur garnison et leur commandant. Les invités n'appartenant pas à la régulière dans la tribune qui leur était réservée. En passant devant cette dernière pour arriver au milieu de la cour il reconnu plusieurs visages familiers. Le maréchal et le capitaine de l'ost de Retz avec qui il avait servi ainsi que la femme du capitaine, cela faisait longtemps qu'il ne les avait point vu et les salua d'un signe de la tête, il était content de les revoir dommage que ce soit en de telles circonstances. Il savait ce que représenté le lieutenant Darkmo pour le capitaine, les deux hommes s'étaient côtoyés pendant longtemps à la régulière. Il fit aussi un signe de la tête à Albatrus et à monseigneur Anguillerusé qu'ils connaissaient peu personnellement mais il connaissait leur valeur. Et la petite Zabou aussi qui méritait a être connue.

Trilo arriva au centre de la cérémonie là où le duc et le colonel Leamas l'attendait. En arrivant devant le duc, il mit un genou à terre et attendit que ce dernier l'autorise à se relever.


Mon duc, je vous remercie de participer à cette cérémonie en l'honneur de l'un des nôtres. Notre grande famille est en deuil et cela fera plaisir aux soldats de voir que leur patriarche pleure avec eux cette triste disparition. Puisque l'on attendait plus que moi nous allons pouvoir commencer. Votre grâce nous allons passer les soldats en revu afin que vous puissiez les connaitre un peu.

Se tournant vers le colonel Leamas et le saluant.

Colonel vous pouvez commencer la cérémonie.
Leamas a écrit:
Le Duc et le Capitaine arrivèrent en face du Colonel.

Toujours au garde à vous en train de saluer, il attendit que le Capitaine se redresse et lui fisse face.



Armée Régulière de Bretagne rassemblée !
A vos ordres mon Capitaine !



Sa main revint alors sur sa cuisse d'un claquement.
Discrètement, il tendit la main vers les troupes à sa gauche afin que le Capitaine et le Duc passe les troupes en revue.
Trilo a écrit:
Trilo, se dirigea vers la direction indiquée par le colonel Leamas et attendit que le duc fasse le premier pas pour avancer.
Tout en se déplaçant, il expliquait rapidement l'organisation de l'armée au duc.


Mon dug, nous allons passer en revu le district de l'est commandé depuis peu de temps par le colonel Alain. Ce district comprend trois garnisons: les Loups de Felger du Major Feanoro, les Eperviers de Rennes du major Thorn et enfin les Gouez de Reoz que dirige encore le colonel Alain mais pour plus très longtemps, d'ailleurs faudrait la faire cette passation de commandement.

Le capitaine s'arrêta devant le colonel Alain et le salua.
Torhn a écrit:
Tandis que Le duc et le capitaine s'avançait vers eux, le SERGENT Torhn les salua et se mit au garde à vous, tandis qu'il se remémorait la guerre, et ses terribles victimes.

Le capitaine s'approchait en présentant le district au duc.
Scotty a écrit:
scotty était là avec les louarned, il avait servi au côté du lieutenant..;et sa présence allait lui manquer...
il y avait eu des prises de becs mais autant de réconcilliation qui faisait que leur entente était devenue plus forte...
un grand homme....un hommage digne de lui....
Alain1251 a écrit:
Le Duc et le Capitaine suivis du Colonel Leamas , s'avancaient vers les troupes du district Est ...
Alain , une derniere fois , verifie que tous sont en place , Thorn avec les Eperviers , Fëanoro et les Loups , enfin les Gouez avec devant ses majors : Scronch , Celty et Kroizquin .
Tous sont au garde a vous !
Alain a son tour , salue le Dug , et les officiers qui l'accompagnent !
Fëanoro a écrit:
Fëanoro était présent devant les Loups au garde à vous avec ses hommes. Il regardait ses supérieurs inspecter les troupes de la régulière. A l'arrivée des autorités, il salua avec ses hommes.
Riwan a écrit:
Je regarde la Capitaine s'agenouiller devant moi. Je ne sais trop si je dois y croire. Puis je l'invite à se lever.
Nous nous dirigeons ensuite vers les soldats, pour les passer en revue.

Pendant que nous marchons, Trilo m'explique qui compose le district de l'est.

Discrètement je tourne la tête en arrière pour voir comment le Capitaine répond aux salue des soldats... Et j'essaye de faire un peu pareil.
Evenice06 a écrit:
Elle n’a pas été invitée, elle ne fait plus partie de la régulière depuis bien longtemps et on avait su le lui rappeler un jour, mais elle a appris la disparition d’un « ancien » qu’elle a côtoyé et elle a tenu à venir lui rendre hommage comme à un « grand » de l’armée.

En arrivant, elle reconnaît certains des soldats de son époque de Capitaine ou de Maréchale et puis des jeunes qu’elle ne connaît pas, la relève est assurée.

Même le Duc est là et c’est normal en tant que Chef des armées.

Elle se met discrètement dans un coin, des tas de souvenirs lui reviennent en mémoire, des tristes, des cocasses, des images défilent, images de guerre, images de joies, images de groupe soudé et ayant la même flamme.

Elle a alors une grande pensée pour ce vaillant soldat qui vient de disparaître et qui avait l’âme chevillée au corps.
Roxane2 a écrit:
Le revue de l'armée de Breizh commence .
Le Duc et le Capitaine suivis du Colonel Leamas , s'avançaient vers les troupes du district Est ... Le capitaine expliquait au Dug le fonctionnement de son armée tout en saluant les hommes qui se trouvaient sur leur passage . Le lieutenant attendait le tour de son régiment .
Trilo a écrit:
Trilo voyait que le duc cherchait à savoir comment saluer les soldats. Discrètement, il lui montra que les doigts doivent être tendus et que seulement l'index et le majeur touchent la tempe.

Ils passèrent en revu les garnisons des éperviers, des loups et des sangliers qui composent le district de l'est, la première ligne de défense de la Bretagne, toujours à garder nos frontières. Il ne pu s'empêcher de faire un clin d'œil lorsque son regard croisa celui d'un des soldats de ce district. Mais il reprit directement son air sérieux, le regard noir des soldats au garde à vous imposait naturellement le respect.


Mon Dug, maintenant nous allons passer au district de l'ouest, composé d'un seul régiment dirigé par le colonel Elibas. Ce régiment correspond aux anciennes garnisons des Lions de St Pol de Léon dirigé par le sergent Secate, c'est l'ancienne garnison du Lieutenant Darkmodorisch. Il y a aussi la garnison des faucons de Tréguier commandé par le lieutenant Godefroid et enfin, les louarned de Brest mené par le Lieutenant Scotty.

Arrivé à hauteur des commandants, il s'arrêta une nouvelle fois pour les saluer. Il les connaissait bien puisqu'il appartenait à ce régiment. Il était content de voir son ami Scotty à cette cérémonie et lui fit un rapide sourire.
Secate a écrit:
Voyant le Capitaine et le Duc se dirigé vers le régiment de l'ouest, Secate lanca un rapide regard sur les Lions pour qu'ils se mettent au garde à vous.

Une fois devant leur garnison, le Sergent salua son supérieur et le Duc, ayant une petite pensée pour le Lieutenant Modo
Squall91 a écrit:
Squall voyant le Capitaine et le Duc, au garde a vous, la poitrine haut, et le regard droit, etait fiere d'etre dans le regiment des lions et meme si il a pas connue le lieutenant modo, il aurait eté fiere des soldats ici present.
Chankel a écrit:
Les officiels s'approchaient maintenant du régiment de l'Ouest. Chankel vérifia une dernière fois que son uniforme était impeccable. Comme c'était le cas, il se raidit dans un garde-à-vous impeccable et regarda les officiels venir dans sa direction.
Kurios a écrit:
L'évêque attendait assez ému sur le côté de l'estrade, en recul. Il trouvait magnifique ces mouvements communs entre des hommes unis autour d'une même bannière. Chaque geste, chaque bruit était savamment positionné, pesé et sous pesé.

Chaque bruit de botte de cuir, de guêtre en métal, de lance sur le sol se faisait dans une communion parfaite donnant aux sons, aux vibrations une ampleur presque irréelle.

Les cris, les coups rares rompaient à chaque fois un silence parfait. Un silence respecté par tous même les oiseaux de Breizh. Seul le vent faisait entendre sa morne plainte comme si les anges faisaient circuler les complaintes du ciel.

L'évêque dont la chambré ressemblait plutôt à un champ de bataille qu'une revue de troupe était absolument ébahi par ce récital de la dignité, de la droiture et de la grandeur bretonne.

Il gardait le silence, lui le bavard. Plutôt habitué à monter sur la tribune pour haranguer et sermonner les foules il n'avait aucun mot qui lui venait, il n'avait aucune envie de parler. Il voulait juste rester là, silencieux, à regarder et à écouter le bruit de la dignité. Ce bruit plein de silence qui en disaient tellement sur la grandeur de l'homme dont on s'apprêtait à rendre hommage.
Dameartemis a écrit:
Arté se mit au garde à vous pour le passage en revue des Lions.
A l'approche du capitaine et du duc, elle laissa ses yeux s'emplirent de toute la haine et la rage dont ils éteincelaient lors des combats.
Elle avait l'attitude qui convenait à pareille circonstance et attendit la suite des événements, son parchemin toujours bien à l'abri au plus prés de son coeur.
Godefroidebouillon a écrit:
Les officiels s'approchaient maintenant du régiment de l'Ouest.
Godefroid se mit au garde à vous et salua ses supérieurs.
Mulot25 a écrit:
Mulot a coté des soldats de la garnison des lions, se mit au garde à vous a l'approche du duc et du capitaine devant le régiment de l'Ouest.
Lauralyne a écrit:
Le Duc approchait avec le capitaine ainsi que le colonel Leamas.

Mon Dug, maintenant nous allons passer au district de l'ouest, composé d'un seul régiment dirigé par le colonel Elibas. Ce régiment correspond aux anciennes garnisons des Lions de St Pol de Léon dirigé par le sergent Secate, c'est l'ancienne garnison du Lieutenant Darkmodorisch. Il y a aussi la garnison des faucons de Tréguier commandé par le lieutenant Godefroid et enfin, les louarned de Brest mené par le Lieutenant Scotty.


Laly se tenait au garde à vous, parmis les soldats du district de l'ouest. Elle regardait droit devant elle.
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MessageSujet: Re: Hommage au LTN Darkmodorisch (26 novembre 1457)   Hommage au LTN Darkmodorisch (26 novembre 1457) Empty21/12/2009, 07:59

Scotty a écrit:
scotty était aussi au garde à vous et salua et le capitaine et son dug à leur arrivée près des louarneds...
les rangs étaient pauvres...mais les soldats présents étaient des soldats de qualité et leur vie était offerte à la Bretagne ....il en était fier...
la Capitaine esquissa un sourrire d'amitié...Scotty en fit de même...
l'amitié des deux hommes ne devait souffrir des soucis de communications...l'un et l'autre s'appréciaient pour leurs qualités respectives...
Elibas a écrit:
Le Colonel Elibas était fière de l'hommage qui allait être rendu au Lieutenant Darkmodorich.
Elle était triste également car c'était un ancien qui était parti, une grande part de la mémoire de la régulière.
Et il y avait ce combat dont maintenant, jamais elle ne connaitrait la fin entre Lauralyne et lui.
Elle avait suivit les ordres du Colonel Leamas et s'était mise au garde à vous.
Le Capitaine Trilo et le Duc arrivaient au niveau du Régiment de l'ouest avec comme Compagnie Les Lions de Saint Pol, la compagnie de Modo, Les Louarneds eus Brest et Les Faucons de Tréguiers.
Elle était fière de ses soldats présents dès qu'il le fallait et encore plus en ce moment où elle était peut présente dans son régiment. Heureuse de voir le Lieutenant Scotty rétabli.
Trilo a écrit:
Cela lui faisait bizarre de défiler devant ses amis. Dans quelques jours, il serait de nouveaux parmi eux et il en était heureux.

Le capitaine continuait à marcher aux cotés du duc et il lui présenta les officiers et soldats du district du centre.


Alors mon cher dug, nous allons maintenant voir le district du centre commandé par le colonel Leamas. Nous avons tout d'abord dans ce district la garnison des Dragons de Vannes commandé par le Lieutenant Lilith, puis les Piliers de Rohan qui ont aussi la chance d'avoir une jolie commandante le Lieutenant Roxane. Les Griffons de Saint-Brieuc sont moins chanceux niveau commandant sexy avec le major Nagirrok qui vous connaissez bien mais c'est tout de même un formidable chef de garnison qui prend soin de ses soldats.

Trilo, souriait intérieurement, il savait l'aversion qu'ont les deux hommes l'un pour l'autre. Il voulait savoir comment ils allaient réagir l'un et l'autre en pleine cérémonie officielle.
Secate a écrit:
Secate sourit en voyant la Colonel Elibas qui était devant le régiment de l'ouest; elle savait que la Colonel et Modo étaient de bons amis...
Jepl a écrit:
Toujours présent et au garde à vous devant les hommes du District centre, Jepl sourit en entendant Trilo se tromper sur le commandement du District.
Il se racla la gorge avant de commenter à voix basse.


Commandé par le Colonel Jepl en remplacement du Colonel Nadou mon Capitaine.

Sachant le Duc peu au fait des habitudes militaires, Jepl préféra le saluer d'un léger signe de tête.
Yseline a écrit:
Yseline était revenue en Bretagne.

L'attroupement sur la place avait attiré son attention et c'est ainsi qu'elle appris que le lieutenent Darkmodorich avait remis son âme à Aristote.
Cet homme qui l'avait accueillie à son arrivée dans l'armée régulière de Bretagne laissait en effet un souvenir tenace.

Elle resta présente sur la place en souvenir du lieutenant...d'autant plus que Chankel était là aussi.
Nagirrok a écrit:
Et voilà, c'était au tour des Griffons d'être passés en revue par le Duc.
Il se concentra pour ne pas éternuer. Le froid humide qui régnait lui chatouillait les naseaux et c'était un problème pour un éternueur chronique.

Heureusement, il put se retenir durant la revue ducale.

Tandis que la cérémonie se poursuivait, Nagirrok laissa vagabonder son esprit en ces heures tourmentées.
Il était là devant les Griffons, et cela l'étonnait encore.
Il se rappellait son arrivée sur la pointe des pieds devant Deedje et Doran lors de son recrutement.

Que tout cela était loin.

Surtout il se rappellait de la magnifique complicité avec Tziira et Nadou.
Deux des plus dévouées soldats de Bretagne. La poussière de l'oubli les recouvrait inexorablement.
Mais ici et maintenant, lui le soldat et corsaire célébrait leur mémoire, et se rappellait avec émotion ces heures heureuses.

Et le voilà maintenant à la tête de la garnison. Il devrait en retirer de l'honneur, de la fierté.
Mais il lui était de plus en plus difficile de se le cacher : il s'en foutait éperdument !
Roxane2 a écrit:
Le lieutenant Roxane rougit en entendant les paroles du capitaine et sourit sur le commentaire pour le commandant des Griffon. Puis elle rectifia sa position et salua les deux hommes qui passaient devant sa garnison
Chankel a écrit:
Ils étaient passés, les officiels. Ainsi donc c'était le Duc, ce personnage qui était venu au Campement et qui avait ensuite disparu sans qu'on sache comment? Eh ben..... Il se relâcha quelque peu et les regarda poursuivre leur revue
Trilo a écrit:
Trilo serra les dents en voyant le colonel Jepl. Un remplacement récent venait d'être fait suite à la disparition du colonel Nadou. Il avait hésité entre lui et Leamas car il avait oublié de vérifier avant de partir. Au dernier moment il avait choisi le colonel Leamas car il savait que le colonel Jepl vivait à Rennes appartenant au district de l'est. Il espérait qu'il ne lui en tiendrait pas rigueur.

Une fois la revu des troupes fini, le capitaine accompagna le duc jusqu'au mat au centre de la cour et se planta juste en face en attendant que le colonel Leamas lève les couleurs.
Leamas a écrit:
Leamas avait suivit rigoureusement le Capitaine et le Duc à six pas derrière eux.

D'un œil critique, il avait observé les troupes tentant de capter chaque regard de soldat qu'ils croisaient ... tentant de tous les croiser.

Au sein de chaque garnison, il connaissait un soldat, il avait, à un moment ou l'autre, partager un verre, participer à un exercice ou bien encore la défense rennaise.

Le Duc tentait de saluer les troupes comme un militaire.
Cependant, il n'en était pas un. Il était le chef politique et non le chef militaire de ces troupes. Un salut de tête aurait suffit et aurait été plus "protocolaire".
Sans doute était ce une preuve maladroite de respect envers les Hommes de la régulière.

Une fois fait, le Capitaine et le Duc se plantèrent devant le mât des couleurs.
A son pied, deux soldats attendaient. L'un deux portaient les couleurs de la Bretagne sur une épaule.

D'un geste de la main, le jeune colonel indiqua au Duc sa place dans la tribune.

Ce dernier une fois à sa place, le briochin fit face aux troupes.

Pour l'ensemble ...

Repos !


Il se souvenait maintenant pourquoi il n'aimait pas les cérémonies quand il était plus jeune soldat.

Gardes à vous !

On passait son temps à se mettre au garde à vous puis au repos puis au garde à vous ...

A l'intention des deux soldats au pied du mât.


Attention pour les couleurs !

Le soldat ne portant pas les couleurs, un ancien apparemment répondit ...


Prêt mon Colonel !


Envoyez !


Lentement, les deux soldats firent monter les couleurs de Bretagne au mât. Leamas salua ces dernières fort de ce que cela représentait à ces yeux.

Face à lui, la tribune. Dans cette dernière, il pouvait apercevoir quelques visages emblématiques de Bretagne. Quelques personnes représentants d'autres intérêts que l'Armée Régulière de Bretagne étaient là.

Là, sous ce drapeau et tout ce qu'il représentait ... la Bretagne



Une fois montée, il termina son salue et se retourna vers les troupes.


Garnison des Lions du Léon, rejoignez votre emplacement !


Tout était en place maintenant ...

Repos !

Puis, d'un signe de tête entendu, Leamas laissa la place à Monseigneur Kurios.
Secate a écrit:
Secate, selon les ordres donnés, se mit au garde à vous pour la montée des couleurs.
Elle fixe le drapeau breton qui s'elève lentement, des étoiles dans les yeux, fière de servir ce drapeau, fière de servir la Bretagne


Citation :
Une fois montée, il termina son salue et se retourna vers les troupes.
Garnison des Lions du Léon, rejoignez votre emplacement !

Elle salua le Colonel Leamas et avanca de quelques pas, suivis pas les autrres Lions, et ils se mirent au garde à vous au centre de la place.
Bergamoth a écrit:
Bergamoth regarda le drapeau d'hermine monter au mât. C'était toujours un grand moment, le meilleur des cérémonies militaires.
Oui mais.... Il fut un temps, cela provoquait en elle une bouffée de sentiments, d'amour pour sa patrie, de fierté de la servir. Nul doute qu'elle accomplirait son devoir, sans quoi elle ne se serait pas engagée, nul doute qu'elle mourrait si besoin pour défendre sa terre d'accueil. Mais sa conviction, où était-elle passée? Que manquait-il pour qu'elle la retrouve?
Elle considéra l'assistance, puis les autres soldats rassemblés sur la place. Ils étaient là pourtant. Et eux, que pensaient-ils?
*Bah, ce n'est qu'une période, c'est les hommages aux défunts qui me dépriment, ça reviendra.
Peut-être...*
Elle essaya de repenser aux fameux petits clins d'oeil du capitaine pour se remonter le moral.
Roxane2 a écrit:
Le lieutenant regardait respectueusement la monté des couleurs au garde à vous . Quand la drapeau fut en haut du mât le Colonel Leamas appela les Lions du Léon qui s'avancèrent surement pour rendre hommage au Lieutenent Darkmodorich . Elle attendait la suite de la cérémonie
Kurios a écrit:
L'évêque regardait le drapeau l'esprit dans le vide. Il en compris pas tout de suite que c'était à lui maintenant qu'il avait posé ses yeux sur ces couleurs qui flottent dans l'air. Ce tissu semblant à un nuage tacheté qui voletait dans le vent de son pays. Il n'y avait pas de meilleur symbole.
Un frisson le parcouru, il baissa les yeux. Il ne savait pas combien de temps ce silence avait duré mais tout le monde avait maintenant le regard tourné vers lui.

Ses orbites s'ouvrirent plein de surprise. Un temps de latence se fit... son cerveau était bien lent pour ce pauvre homme. Il comprit.

Il se mit alors en branle, ses muscles étaient tout endoloris, tendus. Il ne savait pas pendant combien de temps il n'avait pas remué. le prélat avait l'impression d'être comme un rocher fatigué, usé par les flots mais qui ne bouge pas et subit sans bronché les affres du temps.

Il fit signe aux enfants de chœur qui l'attendaient et entama une marche en procession vers le milieu de la cour où attendait la dépouille empaqueté comme il se devait dans une belle boîte d’un charpentier renommé. Un maître en la matière qui travaillait souvent pour l’armée bretonne et qui depuis la dernière guerre avait acquis une dextérité à l’ouvrage assez extraordinaire.
Si jamais vous cherchez une bonne adresse pour un malheureux évènement dans votre famille, il fait 10% de remise sur le deuxième cercueil en chêne de Brocéliande. Une véritable affaire à saisir car on sait bien qu’un malheur n’arrive jamais seul surtout en des temps bien difficiles comme les nôtres. Alors l’adresse est le… quoi ? Comment ça c’est pas le moment ? … et en plus il me serait interdit de faire de la pub ? Non mais je vous jure… comment j’arrondis mes fins de mois ? Ce n’est pas facile le métier de narrateur. Surtout pour une gros bof comme cette évêque avec une baronnie misérable au fin fond de la forêt…
Oui je sais on m’a déjà demandé d’arrêter de me plaindre de lui… mais quand même… il est sacrément con ce type…
Bref revenons en à nos moutons. L’évêque approcha donc et dans un silence de cathédrale… que dis-je encore plus silencieux qu’une cathédrale... Il faut dire que la primatiale bretonne c’est sacrément le foutoir surtout quand les pécores se ramènent avec leurs poules et leurs cochons… donc un silence militaire assez impressionnant.
Il garda le silence un moment avant de lever les bras au ciel et de prononcer d’une voix forte.


Mes frères, mes sœurs, mes enfants, mes amis.

Aujourd’hui nos couleurs flottent tristement sur notre terre. Nos couleurs qui parfois virevoltent avec gaité, célébrant la grandeur de notre pays tournoient dignement mais pesamment pour honorer la disparition d’un être qui nous est cher à tous.

Ses amis comme ses frères d’armes, les soldats bretons qu’il a connu ou non sont tous présents aujourd’hui pour honorer cet homme. Un homme dont le dévouement et la bravoure n’est plus a prouver.
Un homme qui a donné sa vie à la Bretagne et qui fut de toutes les guerres pendant des années.
Il aurait sans doute préféré partir au champ d’honneur mais je crois que vous comme moi ne pouvons lui en tenir rigueur.
Son sacrifice sur le sol aimé fut bien assez grand et c’est un peu comme si il était parti après avoir vaincu des milliers de François, partis dans l’apothéose de la victoire tel un grand générale romain porté au rang de divinité après sa mort.

Certes ce n’est pas arrivé, le Très haut est bien sympa mais faut pas déconné non plus.
Pourtant notre sentiment est tout comme. Nous savons bien qu’il a une place de choix auprès de notre Seigneur. Dieu sait reconnaitre les hommes justes. Il sait voir le fond de leur cœur et il saura reconnaitre toutes les qualités qui faisait Le Lieutenant Modo. Pardon de l’appeler ainsi, Modo… mais c’est le petit nom que nous avions l’habitude de lui donné à Kastell Paol.

Avant de commencer je vais faire passer dans les rangs des corbeilles. J’invite toutes les personnes qui le désirent à déposer un objet, un peu d’argent qui serviront de dernier geste de la part de notre ami sur terre avec notre aide. Ces objets seront, après la cérémonie, distribués aux enfants orphelins de l’armée bretonne. Notamment si rien dedans ne m’intéresse… Hum. Je vous en remercie d’avance.


Quelques flambeaux commençaient à s’allumer ça et là en l’honneur du défunt. Peut être aussi parce qu’en hiver le jour se couchait rapidement et que ce foutu évêque mettait un temps fou a faire son truc.

Le prélat fit alors un geste, comme pour accompagné ces apparitions de lumière qui du ciel devaient faire penser à des étoiles pour les gens d’en haut. Peut être que les étoiles étaient les flambeaux allumés par ceux des cieux… ils sont si nombreux et une personne s’ajoute à tout ça. Son geste comme un chef d’orchestre produit un effet émouvant. Plusieurs cierges s’allumèrent presque successivement comme si un chemin de lumière semblait se tracer.

L’évêque de Nantes regardait avec émotion ce jeu de Lumière, symbole du chemin que devait parcourir l’âme pour rejoindre la place qui est sienne. Le paradis solaire accueillait un nouveau serviteur du Très-Haut.
Lorsque se fut à nouveau son tour une larme coula sur sa joue. Il était ému. Modo…

Une question se pose à nous :

Pourquoi enterrer nos morts ?

L’Homme fait de terre et d’eau est par nature attiré par le centre de la terre, mais l’amitié vrai élèvera son âme et si elle est digne de rejoindre le seigneur elle ne s’enfoncera pas comme le corps vers le feu des enfers mais au contraire elle trouvera sa vrai nature qui est de s’élever vers notre seigneur.

kurios :Après tous nos regards qui ont croisé le sien, qu’il puisse enfin voir le tiens seigneur.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami(e).

Kurios: Après l’amitié qu’il a reçu et qui a guidé sa vie, accorde lui l’amitié ultime qu’et la tienne Seigneur.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami(e).

Kurios: Après les peines et les larmes qui ont obscurci sa vie, illumine sa route pour l’éternité.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami(e).

Kurios : Seigneur, nous tournons vers toi nos espoirs à l’heure où disparaît le corps de l’ami qui nous est cher.
Accorde-nous l’espérance de le revoir auprès de Toi pour les siècles des siècles.

Tous : Amen


L’évêque fit allumer les autres cierges qui entouraient le cercueil.

L’Amitié est la lumière du monde c’est la flamme qui réchauffe notre cœur.

Frères, si nous sommes ici, c'est pour entourer de notre amitié une famille qui est dans la peine. C'est aussi pour nous rappeler que Dieu se souvient de tout ce qu'il y a eu de bien dans la vie de notre frère et de lui demander de lui faire bon accueil.

Quelle éclaire maintenant la route de Darkmodorisch qui le conduit maintenant au Royaume de Dieu !"


Nous déposons cette croix aristotélicienne sur ton cercueil.
Cette croix est le signe qui relie Aristote et le Christ, qu'elle soit pour toi signe de salut et de vie éternelle".
Recueillons-nous le temps que les corbeilles fassent le tour.


Il n’avait pas jugé que les soldats fussent si nombreux. Il faut dire qu’il ne savait sans doute pas compter sans faire une erreur à deux plus deux… alors mesurer le temps qu’il faudrait à quelques corbeilles pour passer dans les mains de centaines de soldats à raison de 2 secondes par personnes et en restant l’hypotenus du carré de la culotte de sa grand-mère… bref un problème bien trop complexe à résoudre pour ce parvenu plus à l’aise pour compter les chopines.
Chankel a écrit:
L'évêque avait parlé. Un discours pas forcément toujours très orthodoxe, s'il se souvenait correctement de ses cours de théologie, mais il avait bien parlé. Toujours impassible, Chankel prit un moment pour réfléchir à ces paroles. Le moment était solennel, les couleurs bretonnes claquaient au vent, et les flambeaux ajoutaient à l'atmosphère grave qui régnait ici. Il ne savait pas pourquoi, mais il frissonna un instant, puis son esprit reprit son vagabondage.
Leamas a écrit:
Silencieux et absorbé, le jeune Colonel écouta les paroles de Kurios ...

Que de soldat disparu ... à chaque adieu, il se disait que cela ne pouvait pas être pire... mais, la réalité des cérémonies lui prouvaient le contraire systématiquement.

Un silence le ramena à la cérémonie ... on devait poursuivre ...
Kurios a écrit:
L'évêque attendit donc que les corbeilles revinrent vers le cercueil. les enfants de choeur déposèrent les présent des amis soldats au dessus de ce dernier.

Darkmodorisch,nous déposons ces présent sur ton cercueil, signe de notre amitié, signe de notre prière, signe de notre cœur".

Cet enterrement nous rappelle plusieurs choses :

- Le souvenir d'un Ami aristotélicien qui vient de nous quitter. D'un homme qui avait une histoire, unique, avec Dieu. Qui était entouré de tendresse par Dieu. Qui a fait, ou non, l'expérience de cette tendresse.

Nous voici nombreux dans cette cour, autour de lui, pour prendre conscience de ce lien d'amour qui l'a toujours uni à Dieu, qui unit Dieu à chacun de nous, à tout instant.

- La mort viendra pour chacun de nous. pour les uns tôt, pour les autres plus tard. Pour les uns dans leur jeunesse, pour d'autres dans leur vieillesse.

Le Seigneur nous prévient : "Soyez prêts, soyez toujours prêts car vous ne savez ni le jour ni l'heure".

Aristote nous a guidé et Christos nous invite à prendre exemple sur lui, à trouver notre joie à vivre pour les autres, à aimer comme ils nous ont aimés.

Notre présence ici est prière. Nous invoquons Aristote qu’il mesure les péchés de notre frère et que Christos intercède auprès du seigneur pour qu’il le reçoive en son Paradis.

Laissons maintenant ceux qui l’on connu parler de lui:

Dameartemis si vous voulez bien vous avancer.
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Missanges

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MessageSujet: Re: Hommage au LTN Darkmodorisch (26 novembre 1457)   Hommage au LTN Darkmodorisch (26 novembre 1457) Empty21/12/2009, 08:02

Dameartemis a écrit:
A présent, le temps était venu pour elle de prendre la parole.
Les Lions lui avaient réservé ce grand honneur, parler en leur nom en la mémoire d'un grand homme.
La cérémonie était emouvante et tous étaient receuilli avec ferveur.

Elle s'approcha de l'estrade et tout en marchant, elle sorti le parchemin gardé jusqu'alors au plus pres de son coeur.

Parvunue devant l'assemblée elle pris alors la parole :
Citation :
Membres de l'armée de bretagne, mes frères et soeurs d'armes.
A vous tous ici présents.

Il y en a beaucoup parmi vous qui ne me connaissent pas et bon nombre que je ne connais pas mais une chose est sure, si nous sommes tous réunis ce jour, c'est pour rendre un dernier hommage à un homme connu et réspecté du plus grand nombre.

Je me fais l'eco des Lions de St Pol, ma garnison, et je parle en leur nom devant vous.

Rendons tous un ultime hommage à l'homme qui parmi d'autre à fait beaucoup pour l'armée bretonne et encore plus pour nous les Lions.

L'homme sans qui beaucoup d'entre vous ici présent ne seraient pas ou ne seraient plus soldats aujourd'hui.

Il fut le coeur et l'ame de notre garnison et nous rend fier d'etre soldats.

Cet homme dont la vie à pris fin de maniere brutale, j'ai eu l'honneur de servir sous ses ordres lors de mes debuts juste avant qu'il ne prenne sa retraite.
Il m'a fait comprendre qu'un soldat peut etre fier de servir la bretagne, que son premier maitre est la bretagne at qu'il ne faut jamais l'oublier.
Si je reste à Rennes plus que mon temps bien plus meme, c'est peut etre aussi en sa memoire.

Arté dégaine son sabre et le brandit au dessus de sa tete en criant :

En l'honneur de Darkmodorisch !!!

Soyez toujours fiers d'etre soldats ! En sa memoire !!!
Secate a écrit:
Secate écouta attentive le discours que prononcait son amie et seconde Arté.
Chez les Lions, ils n'étaient plus que quatre encore présents ayant connus et servis sous les ordres de Modo, trois d'entre eux étaient Sergents, c'était Arté, Peter et elle Secate, qui avait reprit le flambeaux, et le quatrième était Iaumes, qui était 1ere classe.
Secate se doutait que tous pensaient à Modo pendant le discours...Il aurait été fier de ses Lions...

A la fin du discours, malgrè l'ordre de garde à vous, elle dégaina son épée à la suite d'Arté et clama avec honneur le nom de son Lieutenant.
Puis elle rangea son arme et reprit sa position, fixant le cerceuil
Dameartemis a écrit:
Arté rangaina son épée et rejoingnit les rangs.
L'emotion, dans l'assemblée, etait palpable.
Elibas a écrit:
Le Colonel Elibas se joignit à ses hommes, le sergent DameArtemis et le Major Secate. Elle levat son épée et cria.

En l'honneur du Lieutenant Darkmodorisch !!!

Soyez toujours fiers d'etre soldats ! En sa memoire !!!

La mort plutot que la souillure.


Une foi fait, elle reprit sa place au sein de son régiment de l'Ouest.
Leamas a écrit:
Alors que les épées étaient sortis de leur fourreau, Leamas s'avança afin de rendre l'hommage militaire à Darkmodorisch.

Il n'interrompit pas les cris mais attendit simplement que le calme revienne.


Darkmodorish s'est engagé il y a tellement longtemps qu'on ne retrouve plus de trace de ces premiers pas dans l'armée bretonne...


Les premiers signes que l'on peu retrouver de sa carrière sont en mars 1454, il était alors première classe chez les Lions du Léon, membre des sapeurs et également de la garde bretonne.
Mais, il est sûr, sans nul doute, que son engagement a du se faire en 1453

Il passera sergent en avril 1454.

Alors responsable du recrutement, il prend également en charge ces nouvelles recrues dans leur premier pas dans l'armée et sous le drapeau breton.

Il organisera des matchs de soule durant cette même période en confectionnant quelques maillots.

Le 14 juin 1454, il sera nommé au grade de major et prendra le commandement de la 1ère escouade des Lions du Léon.

Par la suite, il prendra le rôle de second de cette garnison et sera nommé à sa tête le 28 septembre 1456.

Il a participé à la Campagne de la Sainte Martine, en janvier 1454 , à la Campagne de l'Hermine, en avril 1454, à la Guerre des 100 jours de janvier à mai 1455 et à la Guerre Sans Nom, de Mars à Aout 1456.

Lors de cette dernière, il se verra remettre la médaille du mérite

Grand amateur de prune et de chouchen, il sera un élément incontournable des Lions du Léon par son dynamisme, sa ferveur à l'engagement de la cause bretonne.


Il a été notre ainé, notre grand frère d'arme. Nombres sont ceux qui ont été sous son commandement, Albatrus, le Capitaine Lancéor, l'ancien Colonel Laroz, Mirwen, Chika, Pertepan ...

J'en oublies surement ... Le nom de Darkmodorisch, correspond à des milliers d'archives à l'image de son dévouement.

Nous ne perdons pas un membre de l'armée régulière. Nous perdons un fier défenseur de la Bretagne qui a toujours répondu présent, qui a toujours été là pour cette Bretagne.

Un homme qui a donné sa vie pour la Bretagne est étendu là, aujourd'hui.

Que son dévouement soit notre modèle. Que sa disparition ne soit pas synonyme d'oubli et d'amnésie.

Que son nom et sa vie restent dans nos cœurs et nous rappelle ce que nous sommes ... breton !


Le jeune colonel leva les yeux sur la dépouille du Lieutenant.

Puis son regard se porta sur l'ensemble de l'armée.



A mon commandement,


Gardes à vous !



Lentement, il salua la dépouille de ce frère d'arme...
Secate a écrit:
Secate restait stoïque malgrè le froid.
Elle n'avait jamais été au courrant de la vie militaire de son supérieur, de son modèle, de celui qu'elle avait toujours considéré comme un mentor.

A l'ordre donné par le Colonel, elle se mit au garde à vous, fixant le cerceuil devant elle. Etait-ce le froid qui fit que des larmes coulait? Surement cela aidait-il, mais en réalité c'était tout cela: la mort de son superieur et ami, cette cérémonie...

Comme prévu avec le Colonel Leamas, elle fit un petit signe de tête aux Lions, il était temps que le plus grand des Lions que Secate ait connu repose auprès de ses frères et soeurs d'armes.
Elle s'approcha, et après un dernier salue militaire au disparu elle souleva le cerceuil accompagné des autres soldats de la garnison pour aller en direction du cimetière de Kastell Pol

Tout en se rapprochant lentement du cimetière, une chanson lui revint en tête qu'elle se mit à fredonner dans sa tête:


Citation :
Qu'est-ce que je suis sur cette terre,
un homme qui est prêt à mourir.
Un homme qu'on appelle volontaire,
Qui sait servir et sait mourir.
Et que m'importe cette vie,
Pourvu qu'elle serve à mon idée.
(couplet issu de la chanson militaire le Volontaire)
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Kurios




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MessageSujet: Re: Hommage au LTN Darkmodorisch (26 novembre 1457)   Hommage au LTN Darkmodorisch (26 novembre 1457) Empty28/12/2009, 05:11

Kurios a écrit:
L'évêque avait écouté le discours de Leamas. Sa voix puissante faisait frémir les cœurs et les âmes. Le lieutenant Modo devait être fier là où il était.

Les lions soulevèrent comme un seul homme le cercueil. Le prélat se mit en tête du cortège et silencieusement commença à avancer. Le silence régnait totalement. La solennité du moment donnait l'impression que le temps c'était arrêté. meme les oiseux s'était tu. Seul le vent se faisait entendre faisant frémir les peaux des hommes et femmes présents.

Soudain contre toute attente dans les rangs commençait à s'élever une voix.
Normalement les militaires ne supportait pas ce genre d'incartade mais là c'était si beau et si pur que personne ne dit rien et tous restèrent là a regarder avançait le cortège vers Kastell Paol.

http://bretagnerr.info/images/breizhmabro.swf

Chaque pas était une douleur, chaque souffle un cri de souffrance. Le Très -haut protégera cet homme qui a tout donné pour son pays.

Breizh Atao!

Lauralyne a écrit:

Laly écouta cet hommage à un soldat qui le méritait amplement.
Elle se mit au garde à vous à l'ordre de Leamas.
Elle avança avec le cortège, suivant Modo jusqu'à sa dernière demeure.

Douarn29 a écrit:
une ombre planait

Lieutenant votre place est au côté des braves, reposez en paix avec eux


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